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Didier Barthès

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Tableau de bord

  • Premier article le 16/04/2010
  • Modérateur depuis le 10/09/2010
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Derniers commentaires



  • Didier Barthès 15 mars 2012 19:34

    Bonjour « Je suis un homme libre »

    Votre dernière remarque est très juste, une telle nature gérée par des « administrateurs- jardiniers », n’évoluerait plus, ce serait un jardin, ce ne serait plus la nature. Il va de soi que ce n’est pas ce que je souhaite. Si je suis favorable à une certaine gestion, je dois alors préciser ce que j’entend par là : Réserver des zones (vastes et nombreuses d’où mon militantisme anti-surpopulation) où l’homme n’intervient absolument pas. Mais surtout n’essayons pas de jouer à Dieu, laissons faire les lois de la sélection naturelle qui sont de loin les plus efficaces. Merci de m’avoir donné l’occasion de préciser ce point.



  • Didier Barthès 15 mars 2012 15:44

    Malgré l’admiration que l’on peut avoir pour Gandhi, on ne doit pas forcément prendre chacune de ses citations pour parole divine. Quand Gandhi est mort, le monde avait moins de 2,5 milliards d’habitants, nous en avons 7, admettez que les données ont changées. En 1900 il y a avait 100 000 tigres dans le monde il y en a moins de 3 000 désormais et cette réduction est pour l’essentiel lié au fait que l’habitat des hommes à pris la place de celui du vivant. La Terre n’a pas gagné un seul mètre carré depuis Gandhi. Quitte à ne pas me faire d’amis, je maintiens que la phrase « La Terre compte suffisamment de ressource pour satisfaire aux besoins de tous », est désormais vide de sens, c’est tout simplement une négation du monde physique et un appel à supprimer tout espace pour les autres espèces que l’homme, de ce monde là, j’assume ne pas vouloir. Encore une fois : Où mettrez vous les animaux et les forêts dans un monde de 10 milliards d’hommes ? Rêvez-vous de monades urbaines ?



  • Didier Barthès 15 mars 2012 09:26

    Les plus pauvres n’ont qu’une envie (et on les comprend) c’est de devenir riches et d’accéder au niveau de consommation occidental. Or ceci n’est pas supportable par la planète. Donc, ou on les laisse dans la pauvreté ou on leur demande de faire moins d’enfants, moi je suis pour la seconde solution. Ceux qui ici se donnent une bonne image en disant défendre les pauvres se trompent de combat, ils défendent en fait la pauvreté. Les vrais défenseurs des pauvres et de la nature sont bien les anti-natalistes. 



  • Didier Barthès 13 mars 2012 13:06

    Evidemment tout cela est une évidence et la myopie d’EELV sur ce point est désesperante. Combien de fois faudra-t-il marteler ce que dit depuis plusieurs années l’association Démographie Responsable ? Combien de fois faudra-t-il rappeler que tous nos efforts en matière d’environnement seront réduits à néant si notre nombre continue d’augmenter ? Quels que soient nos comportements si nous sommes trop nombreux, nous détruirons tout. La biodiversité en particulier. Il n’y a pas d’alternative, on ne peut pas protéger les animaux si on occupe l’espace pour nous mêmes. Les grands animaux ont besoin de beaucoup d’espace, un tigre à un territoire de plus de 100 km carrés (10 x 10 km) cela fait beaucoup, mais l’équilibre écologique et la beauté de la planète sont ainsi constitués, aucune idéologie politique ne changera ces règles-là. C’est vraiment le point déterminant, c’est le plus grave. Si nous éliminons les animaux nous serons à jamais moralement déconsidérés et nous aurons commis l’irréparable ou presque, car c’est en millions d’années que se comptera le temps nécessaire pour recréer des espèces aussi belles par exemple que les grands félins. Nous aurons commis une faute contre la beauté du monde.

    Il faut de toute urgence nous engager vers une baisse sensible de notre fécondité, c’est même probablement la meilleure expression de l’humanisme de demain. A tous ceux que ne seraient pas sensibles au sort des animaux je rappelle que si nous voulons que nos enfants aient droit eux-mêmes à avoir des enfants à leur tour et s’ils veulent vivre dans un monde supportable, l’humanité doit réduire sa pression sur la nature et pour cela d’abord ses effectifs. Puissent les représentants de tous les mouvements écologistes le comprendre plutôt que se satifaire de la dénonciation de boucs émissaires même si celle dénonciation leur parait politiquement plus rentable. 



  • Didier Barthès 7 mars 2012 21:24

    Vous avez raison, le système fiscal favorise trop les familles nombreuses, il serait bon de le réorienter, voyez ce que dit sur le sujet l’association française Démographie Responsable

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