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El Old Fritz

El Old Fritz

Ce que je ne suis pas :
-un écrivain "engagé" ;
-un citoyen du monde ;
-un indigne niais hesselien ;
Pour savoir ce que je suis, il vous suffit de me lire.
Une bible et un stylo en guise de flingue, c'est tout ce dont j'ai besoin.

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  • Premier article le 25/01/2014
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Derniers commentaires



  • El Old Fritz El Old Fritz 25 janvier 2014 20:12

    Merci, chère Madame, d’apporter de l’eau à mon moulin en nous démontrant une fois de plus que l’essence du féminisme repose sur un égotisme forcené alimentant un délire de persécution permanent. A vous entendre, je ne défends l’expression « en bon père de famille », que par un plaisir pervers de maltraiter les femmes. Mais très franchement, je n’ai que faire de l’ego, fût-il surdimensionné, des féministes. En revanche, j’ai tout de même noté quelques points de votre commentaire qui méritent qu’on s’y attarde.

    "Qu’auraient donc dit les hommes si au lieu de père on avait écrit mère ? Ils auraient crié au scandale. Cela n’aurait été qu’une tournure de phrase après tout."

    M’est avis qu’en pareil cas les hommes n’en auraient rigoureusement rien eu à braire. Pour la simple raison que contrairement aux féministes (je dis bien aux « féministes », non aux femmes dans leur globalité), la plupart des hommes ne croient pas que le monde, la nature, la société ou même la grammaire leur en veulent. A titre d’exemple, je ne connais aucune association d’hommes qui milite pour l’interdiction du mot « sage-femme », alors même que de nombreux hommes exercent cette profession. A l’inverse, les féministes sont obsédées par la féminisation des noms et des mots.

    "Les femmes gèrent en tant que femme et non en tant que bon père de famille.« 

    Faux. De deux choses l’une : soit elle gère »en bon père de famille", c’est-à-dire dans l’intérêt de sa famille (donc des générations futures) ; soit elle gère en femme (en individu, donc exclusivement pour sa gueule). C’est à se demander si vous avez seulement pris la peine de lire mon article.

    « Sortez la tête de votre pot à tabac »

    Merci, je ne fume pas. Je laisse ça aux féministes qui voient dans le cancer du poumon le signe de leur liberté acquise sur le méchant homme.

    "nous sommes en 2014 et oui les choses changent et quand bien même à votre désavantage à présent ! Vous n’en serez pas moins homme pour autant, mais vous n’avez plus la main-mise sur la vie des femmes. Faudra bien vous y faire.

    Priez plutôt que les choses n’évoluent pas encore plus pour votre qualité d’hommes !"

    Les choses changent, certes, mais à l’avantage des femmes ? Votre arrogance toute féministe vous masque l’ampleur du désastre qui guette la femme occidentale (car n’oublions pas le caractère ethnocentrique de vos propos). Son corps est devenu une décharge chimique (je pense en particulier à la pilule qu’on distribue maintenant comme une sucrerie à des gamines pas encore pubères) et son esprit un charnier où pourrissent les idées prométhéennes les plus monstrueuses (les féministes américaines commencent à réclamer « l’avortement post-natal »... mais j’imagine que cela ne vous choque nullement). Libre ? Elle est l’esclave de l’industrie pharmaceutique, de la publicité, des docteurs Folamour de la théorie du genre et autres inepties dégénérées.

    C’est donc bien pour les femmes que je prierai, chère Madame : elles en auront bien plus besoin que les hommes. Ne serait-ce que pour retrouver un sou de bon sens.



  • El Old Fritz El Old Fritz 25 janvier 2014 19:53

    Tout à fait d’accord avec vous sur ce qu’est et doit être une famille : une entité, une unité, une personne morale tacite assurant la défense de tous ses membres, un noyau irremplaçable de solidarité basé sur autre chose que la seule volonté ; et non pas une collection d’individus se tirant dans les pattes à la moindre occasion.

    C’est malheureusement cette seconde vision qui prévaut de nos jours, surtout chez les femmes il est vrai, mais pas seulement : la société occidentale produit désormais des psychopathes, au sens clinique du terme, c’est-à-dire des gens incapables d’empathie. Dès lors, l’amour lui-même devient impossible, puisqu’il suppose l’abdication d’une part de son propre ego pour faire une place à l’Autre. Or cette abdication (ce sacrifice, disiez-vous fort justement), littéralement cet acte sublime d’abnégation, est devenue virtuellement impensable dans nos sociétés modernes où chacun se perçoit comme le souverain exclusif d’un royaume borné par le corps et ses extensions (le premier se voyant réduit à l’état de « propriété primaire », susceptible d’être vendu ou loué, en tout ou en partie).

    Cordialement.

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