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Désuet Aigri

Un citoyen curieux

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Derniers commentaires



  • Désuet Aigri 6 mars 2008 18:49

    Cher Monsieur,

    Déjà que j’avais bien apprécié votre précédent opus sur les imbéciles au bureau (étant moi même un imbécile au bureau), alors là je me fend d’un commentaire car je vous approuve entièrement.

    Longtemps j’ai été un adepte du dépaysement tarifé, mais je me suis rapidement aperçu de ce que vous décrivez si bien.

    Toute cette misère qui vous regarde, vous qui n’avez pas faim et êtes correctement vêtu. Et ce sentiment confus d’être dans la peau de Marie-Antoinette en 1788, que ce qui se quémande d’un ton plaintif sera, tôt ou tard, exigé avec des arguments qu’on ne peut refuser. Lors des troubles de la fin du 18eme siècle, en France, les foules qui attaquaient les chateaux ne se préoccupaient pas si leurs habitants étaient estimables ou s’ils étaient coupables d’exaction. Non, ils se retrouvaint tous à la lanterne. C’est pourquoi, je prévois depuis longtemps (20 ans) qu’un jour, on attaquerait les touristes parcequ’ils sont touristes. Cela vient effectivement de se passer en plusieurs endroits de l’Afrique.

    J’avais résolu le problème en voyageant POUR NE RENCONTRER PERSONNE. Les pays chauds en hiver et les froids en été. Des pays riches ou de toute façon personne ne parle à personne. Des destinations idiotes : Maubeuge, Paris le dimanche soir, Pecs (Hongrie), Marseille à Paques, Norvège (on s’y perd) ou Allemagne. Je ne jouissait que de l’espace, l’air pur, le temps vide ou rien ne se passe.

    Et puis maintenant j’en suis à votre point, je reste chez moi et je relis Sénèque.



  • Désuet Aigri 6 mars 2008 17:38

    Citer Verlaine pour exalter un amour "pur" et non homosexuel est un peu niais : pour preuve, je ne résiste pas à citer l’immortel auteur de "Mon rêve familier".

    Un peu de merde et de fromage - Ne sont pas pour effaroucher -Mon nez, ma bouche et mon courage -Dans l’amour de gamahucher. - L’odeur m’est assez gaie en somme, -Du trou du cul de mes amants, -Aigre et fraîche comme la pomme -Dans la moiteur de saints ferments. -Et ma langue que rien ne dompte, -Par la douceur des longs poils roux -Raide et folle de bonne honte -Assouvit là ses plus forts goûts, -Puis pourléchant le périnée -Et les couilles d’un mode lent, -Au long du chibre contournée -S’arrête à la base du gland. -Elle y puise âprement en quête -Du nanan qu’elle mourrait pour, -Sive, la crème quéquette -Caillée aux éclisses d’amour -Ensuite, après la politesse -Traditionnelle au méat -Rentre dans la bouche où s’empresse -De la suivre le vit béat, -Débordant de foutre qu’avale -Ce moi confit en onction -Parmi l’extase sans rivale -De cette bénédiction !

    Cela dit, j’approuve l’auteur de l’article qui n’aime pas la pornographie. Mais je précise qu’il y a beaucoup de sortes de "porno" et que celui qui prévaut dans l’industrie actuelle, représente moins l’acte sexuel qu’une scène d’humiliation. A ce titre il est dégradant. Il fut un temps où la représentation du sexe montrait les femmes actives et conquérantes, c’était très beau.


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