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Didier Barthès

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  • Premier article le 16/04/2010
  • Modérateur depuis le 10/09/2010
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Derniers commentaires



  • Didier Barthès 5 novembre 2013 21:15

    Plus nous attendons pour prendre des mesures douces contre la surnatalité, plus nous serons condamnés demain à des mesures plus douloureuses. Soyons raisonnables abaissons notre fécondité et réduisons ainsi nos effectifs pour garder une planète habitable.



  • Didier Barthès 5 novembre 2013 21:11

    Il y a 10 000 ans chaque homme disposait sur Terre d’une surface d’environ 2 000 à 3 000 hectares, aujourd’hui nous avons un peu plus de 2 hectares par personne. Bien sûr que la surpopulation est le problème de l’humanité et de la planète. Il n’y a pas de place pour de tels effectifs et pour le reste du monde vivant. Si nombreux, nous sommes condamnés à tout détruire. Nous le faisons d’ailleurs. Où allons nous mettre les forêts et les animaux. Nous sommes bien là où ils étaient.



  • Didier Barthès 5 novembre 2013 08:28

    Non non non, on ne trouvera pas une autre planète, c’est physiquement impossible. Cela a coûté l’équivalent d’environ 200 milliards d’euros pour envoyer 12 hommes quelques heures sur la Lune je vous laisse imaginer ce que coûterait d’envoyer 7 milliards d’hommes définitivement à des distances plusieurs millions de fois plus importantes.

    D’ailleurs comme l’humanité a quadruplé ses effectifs en 100 ans cela ne servirait à rien. De plus l’homme est le résultat d’une sélection naturelle alimentée par les conditions physiques de sa planète (densité et composition atmosphérique, température en niveau comme en variation, rythmes circadiens, humidité, gravité, luminosité, relation avec les autres espèces vivantes proies et prédateurs etc. ) par définition la Terre est la planète la plus adaptée à notre condition. Hubert Reeves ajoute à juste raison que si en plus nous allons ailleurs nous reproduirons nos mêmes comportements et que donc, cela fait une raison de plus pour ne pas le faire.

    Il faut toujours prendre en compte les ordres de grandeur, aujourd’hui nous sommes 7 milliards c’est tout simplement trop, et contrairement à ce qu’a dit un vieux savant russe, (intéressant par ailleurs mais qui, là, s’est laissé allé au n’importe quoi pour le plaisir d’une jolie phrase) oui, nous resterons dans notre berceau et c’est très bien ainsi.

     



  • Didier Barthès 4 novembre 2013 15:52

    Oui tout à fait, il est illusoire de croire que la technologie relève d’une sorte de magie qui inventerait de nouvelles richesses. Elle nous a juste permis de consommer plus vite les ressources de la Terre, une sorte de répit trompeur. Grace à elle, en 200 ans, nous aurons épuisé tout le pétrole et peu après tout le gaz et le charbon.

    Et pourrions-nous nourrir les hommes, où les mettre ? Dans de gigantesque tours ? Des monades urbaines comme le suggérait un célèbre livre de science fiction ? Il n’y a pas de fuite en avant dans une boîte fermée, il faut ménager l’intérieur, nous faisons exactement le contraire.

     



  • Didier Barthès 4 novembre 2013 15:35

    Malthus n’a pas été démenti, il avait juste raison avant les autres. Si les famines ne se sont pas produites aussi vite qu’il l’avait prévu, c’est juste que nous avons puisé dans les réserves d’énergies fossiles ce qui a fait explosé les rendements agricoles, mais cette abondance est terminée. Dans 30 ans le pétrole fera sérieusement défaut.

    Dans le même temps nous avons appauvri la Terre (97 % de tigres et de lions en moins en un siècle , il faut le faire !)

    Quant à aller dans les étoiles... allons donc, cela relève de la (mauvaise) science fiction, nous allons rester sur la Terre et nous devrons nous heurter à sa finitude. N’oubliez jamais les effets terribles des mécanismes exponentiels, aucune réalité matérielle n’y résiste. La croissance se heurtera à cela et ce heurt sera douloureux.

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