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décurion

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  • décurion 20 décembre 2009 17:57

    Le taux de 5,5 % s’applique en général à l’alimentaire.
    Le taux de 19, 6 %, sur le reste fournitures et service.
    En supposant que le restaurateur, avance 300 € de TVA , et qu’il facture 500 € à sa clientèle, sa déclaration au titre de la tva sera libellée ainsi : tva payée = 300 | tva perçue = 500 | tva due = 200. Et il ne lui reste plus qu’à faire un beau chèque de 200 € au fisc, et les 300 € réintègre sa comptabilité en remboursement de ses avances.
    Résultat des comptes, le restaurateur ne sort rien de sa poche. S’il y a une vache à lait, ’est plutôt la clientèle.
    C’est vraiment incroyable, cette idée reçue sur la tva « payée » par les entreprises, alors qu’il suffit d’un papier et d’un stylo pour démontrer le contraire.
     



  • décurion 19 décembre 2009 16:23

    Je viens de vérifier les avis de réception des recommandés, en fait, c’était en mai 1993, et donc l’intervention de Séguin, c’était la même année. 1994, j’ai cette date en mémoire, parce que l’association en question n’avait été créée que dans la perspective des municipales de 1994, ce que j’ignorais.
    Je pense que l’usage de la tva sociale , doit viser le maintien de la sécurité sociale, et une meilleure répartition du poids du prélèvement.
    Les autres conséquences induites, doivent etre la cerise sur le gateau, et non le but.
    Que la tva sociale frappe aussi bien la consommation que les exportations : cerise
    Que les entreprises reversent cette tva, aprés facuration : cerise
    Une entreprise fabrique et stocke des jouets ou produitts de noel, toute l’année, et reverse la tva l’année suivante : cerise.
    Une autre conséquence légale de la tva sociale, est qu’elle fait de chaque consommateur un assuré social, un ayant droit aux prestations familliales, maladies et à la retraite. Cela rend caduques les différentes caisses professionnelles.
    Adapter les structures existantes aux conséquences découlant d’ une tva sociale, ne se résumerait à un simple jeu d’écriture, mais à un gros chantier qui soulève de nombreuses questions de droit, d’éthique, d’efficacité......
    Dans le climat de morosité actuel, alors que le pouvoir d’achat diminue, alors que la taxe carbone va s’ajouter à une charge, alors que le bouclier fiscal nargue, alors que les restaurateurs bénéficient d’une tva réduite sans contrepartie, on ne peut pas se permettre de présenter aux consommateurs un ticket de caisse avec deux tva .
    Je pense que dans ce cas, on assistera à une recrudescence de « système d’échange locaux » et une augmentation de marché parallèles, alimentés par des combines allant du vol simple , aux faux moyens de paiement.
    Finalement, c’est un non sens de vouloir relancer l’économie par une tva payée à la consommation, si cette dernière est en berne.
    Au point ou nous en sommes, je pense que la seule façon de créer pour un temps une spirale contraire à celle du chomage, est de redonner du pouvoir d’achat. Soit en distribuant des liquidités, soit en diminuant le cout de la vie.
    Nous sommes dans la cas d’un ballon qui doit rajouter de l’air chaud, ou jeter du l’est. Le lest etant des coûts pour les ménages, mais des gains pour d’autres, il faut sacrifier le moins utile .
     



  • décurion 19 décembre 2009 14:22

    NKM

    En l’absence de démonstration de votre part, et bien que ce fil soit déserté, je vais aller jusqu’au bout de ma pensée sur les faits, et aussi sur vous..

    Donc, pour résumer cette échange ;


    Je donnes mon avis, sur la Réunion, citée, (à mon avis) un peu trop rapidement, comme modèle d’intégration culturelle. Je conclus en donnant comme exemple à mes yeux, plus pertinent l’Algérie multiculturelle dont personne n’ignore ce que fut son histoire. Indiquant en plus la Bibliothèque Nationale, comme source de renseignement.

    Là, vous vous précipitez, sans réfléchir, comme un insecte vers la lumière, et par un raccourci impressionnant, vous occultez la Réunion, la réalité de l’Algérie, et la fin de la période française, pour me servir la période de 1954 à 1962, en m’accusant de déformer l’histoire, passant outre les limites de vos connaissances comme une pécadille.

    Vous êtes forcement un sot, pour me jugez moi, en fonction de vos limites, à vous.

    « Mettre la guerre d’Algérie sur le dos du multi-culturalisme...  »

    Et sur cette pitrerie, vous croyez, éclairer le monde !

    Me croyez vous vraiment inconscient au point de vous donner un bâton pour me battre ? Je vous soumets matières à réflexion, et cela vous échappe complètement.

    Vous êtes bien un arpète de la vie, je suis forcé de le constater, quel que soit votre âge, vous manquez d’expériences.

