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Diane-Annabelle

Prof de Lettres en congé maladie mais aussi ingénieure en Informatique Industrielle, et pianiste..

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Derniers commentaires





  • Diane-Annabelle 2 novembre 2010 22:41

    L’émission serait, d’après le site, rediffusée sur France 4 le 14/11 à 14:50 et le 15/11 à 22:10 
    A vos disques durs !



  • Diane-Annabelle 28 octobre 2010 12:25

    « ..se souvient de feu Jacques Chancel.. »

    Il appréciera sûrement le second degré !



  • Diane-Annabelle 17 octobre 2010 00:24

    @ Ariane
    Je sais bien de quoi il retourne, et j’ai simplement essayé d’esquisser un petit sourire pour entrer en contact, moi la nouvelle venue..
    Je sais aussi faire la différence entre d’une part les personnes qui manifestement et indubitablement « savent écrire », (et ô combien, chère Ariane !), laissant comme tout mortel de petites imperfections dûes à la fatigue, une distraction momentanée, que sais-je encore, mais surtout pas à la méconnaissance ou pire à une négligence volontaire ; et d’autre part.. les autres !

    @philou
    Merci pour vos souhaits de bienvenue.
    Ce qui suit est un peu hors sujet, qu’Ariane me pardonne..
    Je m’amusais il y a quelques temps, sur les forums (je vous épargne les « fora ») et autres espaces de discussion, à agacer, en leur rappelant la parabole de la paille et de la poutre, certains « donneurs de leçons et redresseurs de torts » -et seulement ceux-là- qui croyaient suprêmement intelligent d’agresser les auteurs de fautes tout en émaillant leurs propres remarques d’entorses à l’orthographe (au premier degré, pas comme vous bien sûr !) tout aussi manifestement involontaires. Un comble. Cette pédanterie m’est assez insupportable, presque autant que les agressions au ras du sol reçues alors en retour de mes interventions ! J’ai donc abandonné les moulins à vent à leur sort et je réserve habituellement mes corrections à mes élèves.
    J’en ai mené, des diatribes concernant la science des ânes -dont je suis loin d’être une inconditionnelle- et la nécessité malheureusement avérée de respecter le mieux possible ses règles (même si elles paraissent imbéciles) dans la communication écrite, c’est à dire en l’absence de tout autre élément facilitant la compréhension comme l’intonation, l’expression du visage, le geste, auxquels on a recours dans l’expression orale.
    Cela étant, je suis sûrement une dangereuse maniaque, et, qui sait, les nuits de pleine lune...

    Quant au correcteur, utilisé à bon escient, oui, bon, pourquoi pas.. mais il ne peut à mon avis être le seul arbitre.
    Bonne soirée.



  • Diane-Annabelle 15 octobre 2010 23:57

    Bonsoir Ariane

    Je découvre -un peu tard- votre article..

    Modeste « prof de Lettres » dans l’enseignement secondaire, je ne peux qu’admirer votre verve, votre style et sa forme impeccable, autant que le fond de vos propos qui rejoignent mes opinions et, cela va sans dire, emportent mon adhésion.

    Je dois toutefois relever dans ce texte ce qui ressemblerait, sauf erreur, à de petites « imprécisions » grammaticales, à l’évidence imputables à une très fugitive absence d’attention au moment de l’une des fastidieuses relectures avant publication, somme toute bien compréhensible ; et non pas à un hypothétique correcteur orthographique défectueux, que les personnes comme vous se refusent, je l’espère, à utiliser..
    Cela me fonderait à penser, si je n’en étais déjà convaincue, qu’une personne ’agrégée des Lettres’ est aussi un être humain, et je vous suis profondément reconnaissante d’ainsi me rassurer, moi dont la grande crainte est de laisser passer dans mes écrits une quelconque dissonance relative à la morphologie et à la syntaxe de notre belle langue.
    En bref, voici deux objets (pas nécessairement uniques, je n’en ai simplement pas cherché d’autres) qui m’interpellent :
    Je cite : « ..Mais travailler deux ans de plus va-t-il empêcher que le loyer d’un studio soit celui d’un château, que les fruits valent des bijoux, que le banditisme soit loi, qu’aucune morale ne prime, que les peuples soient volés par leurs dirigeants même, que la loi du marché soit celle, non pas de la jungle.. »

    1- Je préférerais -je vous épargne le ’j’eusse préféré’ !- que le verbe ’valoir’ subisse lui aussi l’utilisation du subjonctif présent (vaillent) dans cette formulation énumérative (alors que prise isolément, la phrase : « ..Mais travailler deux ans de plus va-t-il empêcher que les fruits valent des bijoux ? » serait éventuellement recevable quoique de sens légèrement modifié).

    2- ’même’ est compris ici comme un adjectif associé à ’dirigeants’ et non comme un éventuel adverbe (dont, je suppose, on comprendrait mal la présence à cet endroit) ; j’emploierais alors le pluriel, sauf peut-être à vouloir à tout prix la licence poétique qui conserve en ce cas le singulier, mais qui à mes yeux n’a pas franchement lieu d’être ici.

    Néanmoins nous sommes en droit d’être rassurés sur un point : ces subtilités échapperont à l’éminent destinataire désigné de cette lettre ouverte, si un improbable hasard fait qu’il la lise lui-même..

    PS : je ne pratique pas, malgré des apparences trompeuses, la diptérosodomie !
    Tout cela est à prendre avec humour et bonne humeur..

    Très cordialement
    Diane-Annabelle

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