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Didier Barthès

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Tableau de bord

  • Premier article le 16/04/2010
  • Modérateur depuis le 10/09/2010
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Derniers commentaires



  • Didier Barthès 24 juin 2010 19:38

    Merci pour toutes les précisions chiffrées que vous apportez. En ce qui concerne la dernière erreur, j’allais vous la signaler (car le résultat était surprenant et l’ordre de grandeur bien étrange), mais vous l’avez corrigée avant.
    Bien sincèrement.



  • Didier Barthès 19 mai 2010 15:51

    Bonjour,

    Sur le fait que la vapeur d’eau retombe très vite au sol n’empèche pas que dans une atmosphère plus chaude il y ait en permanence plus de vapeur d’eau que dans une atmosphère froide. Si elle retombe elle s’évapore aussi plus vite. On sait par exemple que l’atmosphère au dessus de l’Antarctique (qui est un continent très froid) est très sèche.

    Je précise une nouvelle fois, mais cela concerne plutôt l’interlocuteur précédent, que mon article n’avait pas pour objet de trancher entre différents effets, il avait juste pour ambition de signaler l’existence de phénomènes contraire dont je persiste le solde net nous est (parfois) inconnu, ce qui je l’admet ne signifie qu’il soit égal à zero. Il peut effectivement y avoir influence dans un sens ou l’autre. Je voulais surtout m’insurger contre une simplification du discours climatique.

    En ce qui concerne la durée je maintiens néanmoins mes propos. Je suis d’accord avec vous pour dire que mettre 100 ans plutôt que 50 pour atteindre tel ou tel niveaux de C02 peut tre mieux pour la nature (en lui laissant le temps d’en réabsorber une partie) Toutefois, deux remarques.
     
    - Si au bout de 100 ans nous obtenons quand meme un taux élevé de CO2 dans l’atmosphère, c’est que nous aurons échoué et que la nature n’aura pas tout absorbé
    Dans 100 ans nous nous retrouverons au meme point et la nature devra absorber des quantité^s aussi importantes que si nous n’avions pas fait d’économies d’énergie fossile.

    - Si l’on estime que l’histoire de la vie sur Terre (avec une riche biodiversité, je ne parle pas des seules bactéries) doit encore s’écrire sur plusieurs millions ou même centaines de millions d’années, alors en effet, 50 ou 100 ans avant d’atteindre tel niveau de CO2 c’’est sans importance, ce qu’il faut c’est ne pas l’atteindre.

    Bien sincèrement



  • Didier Barthès 14 mai 2010 14:42

    Sur ce dernier point, j’ai, vous le voyez, utilisé le conditionnel. J’ai en effet lu plusieurs études allant dans le sens que vous évoquez c’est à dire un bilan net conduisant à une baisse de la quantité de glace en Antarctique
    Encore une fois (et cela répond à un autre message prétendant qu’il est inutile d’écrire quand on ne sait pas), l’objet de cet article n’est pas de faire un cours de climatologie, il est de montrer la complexité des choses en donnant des exemples ou, parfois, s’opposent des phénomènes contraires.
    L’opposition de forces antagonistes ne signifie pas que le résultat final soit forcément le maintien des équilibres actuels, il peut y avoir effectivement mouvement net dans dans un sens plutôt que l’autre.
    Je voulais juste mettre en garde contre les discours simplistes et appeler chacun à se documenter et à réfléchir sur le sujet, vos renvois y participent.

     



  • Didier Barthès 13 mai 2010 19:59

    J’ai juste voulu dire, en l’illustrant par quelques exemples, que le climat était une chose compliquée et qu’on y trouvait des effets qui se contrariaient, de telle, sorte qu’il était délicat de déterminer le solde net des phénomènes.
    Ce genre de choses, et je voulais insister dessus, est très difficile à médiatiser, car on ne peut désigner au public ce qui est bien et ce qui est mal.
    Cela nécessite un effort de la part de tous : il faut accepter la complexité.
    J’ai cité le Giec, mais je ne souhaitais pas spécialement le critiquer ou le mettre en cause, cela n’était pas là mon objet. J’admets que malgré les incertitudes il y a peut-être un effet net de réchauffement (je le crois plutôt d’ailleurs). Cela n’exclut pas les interrogations.



  • Didier Barthès 19 avril 2010 12:12

    De toute façon, cela sert à quoi d’éviter l’émission de CO2 ?
    Je ne dis pas cela par provocation, mais, ce que nous n’emettons pas aujourd’hui (en brûlant des réserves fossiles) nous l’émettrons demains en brûlant celles que nous aurons ainsi économisées.
    Est-il grave pour la planète que tout le CO2 émissible le soit en 150 ans si l’on est économes ou en 120 ans si l’on est gaspilleurs ? Dans les deux cas dans 150 ou 160 ans l’atmosphère sera dans le même état.
    Le vrai problème n’est pas de trouver des solutions alternatives (car elles sont souvent très polluantes sous d’autres forme) mais de moins consommer et pour cela outre un changement de comportement, la variable principale est la démographie.
     Dans un monde à 7 et bientôt 9 milliards nous n’avons aucune solution valable, nous polluons la nature et massacrons toutes les autres espèces.

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