Herb

Et si on déduit la surproduction, et qu’on remplace une partie de l’élevage par de la culture ?

Je ne suis pas sûr de saisir le premier paragraphe. C’est ironique, pour me dire d’arrêter de sortir des truismes ? Je suppose que oui, puisque votre lien semble aller dans mon sens :

« Et de deux, l’agriculture biologique n’a jamais prétendu être meilleure pour la santé. Elle ne se donne aucune obligation de résultat, seulement une obligation de moyens. En d’autres termes, elle respecte l’environnement, notamment en gérant au mieux le recours aux intrants (pesticides, engrais). De fait, d’un point de vue global, elle ne peut-être que profitable (microbiologie des sols, qualité de l’eau, biodiversité...), à moins de considérer que les pesticides et autres engrais synthétiques ne soient pas nocifs... si, si, certains y croient encore. »

Vu la transparence des études menées, je préfère recourir au principe de précaution : non aux pesticides.

"Pour beaucoup de personnes le problème n’est pas de prendre le risque d’une intoxication chronique aux pesticides ,mais de se demander s’ils arriveront à trouver quelque chose à bouffer demain"

Cet argument m’intéresse. Qu’est-ce qui prouve qu’on ne peut pas nourrir tout le monde sans utiliser de pesticides ?

Vos études terminées, (bien…ou mal…, là n’est pas le problème), voyez-vous, le cœur rempli de joie et d’espoir, ouvrir votre ‘Portail Avenir’, et là,….. ne voir qu’un immense vide !

J’ai quasiment terminé mes études, mais je ne suis pas naïf au point d’avoir le coeur rempli de joie et d’espoir, en tout cas pas en ce qui concerne l’aboutissement de ces études. J’ai eu suffisamment de temps pour comprendre comment marche le système. Donc je suis plutôt dans une logique d’adaptation pour survivre : apprendre autant que possible, dépenser peu et rester mobile. Fini le temps où l’on avait un emploi stable que l’on était propriétaire d’une maison.

Comment changer cette situation ? Je ne vois que deux moyens : le vote et l’exil. Je ne pense pas qu’on soit dans une situation suffisamment difficile pour compter sur une révolution. Je vais compter sur la première solution jusqu’en 2012, sinon... plan B ! Je n’ai pas l’intention de me battre vainement contre une majorité apathique. Trop de choses plus intéressantes à faire dans une vie.