Le taux de 5,5 % s’applique en général à l’alimentaire. Le taux de 19, 6 %, sur le reste fournitures et service. En supposant que le restaurateur, avance 300 € de TVA , et qu’il facture 500 € à sa clientèle, sa déclaration au titre de la tva sera libellée ainsi : tva payée = 300 | tva perçue = 500 | tva due = 200. Et il ne lui reste plus qu’à faire un beau chèque de 200 € au fisc, et les 300 € réintègre sa comptabilité en remboursement de ses avances. Résultat des comptes, le restaurateur ne sort rien de sa poche. S’il y a une vache à lait, ’est plutôt la clientèle. C’est vraiment incroyable, cette idée reçue sur la tva « payée » par les entreprises, alors qu’il suffit d’un papier et d’un stylo pour démontrer le contraire.
Je viens de vérifier les avis de réception des recommandés, en fait, c’était en mai 1993, et donc l’intervention de Séguin, c’était la même année. 1994, j’ai cette date en mémoire, parce que l’association en question n’avait été créée que dans la perspective des municipales de 1994, ce que j’ignorais. Je pense que l’usage de la tva sociale , doit viser le maintien de la sécurité sociale, et une meilleure répartition du poids du prélèvement. Les autres conséquences induites, doivent etre la cerise sur le gateau, et non le but. Que la tva sociale frappe aussi bien la consommation que les exportations : cerise Que les entreprises reversent cette tva, aprés facuration : cerise Une entreprise fabrique et stocke des jouets ou produitts de noel, toute l’année, et reverse la tva l’année suivante : cerise. Une autre conséquence légale de la tva sociale, est qu’elle fait de chaque consommateur un assuré social, un ayant droit aux prestations familliales, maladies et à la retraite. Cela rend caduques les différentes caisses professionnelles. Adapter les structures existantes aux conséquences découlant d’ une tva sociale, ne se résumerait à un simple jeu d’écriture, mais à un gros chantier qui soulève de nombreuses questions de droit, d’éthique, d’efficacité...... Dans le climat de morosité actuel, alors que le pouvoir d’achat diminue, alors que la taxe carbone va s’ajouter à une charge, alors que le bouclier fiscal nargue, alors que les restaurateurs bénéficient d’une tva réduite sans contrepartie, on ne peut pas se permettre de présenter aux consommateurs un ticket de caisse avec deux tva . Je pense que dans ce cas, on assistera à une recrudescence de « système d’échange locaux » et une augmentation de marché parallèles, alimentés par des combines allant du vol simple , aux faux moyens de paiement. Finalement, c’est un non sens de vouloir relancer l’économie par une tva payée à la consommation, si cette dernière est en berne. Au point ou nous en sommes, je pense que la seule façon de créer pour un temps une spirale contraire à celle du chomage, est de redonner du pouvoir d’achat. Soit en distribuant des liquidités, soit en diminuant le cout de la vie. Nous sommes dans la cas d’un ballon qui doit rajouter de l’air chaud, ou jeter du l’est. Le lest etant des coûts pour les ménages, mais des gains pour d’autres, il faut sacrifier le moins utile .
En
l’absence de démonstration de votre part, et bien que ce fil soit
déserté, je vais aller jusqu’au bout de ma pensée sur les faits,
et aussi sur vous..
Donc,
pour résumer cette échange ;
Je
donnes mon avis, sur la Réunion, citée, (à mon avis) un peu trop
rapidement, comme modèle d’intégration culturelle. Je conclus en
donnant comme exemple à mes yeux, plus pertinent l’Algérie
multiculturelle dont personne n’ignore ce que fut son histoire.
Indiquant en plus la Bibliothèque Nationale, comme source de
renseignement.
Là,
vous vous précipitez, sans réfléchir, comme un insecte vers la
lumière, et par un raccourci impressionnant, vous occultez la
Réunion, la réalité de l’Algérie, et la fin de la période
française, pour me servir la période de 1954 à 1962, en m’accusant
de déformer l’histoire, passant outre les limites de vos
connaissances comme une pécadille.
Vous
êtes forcement un sot, pour me jugez moi, en fonction de vos
limites, à vous.
« Mettre
la guerre d’Algérie sur le dos du multi-culturalisme... »
Et
sur cette pitrerie, vous croyez, éclairer le monde !
Me croyez vous vraiment inconscient au point de vous donner un bâton pour me battre ? Je vous soumets matières à réflexion, et cela vous échappe complètement.
Vous
êtes bien un arpète de la vie, je suis forcé de le constater, quel
que soit votre âge, vous manquez d’expériences.
