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Dolores

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  • Dolores 20 janvier 2008 19:30

    Vous pensez donc que la France n’est pas une démocratie et que les politiques ont le droit de se conduire en dictateurs en ne tenant aucun compte du vote des Fançais.

    En poursuivant la logique de votre discours, pourquoi irion-nous voter à quelque élection que ce soit ?

    Le politiques feraient bien mieux que le peuple en s’élisant eux-mêmes, n’est-ce pas ?!!!!!!!!!



  • Dolores 16 janvier 2008 20:53

    Il y a déjà bien longtemps que les Français dorment et quand ils ne dorment pas ils sont aveugles !

    Le seul fait de ne tenir aucun compte du "non" à 55% au referendum sur le TCE et d’imposer le "mini traité" par ratification de l’Assemblée démontre, s’il en était besoin, le mépris dans lequel la classe politique tient le peuple français.

    Au lendemain de ce referendum d’ailleurs, la gauche comme la droite nous expliquaient combien les Français étaient stupides. S’ils avaient voté "non", c’était en réaction contre Chirac et non pas contre le TCE.

    C’est dire que ce traité qui sera voté par l’Assemblée, n’en doutons pas, nous imposera une constitution, au dessus de la nôtre, dont 55% des Français ne veulent pas.

    On peut douter de la réalité de la représentation quand les députés que nous avons élus pensent que nous avons voté"non" en pensant "oui" !

    Cette façon d’agir s’apparente plus à une dictature qu’à une démocratie.

    La Constitution est devenue un véritable chiffon de papier : quand elle ne convient pas aux politiques en charge des gouvernements (ou à l’Europe) on change. Ce n’est pas pour le bien du peuple, mais pour satifaire l’Europe des marchands en général. Il faut être conscient que ce traité est la réaffirmation du traité de Maastricht dans son intégralité en même temps que de nouvelles dispositions constitutionnelles contraire aux nôtres puisqu’il faut changer notre constitution qui les rendrait inacceptables.

    Nous revenons au bon vieux temps de la monarchie au pouvoir absolu et personne ne semble vouloir protester.

    Tout ce passe dans une ambiance de lavage de cerveaux grâce aux média qui n’ont plus une once de sens critiquee, qui encensent toutes les nouvelles "bien-pensence" et se conduisent en courtisans.

     

     

     

     

     



  • Dolores 2 janvier 2008 20:12

    La société est formatée, normalisée, aseptisée et...puritaine et intolérante.

    Regardez la télévision pour vous en convaincre ! Hier, ou avant-hier, on se posait la question de la cigarette dans les films. Les auteurs qui voudraient faire fumer leurs personnages devraient demander l’autorisation ou une dérogation ? Où va-t-on ? Pensée unique et stalinienne ou ridicule ?

    On s’agit d’abord de donner mauvaise conscience au citoyen avant de concocter une loi pour tous. Il est mal vu ,aujourd’hui, de fumer : le fumeur est un ennemi pour ses concitoyens qu’il empoisonne par des cancers « passifs », sans parler de lui-même.

    Mais il existe d’autres ennemis :

    le « gros » (répugnant) qui par définition ne peut que « bouffer comme un cochon » et qu’on exclut non seulement de la considération mais du travail et de plus il est suspecté de coûter cher à la sécu à cause des accidents cardiaques qu’il ne peut manquer d’avoir ;

    l’« alcoolique » qui boit 4 verres de vin au lieu des 3 verres prescrits par jour ;(qui a décidé ?)

    la femme enceinte qui en buvant une seule goutte d’alcool va donner naissance à un « retardé ».Je crois qu’il a même été question de mettre les futures mères sous surveillance.

    Les lois ne vont pas tarder à s’abattre sur tous ces mauvais citoyens !

    Je ne suis plus toute jeune, et j’ai pu constater que les cancers, qu’on attribue aux fumeurs, actifs ou passifs augmentaient alors que moins de gens fumaient.

    Il est plus facile d’attribuer la majorité des cancers à une source unique, celle du tabac, plutôt que de mettre en cause l’air que nous respirons à chaque seconde et notre mode de vie. Le Pr Belpomme l’a dit mais il faut croire quil n’a pas été entendu. Les Grecs de l’Antiquité ne connaissait pas le tabac et pourtant Hypocrate a décrit le cancer (qui ne pouvait pas être lié au tabagisme actif ou passif).

    Le tabac est très certainement nocif pour la santé, je n’en disconviens pas, mais pas plus que l’air que nous respirons et les pesticides, les additifs chimiques que nous avalons 3 fois par jour et ce, 365 jours par an.

