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El Old Fritz

El Old Fritz

Ce que je ne suis pas :
-un écrivain "engagé" ;
-un citoyen du monde ;
-un indigne niais hesselien ;
Pour savoir ce que je suis, il vous suffit de me lire.
Une bible et un stylo en guise de flingue, c'est tout ce dont j'ai besoin.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/01/2014
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Derniers commentaires



  • El Old Fritz El Old Fritz 31 janvier 2014 15:42
    « et venir ici défendre la clique de fachos en citant Hessel est un SCANDALE... vous en êtes bien le contraire .... »

    Merci de m’apprendre que j’ai cité Stéphane Aisselle. En effet je l’ignorais, n’ayant jamais cru bon ni de lire ni même d’écouter les sermons lénifiants d’un homme appelant à la désobéissance alors qu’il a été fonctionnaire toute sa vie. L’indignation est une posture purement morale qui consiste à ne jamais aller au bout de ses propres conclusions.


    « c’est vraiment une ESCROQUERIE de présenter les délires de cette dame ainsi

    la voici décrite correctement ; »

    Le portrait du Point ne fait que confirmer mes dires : à partir du moment où Mme Belghoul refuse de servir de caution à l’antiracisme institutionnel, elle est cataloguée comme « extrémiste », « folle », etc.


    « PROPOS HONTEUX digne de Riposte Laïque !! »

    Je ne vois pas trop le rapport entre ce que je dis et Riposte Laïque. Il est évident que ces gens-là ne sont définitivement pas ma tasse de thé. J’en viens à me demander si vous avez lu ou compris mon article... d’ailleurs, je ne peux m’empêcher de remarquer l’absence de toute critique de fond dans votre « indignation ».


  • El Old Fritz El Old Fritz 31 janvier 2014 14:50

    Tout à fait. Ils perdent complètement pied : c’en était drôle au début, à présent cela en devient presque gênant. D’un autre côté, cette hystérisation progressive du discours « républicain » est une excellente chose, dans la mesure où elle permet au plus grand nombre de constater l’état de délabrement moral et intellectuel de nos prétendues élites démocratiques.

    D’un autre côté, si j’ai beaucoup chargé la gauche dans l’article, n’oublions pas la « droite » qui se débat comme un poisson jeté hors de l’eau, notamment sur cette affaire des JRE. D’un côté, pas mal de membres de l’UMP n’assument pas du tout cette introduction de la théorie du genre dans les écoles (alors même qu’on la doit à Nicolas Sarkozy) ; de l’autre, ils ne peuvent trop ouvertement rallié la fronde des « complotistes ». Sans parler évidemment de Jean-François Copé qui n’allait pas perdre une occasion de taper sur les musulmans (la majorité si ce n’est la totalité des enfants absents des écoles de Meaux étaient de confession musulmane).

    En tous cas c’est Alpo47 qui a raison : nous vivons une époque formidable, même si c’est dans le genre apocalyptique (c’est-à-dire une ère de révélations).



  • El Old Fritz El Old Fritz 31 janvier 2014 14:43

    « les parti oligarchiques à la solde des financiers.... »

    Pas mieux.



  • El Old Fritz El Old Fritz 31 janvier 2014 14:41

    "Claude-michel, il n’est pas possible d’appeler assassinat une ivg.

    L’ embryon ou le foetus in utero n’a pas d’existence juridique autonome en dehors de la personne de la femme.« 

    Intéressant comme point de vue. Ce serait donc le Droit qui créé la vie ?

    En tout cas ce commentaire a le mérite -certes involontaire- d’éclairer la vision matérialiste des défenseurs inconditionnels de l’avortement : pour eux, le corps -de la femme dans le cas qui nous occupe, mais la même remarque vaut pour l’homme- est un objet comme un autre, dont nous serions propriétaire. A ce titre il est susceptible d’être loué (rappelons-nous les délires de Pierre Bergé sur les ouvriers et les femmes enceintes- et bien sûr, vendu.

    Quant à l’enfant -pardon, à »l’embryon« - il se voit réduit au statut de »fruit« , au sens juridique du terme, du corps de la femme. Celle-ci étant propriétaire de son corps, elle est également ipso facto, par l’application des règles du droit civil, propriétaire de l’embryon, sur lequel elle dispose par conséquent des prérogatives d’un propriétaire, qu’il s’agisse de le vendre (la PMA) ou de le tuer (l’IVG).

