Je m'appelle Florian, dessinateur industriel de profession
Passionné d'histoire et de géographie depuis l'enfance
Je m'intéresse principalement à la géopolitique, à l'ethnologie et à l'évolution du monde en général
Certes la révolution numérique n’a jamais eu pour objectifs ce que je viens de citer. Mais il faut avouer que toutes les révolutions technologiques avant elle, avaient quand même apporter leur lot d’amélioration des conditions de vie et d’un minimum de bonne gestion des affaires courantes quoi qu’on puisse en penser.
Il faut dire qu’elles s’étaient auparavant appuyer sur l’exploitation de ressources de plus en plus efficace et dense énergétiquement, la vapeur, le charbon puis le pétrole. La révolution numérique a t-elle pensé pour gérer d’une manière la plus efficace possible un environnement économique et sociale qui ne pourrait plus être favoriser par l’aide de substituts organiques ?
Certes la révolution numérique n’a jamais eu pour objectifs ce que je viens de citer. Mais il faut avouer que toutes les révolutions technologiques avant elle, avaient quand même apporter leur lot d’amélioration des conditions de vie et d’un minimum de bonne gestion des affaires courantes quoi qu’on puisse en penser.
Il faut dire qu’elles s’étaient auparavant appuyer sur l’exploitation de ressources de plus en plus efficace et dense énergétiquement, la vapeur, le charbon puis le pétrole. La révolution numérique a t-elle pensé pour gérer d’une manière la plus efficace possible un environnement économique et sociale qui ne pourrait plus être favoriser par l’aide de substituts organiques ?
Que restent-ils des espoirs suscités par la révolution numérique depuis bientôt 30 ans ? Quels services utiles et bienfaiteurs a t-elle vraiment rendu ?
A-t-elle permis de réduire les inégalités sociales, a-t-elle permis d’enrayer la dévastation de la planète, a t-elle vraiment permis de rapprocher les êtres humains, a-t elle vraiment permis la diffusion du savoir et de la connaissance, a t-elle vraiment permis une démocratisation des institutions étatiques et autres.
Combien de pétitions déposés parmi des millions ont-elle aboutie, examiné par un parlement et adopté dans la vie courante.
On voie en revanche qu’elle a rendue de grands services inestimables aux technocraties nationales et supranationales, aux multinationales, à la finance, aux groupes terroristes, aux pervers sexuels et aux mafias de toutes sortes.
Il semble que nous ayons atteint le fameux tournant ou le progrès technologique jugé nécessaire et irréversible cesse d’apporter les bienfaits qui contribuaient à atténuer les problèmes sous-jacent qu’il engendrait.
Et moi, est-ce que je fais réellement quelque de chose de salvateur en postant ce commentaire grâce au numérique.
« c’est la révolte de peuples qui ne veulent pas mourir sous le dictat des mondialistes pour lesquels le nation n’existe pas , la culture d’un pays , son identité son patrimoine ses valeurs sont vouées à disparaitre »
Si ce que vous dites est vrai, on verrait les temples de la consommation mondialisée ( ex : Mc Donald ) se vidait de leur clientèle, les produits low cost made in china boudés, un regain d’intérêt pour les langues locales ou les événements historiques des temps anciens. Or en tant que passionné des coutumes et de l’histoire des peuples, je ne voie à part quelques exceptions, aucune tendance qui va dans ce sens.
Les chinois qui jouent à fond le jeu de la mondialisation se montrent pourtant bien plus patriote que les européens quand ils achètent Huawei et boude Apple en représailles des sanctions américaines. On ne voie nul trace de ce genre de comportement dans nos contrés parmi ceux qui se prétendent être les valeureux défenseurs de la culture et de l’identité.
J’en conclue que la vague populiste en Europe est plutôt du à une réaction désespéré à la diminution du contenu de son portefeuille. Les fonctionnaires et les retraités qui était encore il y a quelques années acquis à la mondialisation quand ils étaient épargnés par les réformes deviennent soudainement acquis à la cause populaire dés lors que les réformes font diminués leur propre revenu...
Je ne partage pas ce constat, les composantes de la société se sont dépolitisés au fil des années en plus de la promotion de l’individualisme en toile de fond.
Ce que l’on nomme « populiste » est avant tout un choix de mise sous pression et non d’adhésion. Les gens ont longtemps cru qu’en plébiscitant des démiurges comme Le Pen et Salvini, ils feraient peur au personnel politique afin de les contraindre de revenir à la raison et satisfaire leurs intérêts de plus en plus personnels.
Or l’ampleur du mouvement des gilets jaunes a mis en évidence le sentiment de plus en plus partagée que le système est bloquée et que la voie du politique est désormais une impasse sans issue.
Comme je l’ai dit à la fin de mon post, le politique n’est que l’instrument de forces supérieurs dans les domaines géopolitiques, économiques, idéologiques et religieux avec lequel il doit composer. Ils ne doivent leur survie politique qu’a l’intention que leur porte les mécènes qui disposent de moyen financier considérable. Même le Rassemblement National a été obligée de contacter les émirs des émirats arabes unis afin d’obtenir des fonds pour leur campagne.
Pendant les 30 glorieuses, il y avait suffisamment de quoi contenter un nombre suffisant de la population dans la société de consommation qui se constituer, or depuis 40 ans, c’est devenu de plus en plus un travail d’équilibriste de plus en plus tendu et désormais de plus en plus dangereux parce que l’élite comme le peuple ne veulent pas admettre que ce qu’il ont conçu et apprivoisé n’a aucune durabilité.