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Didier Barthès

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  • Premier article le 16/04/2010
  • Modérateur depuis le 10/09/2010
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Derniers commentaires



  • Didier Barthès 7 septembre 2015 09:57

    @René 03

    Oui René vous avez raison, tous les grands problèmes de l’humanité sont aujourd’hui aggravés par le nombre. Tous seraient plus faciles (ou moins difficiles) à régler si nous étions moins nombreux. Il est même probable que certains sont impossibles à régler à 7 milliards (et encore moins à 11 à la fin du siècle) alors qu’ils le seraient facilement si nous revenions aux effectifs d’il y a 100 ou 200 ans. Il en est ainsi de la protection des espèces animales mais aussi de la faim qui frappera lourdement dès que manquera le pétrole.



  • Didier Barthès 6 septembre 2015 18:13

    @CN46400

    Certes, le lien n’est pas linéaire et il y a des exceptions, mais même les pays d’Europe de l’Est ont un niveau de développement et de consommation qui n’est pas généralisable à la planète entière. La France d’autre part parmi les pays développés fait figure d’exception par sa forte natalité (avec l’Irlande en Europe).



  • Didier Barthès 6 septembre 2015 14:41

    @CN46400

    Vous répétez là ce que le monde voudrait bien entendre, qu’un peu de développement désamorcera la bombe démographique comme cela s’est fait partout, reprenant la théorie d’une transition démographique généralisée et pacifique.

    Il est hélas trop tard pour ce schéma dont l’automatisme est d’ailleurs loin d’être certain. Les niveaux de fécondité permettant d’entamer une stabilisation puis une baisse de nos effectifs sont généralement associés à des niveaux de développement qui, s’ils étaient appliqués à toute la planète, conduiraient à une consommation et à une pollution absolument intolérable pour la biosphère.

    Il faut dés maintenant abaisser la fécondité sans attendre les éventuels effets d’un éventuel développement. Il faut agir d’autant plus vite que la population mondiale est jeune (l’âge médian est autour de 28 ans) et que donc mécaniquement même avec une faible fécondité il y aura automatiquement de nombreuses naissances du fait de l’importance relative du nombre de personnes en âge de se reproduire.

    Ajoutons enfin, puisque vous pariez sur le développement, que celui-ci ne se décrète pas et que la fin prochaine des énergies fossiles va sérieusement entamer les possibilités que nous avons connues dans le passé dans d’autres pays.



  • Didier Barthès 6 septembre 2015 10:37

    Ce qui manque dans cet article c’est l’absence de référence à l’une des causes principale des migrations, l’explosion démographique (cause qui d’ailleurs a bien d’autres conséquences, notamment en matière d’environnement, mais qui est toujours passée sous silence). Que ferons-nous le jour où la déstabilisation touchera le Nigéria (900 millions de personnes prévues en l’an 2100 !) ?

    Sur ce sujet des relations entre les migrations et la démographie voir sur Agoravox l’article qu’à écrit Rémi Manso, membre de l’association Démographie Responsable

    Migrations et Démographie



  • Didier Barthès 6 septembre 2015 09:57

    Cette mise en cause du facteur démographique était nécessaire.

    On doit d’ailleurs remarquer que le silence qui se fait sur ce point de la relation entre démographie et migration s’étend à beaucoup d’autres sujets. Personne ou presque n’ose parler du facteur démographique, pourtant déterminant, dans la disparition des espèces (par artificialisation de tous les territoires). Nous avons éliminé 50 % des animaux au cours des 40 dernières années. De même, dans quelques semaines s’ouvrira la COP21 où il n’est pas question de mettre le problème du nombre des hommes en première ligne.

    Chaque fois sur tous ces thèmes on préfère livrer à l’opinion quelques boucs émissaires, quelques coupables désignés sans proposer un recul sur ce que sont nos effectifs aujourd’hui.

    Ils sont hors de proportion avec ce qu’a connu l’humanité tout au long de son histoire, ils sont hors de proportion avec les règles élémentaires de l’écologie qui veulent qu’un prédateur soit par définition en petit nombre. Nous avons aboli ces règles, Pour l’instant toute la biosphère en pâtit , demain cela sera à notre tour. Il sera trop tard hélas pour réparer les dégâts.

    Le droit que nous considérons comme inaliénable d’être toujours plus nombreux aura aboli tous les autres droits, ceux des autres être vivants comme ceux des hommes. Nous périrons de notre arrogance et de notre vanité. La folie des migrations en est une première illustration.

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