Quelqu’un pourrait-il répondre aux questions suivantes.
1) Pourquoi avons-nous accordé l’indépendance à des pays dont la population n’a aujourd’hui rien de plus urgent que de se sauver en quatrième vitesse, pour venir s’installer chez nous, sans autorisation préalable ?
2) Le but de la décolonisation était-il d’inviter les populations décolonisées à venir s’installer chez-nous ?
3) Pourquoi des populations qui ont souffert le martyre de la colonisation, n’ont-elle rien de plus urgent que de venir s’installer dans le pays de leurs anciens bourreaux, au lieu de profiter tranquillement chez eux de leur liberté chèrement acquise ?
Le tam-tam médiatique pour essayer de sauver la peau de Ségolène a commencé.
Ségolène Royal : pure création médiatique, forgée par une petite clique de cinquante personnes, qui vivent dans un cercle d’un damètre de cinq cent mètres et dont le centre se trouve sur le clocher de l’Eglise de Saint Germain des Prés !
La gauche antilibérle insulte toutes les personnalités de la gauche social-démocrate. Et pas seulement Kouchner !
Fort bien, les deux familles n’ont donc plus rien à faire ensemble, elle doivent se séparer et compter leurs voix respectives devant les électeurs.
La démocratie, c’est le suffrage universel.
On s’apercevra alors que la gauche antilibérale n’était qu’un coucou qui vivait dans le nid d’un autre oiseau et qui y prospérait sans vergogne.
La gauche antilibérale ? Combien de députés sans l’accord du PS ? Combien de conseillers municipaux ?
Les voix des socio-démocrates peuvent-elles se mêler aujourd’hui à celles des Communistes et autres Troko-Machinchosistes et Alter-Mondialo-Trucmuchistes ?
La boucherie, c’est ce qui se passe aujourd’hui. La liste des massacres, des guerres, des famines et des catastrophes qui ont frappé l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie du Sud depuis la fin de la seconde guerre mondiale est impressionnante.
Les morts se comptent, non pas par millions, mais par dizaines de millions, les chiffres surpassent ceux de la seconde guerre mondiale, qui a pourtant été la guerre la plus meurtrière de toute l’Histoire :
La séparation entre le Pakistan et l’Inde en 1947 a coûté dix millions de morts.
La guerre du Biafra : deux millions de morts.
La guerre entre Tutsis et Hutus sur les hauts plateaux d’Afrique Centrale : un millions de morts.
Le régime de Saddam Hussein : en comptant la guerre Iran-Irak, les invasions du Koweit, les massacres de chiites et de kurdes on arrive à plus de trois millions de morts.
Les massacres de Chinois, de Chrétiens, de Bouddhistes à Java, dans l’archipel des Moluques et dans l’Est Timor : plus d’un millions de morts.
Le régime des Khmers Rouges au Cambodge : deux millions de morts.
Les guerres d’Afghanistan : cinq cent mille morts.
Les guerres du Moyen-Orient : cinq cent mille morts.
On a pas encore compté les morts provoqués par l’Islamisme, en Irak, en Algérie, au Liban, au Pakistan, en Afghanistan, car l’affaire n’est pas encore close. On arrivera au million de morts, sans aucune peine.
Peut-on laisser les choses en l’Etat ?
Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent dans le Monde pour que l’Onu prennent les choses en main, en vertu de ce qu’il faut bien appeler : un droit d’ingérence, si l’on veut appeler un chat, un chat.
Les manifestations de ce droit d’ingérence se multiplient : la dernière en date étant la constitution du Tribunal International qui jugera les assassins d’Hariri au Liban.
Où est le problème ?
Bernard Kouchner a été l’un des initiateurs de ce nouveau droit et il n’est pas fortuit qu’il ait été nommé Ministre des Affaires Etrangères, en passant par dessus les seules contingences de la politique partisane franco-française.
Les Autorités françaises savent bien que les relations internationales vont se placer dans ce nouveau cadre. Dans ce nouveau cadre qui se met peu à peu en place, Bernard Kouchner est un excellent choix pour notre pays.