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Dyck

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  • Dyck 9 août 2007 10:26

    L’article est interessant meme si on peine parfois a suivre le raisonnement, comme si des phrases de liaison etaient passees a la trappe du traitement de texte. Au fond, on n’apprend pas grand chose : consciemment ou inconsciemment personne ne croit plus serieusement au numero des hommes politiques (il suffit d’ailleurs de lire les commentaires). A cet egard, cet article enfonce des portes ouvertes. Ce qui aurait ete plus interessant, il me semble, c’est de reflechir sur cette apparente contradiction entre la conviction intime qu’a chacun de cette supercherie et, simultanement, la rage du plus grand nombre a faire comme si tout cela avait du sens et a jouer le jeu (participation electorale record lors de l’election presidentielle, fascination pour le moindre titulaire du moindre mandat electif). Dialectique classique de la « servitude volontaire ».



  • Dyck 8 août 2007 12:29

    TSS ? j’avoue ne pas comprenmdre la signification de ce sigle. Je ne compredns pas non plus la raison du ton un rien agressif. Je me bornais a dire qu’il etait tout de meme possible de reflechir sur le « travail » en lui-meme sans se faire rembarrer au motif qu’il y a des gens qui n’ont pas de travail et vivent un cauchemar quotidien. A ce compte-la interdiction de mener une reflexion sur la chirurgie esthetique au motif que des gens sont defigures a la suite d’accidents de voiture ou bien de l’energie nucleaire au motif que l’on chauffe son appartement grace aux centrales nucleaires d’EDF. Autant dire la fin de tout debat sur tout. Mon maigre commentaire n’allait pas plus loin et j’ai peut etre eu tort de terminer par une allusion au discours anti-intellectualiste de Nicolas Sarkozy. Pas de quoi en faire un fromage.



  • Dyck 8 août 2007 11:27

    Pour vivre il faut de l’argent, pour avoir de l’argent il faut, dans la majorite des cas, travailler. Que l’acces au travail et la remuneration du travail posent des problemes cruciaux a de nombreux individus, personne ne le conteste. Ensuite on peut tout de meme avoir une reflexion sur le travail en lui-meme, son statut, sa valeur, sa place dans la vie des hommes, etc. Cette facon de clouer le bec a toute reflexion sur quoi que ce soit au seul motif que « tout-ca-c’est-des-trucs-d’intellos-nantis », c’est bien dans l’air du temps sarkozien.



  • Dyck 8 août 2007 10:04

    Franchement, hormis les nevroses incurables et ceux qui paniquent a l’idee de se retrouver devant leur propre neant (cela fait certes deja pas mal de monde), qui, si on lui versait la meme remuneration sans devoir executer un travail en contrepartie, refuserait ?



  • Dyck 12 juillet 2007 16:20

    Votre article est plein d’intérêt, même si, déformation professionnelle sans doute, on se sent, à vous lire, quelque peu revenus sur les bancs de l’école. La conclusion est cependant aporétique, donc décevante : une bonne démocratie est possible, mais les conditions de possibilité sont rarement réunies. Alors ? En l’occurence, la condition préalable semble, selon vous (adjoignez-vous Aristote si cela vous tente), une homogénéité sociale (peu de pauvres et de très riches). Est-ce la situation actuelle en France ? Le cas échéant, si la démocratie est inadaptée à ce type de situation, que faut-il en conclure ?


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