    Il est par conséquent tout à fait logique que certaines féministes anglo-saxonnes revendiquent à présent le droit à l’avortement post-natal : loin de marquer l’avènement de la personnalité juridique de l’enfant, la naissance laisse intact le lien de dépendance entre sa mère -oh pardon, c’est sûrement machiste comme terme : disons plutôt son »incubatrice"- et l’enfant, dont on rappellera par exemple qu’il ne dispose pas encore d’un système immunitaire pleinement efficace.

    Bien sûr, pour l’instant, les féministes françaises n’en sont pas à exiger le droit de tuer l’enfant jusqu’à ce qu’elle soit sevrée. Elles ont toujours quelques années de retard sur leur copine d’Outre-Atlantique.

    Tic tac, tic tac, donc, le meilleur des mondes est en marche... mais vers sa fin, même s’il l’ignore.



  • El Old Fritz El Old Fritz 30 janvier 2014 10:42

    L’éternelle mauvaise foi des prétendus « libres penseurs » et autres Torquemadas de la laïcité ne cessera jamais de me laisser pantois. Quand bien même ils ont toutes les preuves sous les yeux, ils persistent à ne pas voir ce qui risquerait d’ébranler leur vision d’un monde « moderne » qui par le miracle de je-ne-sais quelle divinité païenne, serait mystérieusement affranchi des réalités terrestres. Car passe encore qu’on ne croit pas au Ciel : mais ces fous furieux en sont arrivés à contester la matérialité même de la Terre sur laquelle reposent leurs pieds.

    Le rapport de l’OMS cité par Julien30 prône bel et bien une éducation sexuelle « matérielle », c’est-à-dire qui ne se cantonne plus simplement (comme c’était d’ailleurs le cas en France depuis au moins deux décennies) d’inciter des gamins en pleine puberté, véritables bombes hormonales, à avoir des rapports sexuels, en les réduisant au passage à un vulgaire acte de consommation. Certes, les auteurs du documents, technocrates chevronnés, noient le poisson sous des dizaines de pages mélangeant allégrement constats d’ordre médical (la prévention des MST, par exemple) et un charabia abscons supposé persuader le lecteur qu’il est un sombre abruti... et accessoirement un mauvais parent.

    Las, les médias et les politiques (y compris l’UMP dont la réaction désordonnée marque bien la complicité dans cette affaire) sont ici condamnés à révéler toujours un peu plus leur mensonges et leur mépris du petit peuple (et leur racisme authentique : depuis quelques jours on entend beaucoup parler de la « crédulité » et de la « bêtise » des parents musulmans ayant eu participé aux JRE. C’est pourtant tout à leur honneur.). Ruth Elkrief en a fourni un magnifique exemple sur BFM TV hier lorsque, s’emportant face à un Christian Jacob assis entre deux chaises, elle a éructé que « la théorie du genre n’existe pas ET elle n’est pas enseigné à l’école ». Ah ! La cruauté des mots ! Car de deux choses l’une : soit la théorie du genre n’existe pas, et à ce moment là elle ne peut évidemment être enseignée ou que ce soit ; soit elle existe, et à ce moment on peut effectivement se poser la question de savoir si elle est enseignée ou non.

    Pour le reste, on ne peut que souhaiter que de plus en plus de parents ouvriront les yeux sur ce qu’est devenue l’école. Sous couvert de lutter contre l’inégalité homme-femme, on fait passer à l’as la lutte contre la véritable inégalité, celle qui existe entre une fille d’avocat et un fils d’ouvrier, en privant le second des apprentissages essentiels que sont la lecture, l’écriture et le calcul. Quant à lutter contre les « violences », ce serait drôle si ce n’était si grave : cela fait belle lurette que l’école a renoncé à réprimer les violences commises en son sein, et elle aurait plutôt tendance à favoriser les comportement belliqueux et agressifs du fort à l’encontre du faible (des comportements jugés normaux dans une jungle libérale). Il suffit pour s’en convaincre de se rappeler l’extrême mansuétude dont ont bénéficié les tortionnaires de la petite Marion, suicidée à l’âge de 13 ans.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/14/01016-20131114ARTFIG00563-suicide-d-une-collegienne-ses-parents-portent-plainte-contre-l-education-nationale.php

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