Le texte explicatif du fonctionnement de ce néo-vaccin est alambiqué et prête à confusion, ainsi l’interprétation selon laquelle ’’... des spicules du covid, qui se répliquent eux même sans avoir besoin de nos cellules pour le faire’’ est biologiquement totalement impossible.
Oui, j’ai été trop vite. Cela ne change cependant pas le fond. Le brin d’ARNm de Pfizer, ne devait produire qu’une fois la spicule relâché par une cellule humaine. On disait même que l’action devait rester sur le site d’injection, le deltoïde. Or déjà, l’EMA avait relevé que les études phases I (animaux) communiquées par Pfizer (et autres vaxxins ARNm, je n’ai plus la précision), renseignaient des persistance de la spicule sur le foie, rein, ovaires et autres organes des souris. Et ensuite des études ont montré (suédoise notamment) des transformations d’ARNm en ADN (transcriptase inverse). En tout le cas, le but annoncé était que les spicules ne se reproduisent pas. Maintenant, si, avec l’ARNm qu’ils appellent « auto-amplifiant », le but est, au contraire, que la spicule se reproduise avec la protéine réplicase.
A propos du terme anglais ’’medical product’’, il est plus large que simplement les médicaments de traitement, puisque la définition donnée dans l’article en anglais indique que c’est un produit qui peut ’’traiter, prévenir ou diagnostiquer une maladie’’, donc les vaccins en font aussi partie.
Et il est bien dommage que l’article n’ait pas été traduit en Français, comme cela est fait habituellement sur les sites de l’UE. Cela aurait levé l’ambiguïté. Ce qui n’est pas rien, parce que dans l’ancien temps, les essais trois phases d’un vaccin duraient de 10 à 15 ans. la dernière étant la commercialisation avec pharmacovigilance. C’était encadré par des textes juridiques et conventionnels. Les tests du BCG ont même duré plusieurs décennies avant AMM. Un médicament suivait les mêmes phases, pour une durée de plus ou moins 5 ans. Car on sait (savait...) que le vaccin a des effets persistants que n’a pas le médicament fait pour guérir ponctuellement un malade.
Alors qu’avec le motif de l’urgence, tout les délais ont sauté : les trois phases du vaxxin Pfizer ont duré 10 mois, ceux de Moderna 11 mois. Sachant que la partie mesure des effets secondaires en phase III a été basculée dans la phase IV en comptant sur la pharmacovigilance. Il y a eu un gap, quand même.
- Vérification de Immunogénicité et de innocuité. Comme Pfizer, pas de test de non contamination au déclenchement des spicules du covid sur les personnes saines en contexte où la déclaration d’épidémie terminée. N’importe que immunologiste sait très bien la différence entre un vaccin bloquant et un « leaky vaccine » : vaccin qui fuit. Il a été vérifié sur des poulets en 2015, que des « leaky vaccine » pouvaient même déclencher une épidémie. Et c’est facile à vérifier si un vaccin bloque avec des prises de sang et/ou tests PCR réguliers pendant la phase d’observation.
- Durée de la phase : 28 jours... Donc pas du tout le temps de vérifier les effets secondaires à moyen et long terme. Aux interpellations faites au Japon, le ministère de la santé a répondu que « les tests n’ont pas constaté de contamination ni d’effets secondaires ». Evidemment, hein, quand on ne vérifie pas...
- Essai phase sur 828 participants, alors que Pfizer, c’était des dizaines de milliers (plus de 40 000, pour mémoire).
- Recrutement randomisé dans les branches d’essais avec double aveugle... Mais... Pas de groupe placébo ! Il y a eu le groupe Kostaive comparé avec un groupe vaccin Pfizer pour 4ème rappel... Vous commencez à voir le paysage ?
- Enfin, je suis moins sûr tellement cela m’étonne (je me fais mal au nouveau normal), mais c’est répété plein de fois dans l’article, Kostaive fabrique la spicule du covid de souche Wuhan, d’origine, qui a disparu et qui a été la plus agressive....
Les animaux comme les humains alors. Espérant ainsi relancer par forçage génétique, l’épidémie qui a finit par se dissiper biologiquement. Et vous avez raison, tant que des condamnations avec mise en scène pour prise de conscience collective, comme avec le procès de Nuremberg, ne sont pas lancées, la folie continuera à s’auto-amplifier comme Kostaive.
- - - - - - Remerciements, en passant pour les encouragements reçus en notification, avec suggestion utile de correction. J’ai appris tardivement l’info, et espéré que l’article sorte avec le 31 décembre. Peut-être que j’aurais dû prendre le temps de présenter une mise en forme plus agréable.
Un projet que j’espère ne pas voir de mon vivant non plus.
Des Etats-Unis d’Europe sans et contre la Russie, cela ne rime à rien. Il suffit de regarder la carte du continent.
D’autre part, il y a un impensé : pourquoi les pays d’Europe occidentale sont les seuls au monde à vouloir absolument ne pas se gouverner par eux-mêmes ?
Et ? Vous contestez les chiffres de l’article sans rien apporter pour corriger ? Juste parce que cela ne vous plaît pas ? Quand je parlais culotte courte... Vous ne faites qu’étaler votre puérilité.
A moins que vous disiez que l’institution raconte n’importe quoi... Déjà les chiffres sont bien ceux de l’article. Ensuite, on ne va pas chipoter à l’unité près, les chiffres présentant de toute façon des variations selon les sources et les données choisies aux calculs. Les ordres de grandeurs nous suffisent ici. Enfin, les écarts de pourcentages de populations juives exterminées selon les pays sont considérables, de moins de 1% à 90%, si c’est cela qui vous perturbe.
On sait que les pays scandinaves, même occupés, ont protégé les juifs durant toute la guerre, sauf la Norvège. J’ignorais que la Bulgarie aussi l’a fait, même alliée à l’Allemagne. L’Italie a limité les déportations (17,3 % de la population), on sait que Mussolini n’avait rien contre les juifs et ne s’est donc pas contenté de répondre à la demande d’extermination de la population par Hitler. La France aussi a limité les déportations : 22,1% de la population, surtout des étrangers (55000 environ sur les 77320 déportés).
Ensuite, on passe à la collaboration active, du fait du joug nazi et/ou de l’hostilité déjà présente dans le pays, et plus, même enthousiaste comme en Pologne (90% de la population juive exécutée). J’ignore pourquoi l’Ukraine a été oubliée, qui ne s’est pas contentée de déporter, mais en a profité pour activement massacrer sur place (shoah par balles, escadrons de la mort, Babi Yar, etc...).