    Donc les fumeurs sont au ban de la société, et on les laisse tellement libres qu’ils n’ont même pas de lieux réservés. C’est l’égalité de traitement de tous les citoyens ! Pourquoi n’accorderait-on pas aux fumeurs des lieux réservés ?

    L’état peut brimer le fumeur,mais il ne veut en aucun cas se priver des ressources qu’il lui fournit avec les taxes. La prohibition totale du tabac entraînerait de surcroit une contrebande contre laquelle il serait difficile et onéreux de lutter.

    Vous n’avez plus besoin de vous inquiéter pour votre santé, braves gens, ou pour tout autre sujet, on prendra -on prend déjà- les décisions à votre place.

    Dans un pays réputé pour sa facilité à protester, on est surpris que les gens se transforment en « moutons de Panurge ».

    Les Média y sont pour beaucoup : ne sont interrogés que les personnes dont l’opinion va dans le sens prérequis : contre le tabac, contre la grève, pour l’émigration zéro, pour...etc.

    Nous sommes mal partis !



  • Dolores 28 décembre 2007 16:39

    Ce qui me sidère, c’est de constater que des journalistes « politiques » qu’on pourrait croire sérieux se penchent avec tant d’avidité sur les problèmes de coeur et de c...du président, discourant à l’infini sur l’intérêt de l’affaire pour les Français et de l’influence politique de la donzelle. Qui serait bien ennuyé si on n’en parlait pas ? Les médias ne jouent pas vraiment leur rôles en s’intéressant aux histoires d’alcôves.



  • Dolores 11 décembre 2007 16:46

    Le monde est tombé sur la tête ! La société se veut bien-pensante, elle est en réalité puritaine et hypocrite. On peut à juste raison s’inquiéter en ce qui concerne la jutice et la présomption d’innocence mais on devrait aussi s’inquiéter pour la démocratie. Je pose la question : un état qui veut conserver « sous clé » pour une durée indéterminée des condamnés qui ont fini leur peine, sans raisons concrètes, n’est-il pas un état où règne l’arbitraire et revèle par là même une absence de démocratie ? N’est-ce pas là un retour aux « lettres de cachet » et à la condamnation sans motif, au désir du « Prince » ? On va maintenant juger les irresponsables et maintenir en prison des gens qui ont purgé leur peine.

    Nous assistons à une surenchère de la victimisation qui entraine de plus en plus de réponses inappropriées. Les victimes -le plus souvent les parents de victimes- attendent 3 choses : que le meurtrier avoue et explique,qu’il se repente et demande pardon, et enfin que la condamnation soit très lourde et si possible difinitive. Sur le plan humain c’est compréhensible, mais il est étonnant que l’on puisse espérer d’un meutrier qu’il se conduise de la façon que les victimes souhaitent. Sur le plan de la justice c’est différent, elle ne fait que sanctionner un acte par des peines prévues dans le Code Pénal au nom de la société. Les parents veulent la vengeance, la société une punition en rapport avec l’acte. Or, aujourd’huy il semble qu’on veuille confondre les rôles.

    Les « psy » seraient amenés à déterminer la dangerosité potentielle et future d’un individu pour le maintenir arbitrairement en détention. Accepteront-ils sans violer le serment d’Hyppocrate qui leur enjoint de ne pas nuire ? De plus je n’ai jamais entendu dire que la psychiatrie ou la psychologie étaient des sciences exactes mais au contraire de sciences humaines très faillibles.La décision des juges serait basées sur des impondérables déterminés par des supputations de « psy ».Cela me paraît inconcevable.

    La France vient de faire l’objet d’un rapport européen sur l’état de ses prisons où les conditions de détentions y sont jugées « inhumaines et dégradantes » en particulier en ce qui concernes les soins de santé aux détenus. Je me demande s’il ne serait pas plus intelligent, plutôt que de prolonger la détention une fois la peine purgée, d’obliger le condamné à suivre un traitement en prison au lieu d’attendre qu’il sorte pour l’imposer. Au moins cela diminuerait peut-être les risques de récidives puiqu’il aurait eu 5,10,15,ou 20 ans pour se tenter de se réhabiliter. Alors qu’actuellement il ressort dans l’état où il est entré(ou pire) et se retrouve livré à lui-même. Mais évidemment pour cela il faudrait des médecins dans les prisons et il ne semble pas que ce soit à l’ordre du jour. On ressent une oppression croisante avec l’extension des mesures sécuritaires auquelles nous sommes tous soumis en permanence.Il y aurait là aussi matière à débats.

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