Je m'appelle Florian, dessinateur industriel de profession
Passionné d'histoire et de géographie depuis l'enfance
Je m'intéresse principalement à la géopolitique, à l'ethnologie et à l'évolution du monde en général
Il ne faut pas confondre croissance dopé par la spéculation financière et croissance dopé par l’économie réel.
Certes, il y a création d’emplois aux Etats-Unis mais quel genre d’emplois ?
Les ultra-libéraux me répondront que c’est toujours mieux d’avoir un job précaire et à la con que de glander au chômage.
Quand j’entend la tout nouvelle patronne de la BCE dire que nous devrions être plus heureux d’avoir un emploi que de protéger notre épargne. Sans jamais se poser la question sur cet tendance à épargner face à un environnement économique de plus en plus détraqué et plébiscitée par des économistes dit orthodoxes qui se révèlent incapable d’expliquer l’inédite plongée historique des taux d’intérêts dans le négatif malgré la colossale quantité de masse monétaire injecté depuis 11 ans par toutes les banques centrales du monde.
je pense que c’est aussi le cas au sein des militaires français. Il y a également de plus en plus de membre chargé de la sécurité nationale qui constatent les conséquences désastreuses des choix de l’occident en matière de politique étrangère. Jusqu’à quand la grande muette peut rester fidèle à des principes de plus en plus dévoyé et qui vont jusqu’au mépris de sa fonction première.
Ce n’est pas comme les effectifs de la sécurité intérieure comme la police dont les préoccupations sont plus ceux d’un salarié ordinaire et non porté par une transcendance désintéressé.
La gauche, même radicale n’a plus aucune crédibilité...
Quand on prône tout et son contraire, ça finie forcément par énerver de plus en plus de monde. Le pire, c’est qu’il a encore beaucoup de gogos qui pensent que le « en même temps » est réalisable. Qu’on peut à la fois être souverain et vassal, qu’on peut à la fois concilié justice sociale et creusement des inégalités, qu’on peut à la fois soutenir le communautarisme et le vivre ensemble, qu’on peut à la fois être écolo et mondialiste. Il faut vraiment être un petit bougeoirs urbain connecté aux apparences et déconnecté du réel pour croire à de tels inepties, c’est d’ailleurs ce que montre les résultats à contre courant dans les mégalopoles, surtout dans la capitale.
Le système des retraites est un héritage des 30 glorieuses a une époque ou il y avait beaucoup plus de jeunes que de seniors. Puis en 1969, on est entré dans la société des loisirs, de la jouissance sans entrave. Enfanter est devenu un désir et non plus une obligation, se faire plaisir est devenu une norme quotidienne et non plus une joie occasionnelle. On veut désormais rester jeune le plus longtemps possible, avoir le moins de responsabilité possible, avoir le monde a porté de main en dépensant le moins possible.
C’est vrai que la réforme des retraites est un véritable scandale car il s’agit bel et bien de nous faire dépendre de plus en plus du système financier, ce monstre insatiable prêt à détruire le maximum de vie pour son appétit toujours insatisfait.
Mais au lieu de jouer sur les émotions, les gens devrait réfléchir a ce qui les a mené jusque là, de s’interroger sur la pertinence de ce qu’ils considèrent comme important.
Le soutien aux actions contre la réforme des retraites risquent de se fracasser face aux fêtes de Noel. Noel, ce temple du consumérisme et de la mobilité des retrouvailles familiales, il n’en était pas ainsi quand cet fête était fidèle a sa fonction originelle, celle du Sol Invictus, il n’en était pas ainsi quand les familles étaient réunie et non dispatché à des centaines de kilomètres à la ronde.
Pour conclure, je dirai que les élites qui ont la clé des codes de ce monde pseudo-progressiste et décadent ont beaucoup de cartes en main et plusieurs coups d’avance sur ceux qui espèrent qu’ils pourront toujours se pavaner dans leur vie de plus en plus misérable.
« et n’aurons nous pas constitué EXACTEMENT le monde tripolaire que nous annonçait ORWELL dans 1984 »
Tout à fait, nous vivons en réalité une passe d’arme entre la vision progressiste d’HUXLEY façon « Meilleur des Mondes » et la vision néo-aristocratique d’ORWELL façon « 1984 ».
Chacun est d’accord sur le fait que les temps sont murs pour l’instauration d’un nouvel ordre mais ils se chamaillent tous sur la forme que cela doit prendre.
Il y a une guerre fratricide entre camarades de jeu et non plus des oppositions séculaires et bien définie. Pour moi l’adoption de l’Agenda 2030 mortifère des nations-unis par la totalité des 195 pays membres quel que soit la nature de leur régime respectif en est la preuve flagrante.