    Evidemment, le multi-culturalisme, n’a pas déclenché la guerre d’ Algérie, mais le communautarisme a exacerbé les sentiments.

    L’amalgame est ce qui permet de passer d’un fait à une conclusion prédéfinie, sans s’embarrasser de réfléxion, qui en deviennent inutiles.

    L’amalgame, c’est ce qui a autorisé Phillibert du piston à croire que je suis client de chez Fauchon, c’est ce qui vous autorise vous à m’accuser de souplesse, de remettre en cause ma bonne foi, mon intégrité. Cela fait beaucoup. Ainsi l’amalgame conduit phillibert à une opinion erronée sans conséquence, et vous l’humaniste à une accusation forgée à défaut de preuve, sur votre ignorance d’une histoire commune.Et en Algérie, cette amalgame, a été d’autant plus efficace, que les communautés étaient distinctes les une des autres.

    Pour revenir donc, sur cette tranche d’histoire, vous ne pouvez pas ignorer , que l’ Algérie était réellement peuplée de plusieurs communautés.

    Pour le reste, si l’on arrête à 6 litres, la quantité de sang chez un adulte, après le cessez le feu de mars 1962, après le référendum du 3 juillet 1962 qui scelle le sort de l’ Algérie, ce sont bien des hectolitres de sang qui jaillirent des corps de civils assassinés en une après midi, le 5 juillet 1962 à Oran. Il n’y eut pas ce jour là, comme le 9 juillet 1860 à Damas, un Abd el Kader, pour racheter les chrétiens livrés sains et saufs.

    Sur ces faits, au moins deux versions circulent, mais qu’elle que soit celle que l’on adopte, une chasse aux indésirables fut menée par une communauté, et subie par les autres.

    132 ans d’ Histoire, d’expériences, de succès et d’erreurs, une source d’enseignements et de leçons, à portée de mains, qui ne servent à rien.

    Et pourtant, elle tourne..................

    l’Histoire qui nous revient comme un boomerang.




  • décurion 18 décembre 2009 22:21

    En 1994, comme secrétaire bénévole d’une association de chomeurrs, j’étais porteur d’un projet pour l’emploi, qui reprenait la plupart solutions de l’époque, sur lesquels j’avais greffé beaucoup d’dées personnelles. Il y en avait tant, qu’il ne pouvait etre viable sans dérogation. Par courrier, j’avais présenté mon projet, aux élus de ma régions, et aux ministres du gouvernement Balladur. Entre autres dérogations, je demandais à prélever les charges sociales, parallèlement à la tva , selon un taux fixe sur les factures.. En Juin de la même année, Mr Seguin, lança à l’assemblée nationale, l’idée d’un tva sociale.
    Donc pour abréger, je suis favorable à la tva sociale, sous réserve que les conditions s’y pretent, et à mon sens, ces conditions ne sont pas au rendez vous.
    Il me semble impossible de concurencer les produits étrangers, sur le marché français, quelque soit les artifices déployés. Même fabriqué du trés bas de gamme, ne tiendrait que peu de temps.En réalité, il y trés peu de solution.
    -Contingenter les importations.
    -Exporter les mêmes produits que nous important, mais en qualité trés supérieure en direction des nouveaux riches, russes, chinois, indous.......
    -Développer une qualité « made in france »
    -Mettre en concurence les hommes au lieu des produits.Montrer l’ouvrier qui tond l’herbe de sa pelouse, le vendredi à 15 heure, alors que les chinois travaillent comme des coolies, etc..
    Enfin, il ne faut pas oublier que parmi ces entreprises qui nous mène la vie dure, il en est des françaises qui se sont délocalisées, et sur elles, nous avons quelques moyens d’agir.



  • décurion 18 décembre 2009 21:06

    Le dernier paysan que j’ai connu, est un ouvrier de la terre.
    Coincé entre les crédits et la coopérative, sa liberté d’initiative se résume à taper la coinche au bistrot le dimanche.
    Le seul avantage, c’est lorsque les produits ne correspondent aux normes imposées par la coopérative, il est quand même payé, pour son labeur. Trois jous après, il passe la herse, et recommence.
    Le revers de la médaile, c’est que ce paysan ne possède plus que sa ferme et dépendances, ses tracteurs à crédit, et plus un seul terrain qui lui appartienne. Et aussi l’immense gaspillage de carottes, de choux, d’épinard, etc....Les petites pommes de terres, les plus chères en magasin, qui pourissent sur place, parce que trop petites pour la trieuse, et les grosses qu’ils faut jeter parce que coupées en deux par la machine. Et l’arrosage automatique qui fonctionne au dela du raisonnable, parce qu’il n’y a personne pour arrêter la pompe.etc.....etc.......
    Des forçats coincés par un système, comme tant d’autres.

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