Je vous remercie de votre article mais j’avoue que je reste sur ma faim car vous posez des questions auxquelles j’aimerais beaucoup avoir au moins quelques éléments de réponse : "en quoi les marchés sont-ils bénéfiques, en quoi sont-ils néfastes ? Quelles conditions sont-elles requises afin que les marchés fonctionnent de manière efficiente ? Quel rôle le marché financier joue-t-il dans l’économie réelle ? Quelle est vraiment la valeur de l’argent ?"
Vous êtes économiste (je n’y connais pas grand chose dans ce domaine mais le sujet m’intéresse), ne pourriez-vous pas commencer à répondre à ces questions ?
Et tant que nous y sommes, par curiosité intellectuelle, j’aimerais beaucoup savoir, si vous vous possédez l’information, quelle est la part de l’économie "réelle" par rapport à l’ensemble de la masse monétaire mondiale. La différence entre les deux n’est-elle que l’économie financière ou bien existe-t-il d’autres formes d’économies ? De quoi parle-t-on lorsqu’on évoque une "matière noire" en économie (existe-t-il des masses monétaires non identifiées ???^^) ?
Merci d’avance de vos réponses !
Tout à fait d’accord pour punir d’éventuels responsables mais ne laissons pas l’arbre cacher la forêt : le vrai coupable, c’est le système ! Notre président lui-même le reconnait... Et la réforme du système doit se faire en profondeur et non pas s’arrêter à désigner quelques boucs émissaires à la vindicte publique.
On peut également vanter la prospérité de la principauté de Monaco ou du grand duché du Luxembourg... On peut aussi se poser la question de l’origine de leur prospérité qui n’a rien à voir, comme en Suisse, avec la démocratie !
Entièrement d’accord avec Philippe Renève.
J’ajouterai que la lutte contre la pauvreté dans une société qui fabrique la pauvreté est tout à fait sans espoir. La charité, institutionnelle ou privée, est comparable à l’eau que les Danaïdes versent dans leur tonneau.
Arrêtons de créer de la pauvreté, de cautionner une société où il est nécessaire qu’une majorité perde pour qu’une minorité gagne. Construisons plutôt une société où chacun aura droit à une place à part entière, où la valeur cardinale sera l’être, l’être-avec plutôt que l’avoir.