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Didier Cozin

Didier Cozin

Ingénieur de formation professionnelle, rédacteur d’ouvrages sur la formation (histoire de DIF, Reflex DIF...), dirigeant de l’agence pour la formation tout au long de la vie (AFTLV).

Tableau de bord

  • Premier article le 31/01/2009
  • Modérateur depuis le 23/02/2009
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Derniers commentaires



  • Didier Cozin Didier Cozin 19 mai 2010 21:47

    Le DIF est une négociation entre un salarié qui veut développer ses compétences et un employeur qui devrait comprendre que c’est aussi son intérêt.
    Si certains employeurs ne jouent pas encore le jeu les choses changeront dans quelques mois quand le DIF aura gagné en importance et sera plus développé.

    Il sera en effet difficile à un employeur de refuser le DIF d’un salarié dans une PME sachant que les OPCA ont désormais pour mission de développer la formation (et les financements) dans ces mêmes PME (et que le DIF se déroule en principe hors temps de travail ce qui est très facilitateur pour une petite entreprise).
     
    Pour une grande entreprise le problème sera encore plus vite résolu car si 300 ou 500 personnes demandent leur DIF le même mois aucune entreprise ne pourra résister à une telle pression sociale.

    Les travailleurs ne sont pas démunis en matière de Droit à la Formation il faut simplement qu’ils comprennent qu’un Droit n’est jamais offert, qu’il se conquiert 



  • Didier Cozin Didier Cozin 10 mai 2010 10:30

    Libre aux grands redresseurs de torts et justiciers sociaux de nier l’intérêt du DIF, cette ré-appropriation de sa formation par le peuple (avec au passage leur sempiternelle « dénonciation » des boîtes à fric qui s’engraisseraient sur le dos des entreprises.)

    Non, contentons-nous de nous pencher sur les solutions pratiques et accessibles que nous proposent ces thuréfiraires du service public, grands spécialistes du « yaka focon » , déconnectés de la réalité sociale mais ayant des idées généreuses dans tous domaines.

    - des formations longues de plusieurs centaines d’heures (500-1000 h), diplômantes pour les salariés n’ayant pas un niveau de qualification suffisante.

    Il y a en France près de 1,5 millions de salariés illettrés, au moins autant de travailleurs sans aucune qualification. En gros il faudrait former 3 millions de personnes durant une année (plus toutes les personnes au chômage qui pour au moins 1,5 million d’entre elles ont besoin rapidement de reconversions longues)

    Il faudrait donc qu’à courte échéance, en plus des formations actuelles, de ses tâches de remédiation habituelles (les programmes destinés aux 160 000 jeunes qui sortent tous les
    ans de l’école sans rien) l’Etat soit capable de dégager 20 000 euros (fourchette basse du coût d’un CIF) pour une somme globale de 60 milliards d’euros !. En fait il faudrait consacrer les 3/4 du budget de l’éducation nationale (et avec quel résultat final ?) pour ce que les grands utopistes (qui n’aiment pas compter) nous proposent.

    - Des formations diplômantes pour tous : Est-on si sûr que les entreprises aient besoin de diplomés, nous rencontrons désormais des centaines de diplomés (y compris de grandes écoles) à la recherche de stages ou des vagues CDD. Pourquoi former plus de diplomés en 2010 ? Plus fondamentalement est-on encore certain que le système éducatif public soit adapté aux besoins des entreprises, quelles garanties ont les entreprises que les programmes, les méthodes, les enseignants sont en prise sur les réalités professionnelles actuelles des entreprises ?

    Tout cela est déraisonnable et tous ces gens se prétendant proches du peuple feraient mieux de nous aider à populariser le DIF au lieu de mentir au peuple et à eux-même.

    Didier cozin



  • Didier Cozin Didier Cozin 22 mars 2010 13:20

    Il y a erreur (peut-être volontaire) de la part de l’employeur : la prise en charge des formations DIF dans le cadre du contrat de travail n’est absolument pas limitée à 9,15 euros de l’heure.
    Ce tarif de 9,15 euros ne concerne que les DIF portés en cas de rupture professionnelle.

    Dans le cadre normal du contrat de travail le prix d’une heure de DIF n’est pas plafonnée et le salarié n’a rien à verser en complément du prix de la formation (ni même pour ses déplacements ou son hébergement).
    De plus il bénéficie d’allocation formation s’il réalise son DIF hors temps de travail.

    Certains employeurs mélangent tout et n’ont pas bien compris que le DIF leur coûtera très cher s’ils ne le mettent pas rapidement et loyalement en oeuvre.



  • Didier Cozin Didier Cozin 28 février 2010 12:27

    Je propose à escout de me contacter sur cette adresse mail : [email protected].
    Je pense qu’avec sa volonté et ses capacités à rédiger j’aurai, dans les mois qui viennent, des missions à lui proposer (dans la formation professionnelle) qui lui permettront de se remettre en selle et de ne plus travailler pour rien ou presque.

    Attention je précise qu’il s’agit de travailler en indépendant, pas d’être salarié.



  • Didier Cozin Didier Cozin 25 février 2010 10:24
    ....l’homme malade de l’Europe"
     
    Au XIX ème siècle l’expression, qui a fait florès depuis, concernait l’empire Ottoman et avait été prononcée par le ministre anglais Palmerston.(source wikipedia)
     
    Si j’ai repris à mon compte cette expression c’est qu’elle me semble bien convenir à la France d’aujourd’hui, cet ex-empire qui croit pouvoir garder les attributs et prérogatives liés à son passé glorieux.
     
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