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Didier Cozin

Didier Cozin

Ingénieur de formation professionnelle, rédacteur d’ouvrages sur la formation (histoire de DIF, Reflex DIF...), dirigeant de l’agence pour la formation tout au long de la vie (AFTLV).

Tableau de bord

  • Premier article le 31/01/2009
  • Modérateur depuis le 23/02/2009
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Didier Cozin Didier Cozin 26 avril 2012 09:04

    Quand on a une économie à la renverse, un social qui fout le camp (tout en étant hors de prix), une fonction publique qui travaille surtout pour elle même, une perte d’influence culturelle flagrante (en Italie plus personne ne parle français, le réseau des alliances françaises est à l’agonie)... il ne reste que 2 solutions :

    • Faire amende honorable en se disant que les français ne sont peut-être pas différents des autres peuples de la terre et qu’il faut tenter de s’adapter au mode de développement des autres (après tout la Suède qui n’a plus de fonction publique n’est pas réellement un « enfer » libéral)
    • Ou prétendre dicter notre modèle (social, économique, politique) au monde entier tout en croyant que la révolution française, De Gaulle ou « les misérables » rendront les français séduisants et performants pour l’éternité.


  • Didier Cozin Didier Cozin 26 avril 2012 08:35

    « Les chinois mangent mieux que sous mao » C’est de l’humour sans doute .

    Extrait d’un article de l’Express de 1998 à propos d’un livre de Jasper Becker :

    La Chine a connu plus de 1 800 famines au cours de ses vingt-cinq siècles d’histoire. Pourtant, celle qui frappe le pays entre 1959 et 1961 est sans précédent : plus de 30 millions de morts. Des plaines du Yangzi Jiang aux plateaux du Tibet, toutes les régions sont décimées. Car la pénurie est sans rapport avec la géographie ou le climat : les victimes payent de leur vie l’utopie meurtrière de Mao Zedong. Autocrate favori de l’intelligentsia française de l’époque, il engage son pays dans une industrialisation à marche forcée. Pendant ce Grand Bond en avant, l’Etat confisque les terres et les biens des paysans, puis instaure des méthodes d’agriculture bidon. Provoquant le cataclysme. Dans son ouvrage La Grande Famine de Mao (éd. Dagorno), Jasper Becker raconte en détail, pour la première fois, l’épisode le plus meurtrier de la tragédie communiste. Ce fut l’un des événements les plus tragiques de ce siècle, dont on commence tout juste à réaliser l’ampleur.


  • Didier Cozin Didier Cozin 1er janvier 2012 21:26

    Une seule remarque pour aller dans le sens de ce texte (et j’ai eu le malheur d’ense(ai)gner durant plus de 20 ans en collège en banlieue). Cette semaine à Rio de Janeiro nous avons eu toutes les peines du monde à trouver des interlocuteurs parlant anglais. Seul un chauffeur de taxi senior (59 ans) nous a indiqué que pendant la dictature des militaires l’école était excellente au Brésil. Il parlait un anglais de qualité et semblait doté de capacité de synthèse et d’analyse dont ne disposent pas nombre de brésiliens aujourd’hui !. Le problème de l’éducation est mondial, en Inde, en Tunisie, aux USA ou au Brésil les profs ne sont souvent plus que des pantins que plus personne n’écoute. Ivan illich l’avait prédit : Trop d’école tue l’école et en France en scolarisant les enfants dès 2 ou 3 ans on leur administre une overdose de profs bien avant qu’ils n’accèdent au collège.
    Si l’école commençait à 5 ans avec de gros moyens pour le primaire, moins pour les collèges et les lycées ça marcherait sans doute un peu mieux.



  • Didier Cozin Didier Cozin 24 août 2011 08:39

    Merci à tous ceux qui ont répondu ou répliqué à ma prose.

    Ceux qui me traitent de libéral ne m’insultent pas, dans libéral il y a liberté et je pense qu’au final moins de terriens ont été tués au nom du libéralisme (même s’il y a eu Pinochet je vous l’accorde) qu’au nom du socialisme (Mao, Pol Pot, Staline...)

    Pour conclure (désolé je suis un travailleur indépendant et travaille  durant tout août tout comme durant juillet) Je vous propose de lire des résumés d’un livre de Dudlley Lynch (un autre éminent professeur d’université)  : la stratégie du Dauphin.

    Selon cet auteur les travailleurs peuvent être classés en 4 catégories :

    • La carpe : tapie dans la vase elle pense qu’il y a pénurie (de travail par exemple) et se pose en éternelle victime,
    • La carpe pseudo éclairée (CPE) : Elle croit en un univers bienfaisant et équilibré où il suffirait de dénoncer les injustices pour qu’elles se résolvent. Pour elle, le mal n’existe pas et en se laissant porter par le courant elle pense que tout finira par se réguler tout seul,
    • Le requin : il pense la vie en termes de compétition et de survie. Pour lui la fin justifie les moyens,
    •  le  dauphin : il surfe sur la vague (informationnelle) ne perd jamais de vue l’avenir, sait se corriger, apprend vite et durablement, se perturbe pour se pousser à changer, utilise la vague tout en sachant qu’elle ne sera pas éternelle


    A chacun d’entre nous de choisir son bassin.



  • Didier Cozin Didier Cozin 23 août 2011 12:44

    La solidarité intergénérationnelle !!

    Parlons en. J’ai dans mes proches une jeune étudiante qui vient de terminer après 2 ans d’apprentissage un Master dans les ressources humaines (ces affreux qui doivent manager les salariés comme il leur est reproché à longueur de tribune) dans une fac très sélective à Paris (il en reste).
    La société publique qui l’avait accueillie il y a 2 ans vient de lui signifier qu’elle ne l’a recrutera pas car ils viennent déjà de recruter leur prochain apprenti (l’apprentissage c’est zero charges pour l’employeur). Cette jeune personne a donc le choix entre des missions précaires durant une bonne dizaine d’années et plus tard une hypothétique embauche en vrai à l’âge de 30 ou 35 ans ou se lancer à son compte (c’est ce qu’elle a choisi sur mes conseils).
    Elle paiera donc bien peu de cotisations sociales, elle tout comme l’employeur qu’elle n’aura pas pu trouver.

    A côté de cela j’ai une bonne amie, « vieillarde » de 57 ans qui se retrouve en cette rentrée retraitée (en pleine forme) de l’éducation nationale car elle a élevé 3 enfants.
    La solidarité inter-générationnelle que prônent donc les grandes consciences de gauche c’est tout pour les vieux et rien pour les jeunes (qui le savent évidemment n’auront pas de retraite).

    Certains voudraient nous faire passer ce système comme un parangon de justice sociale. C’est une plaisanterie j’espère

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