Evidemment,
le multi-culturalisme, n’a pas déclenché la guerre d’ Algérie,
mais le communautarisme a exacerbé les sentiments.
L’amalgame
est ce qui permet de passer d’un fait à une conclusion prédéfinie,
sans s’embarrasser de réfléxion, qui en deviennent inutiles.
L’amalgame,
c’est ce qui a autorisé Phillibert du piston à croire que je suis
client de chez Fauchon, c’est ce qui vous autorise vous à m’accuser
de souplesse, de remettre en cause ma bonne foi, mon intégrité.
Cela fait beaucoup. Ainsi l’amalgame conduit phillibert à une
opinion erronée sans conséquence, et vous l’humaniste à une
accusation forgée à défaut de preuve, sur votre ignorance d’une
histoire commune.Et en Algérie, cette amalgame, a été d’autant plus efficace, que les communautés étaient distinctes les une des autres.
Pour
revenir donc, sur cette tranche d’histoire, vous ne pouvez pas
ignorer , que l’ Algérie était réellement peuplée de plusieurs
communautés.
Pour
le reste, si l’on arrête à 6 litres, la quantité de sang chez un
adulte, après le cessez le feu de mars 1962, après le référendum
du 3 juillet 1962 qui scelle le sort de l’ Algérie, ce sont bien des
hectolitres de sang qui jaillirent des corps de civils assassinés en
une après midi, le 5 juillet 1962 à Oran. Il n’y eut pas ce jour
là, comme le 9 juillet 1860 à Damas, un Abd el Kader, pour racheter
les chrétiens livrés sains et saufs.
Sur
ces faits, au moins deux versions circulent, mais qu’elle que soit
celle que l’on adopte, une chasse aux indésirables fut menée par
une communauté, et subie par les autres.
132
ans d’ Histoire, d’expériences, de succès et d’erreurs, une source
d’enseignements et de leçons, à portée de mains, qui ne servent à
rien.
En 1994, comme secrétaire bénévole d’une association de chomeurrs, j’étais porteur d’un projet pour l’emploi, qui reprenait la plupart solutions de l’époque, sur lesquels j’avais greffé beaucoup d’dées personnelles. Il y en avait tant, qu’il ne pouvait etre viable sans dérogation. Par courrier, j’avais présenté mon projet, aux élus de ma régions, et aux ministres du gouvernement Balladur. Entre autres dérogations, je demandais à prélever les charges sociales, parallèlement à la tva , selon un taux fixe sur les factures.. En Juin de la même année, Mr Seguin, lança à l’assemblée nationale, l’idée d’un tva sociale. Donc pour abréger, je suis favorable à la tva sociale, sous réserve que les conditions s’y pretent, et à mon sens, ces conditions ne sont pas au rendez vous. Il me semble impossible de concurencer les produits étrangers, sur le marché français, quelque soit les artifices déployés. Même fabriqué du trés bas de gamme, ne tiendrait que peu de temps.En réalité, il y trés peu de solution. -Contingenter les importations. -Exporter les mêmes produits que nous important, mais en qualité trés supérieure en direction des nouveaux riches, russes, chinois, indous....... -Développer une qualité « made in france » -Mettre en concurence les hommes au lieu des produits.Montrer l’ouvrier qui tond l’herbe de sa pelouse, le vendredi à 15 heure, alors que les chinois travaillent comme des coolies, etc.. Enfin, il ne faut pas oublier que parmi ces entreprises qui nous mène la vie dure, il en est des françaises qui se sont délocalisées, et sur elles, nous avons quelques moyens d’agir.
Le dernier paysan que j’ai connu, est un ouvrier de la terre. Coincé entre les crédits et la coopérative, sa liberté d’initiative se résume à taper la coinche au bistrot le dimanche. Le seul avantage, c’est lorsque les produits ne correspondent aux normes imposées par la coopérative, il est quand même payé, pour son labeur. Trois jous après, il passe la herse, et recommence. Le revers de la médaile, c’est que ce paysan ne possède plus que sa ferme et dépendances, ses tracteurs à crédit, et plus un seul terrain qui lui appartienne. Et aussi l’immense gaspillage de carottes, de choux, d’épinard, etc....Les petites pommes de terres, les plus chères en magasin, qui pourissent sur place, parce que trop petites pour la trieuse, et les grosses qu’ils faut jeter parce que coupées en deux par la machine. Et l’arrosage automatique qui fonctionne au dela du raisonnable, parce qu’il n’y a personne pour arrêter la pompe.etc.....etc....... Des forçats coincés par un système, comme tant d’autres.