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Gérard Faure-Kapper

Gérard Faure-Kapper

Expert bancaire, écrivain

Tableau de bord

  • Premier article le 03/07/2017
  • Modérateur depuis le 06/07/2017
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Derniers commentaires



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 9 août 2017 12:09

    C’est effectivement la démonstration que font les avocats des banques et qui procède d’une méconnaissance des techniques bancaires. 


    Un crédit peut revêtir plusieurs formes liées à son amortissement et son échéance.

    Pour un prêt immobilier par exemple, la durée est définie ainsi que les amortissements et les frais. Les frais que l’on doit inclure sont donc connus et certains.

    Pour un prêt non amortissable, sans échéance et souvent non contractualisé, par exemple les découverts accordés sur les comptes, les intérêts et les frais sont connus après chaque arrêté de compte, à savoir tous les 3 mois. 

    A ce moment, la banque connaît parfaitement le taux qu’elle applique pour les intérêts (le loyer de l’argent) ainsi que le montant des frais qu’elle a prélevé. 

    Je me réfère alors au même article de loi que vous et que l’on met en avant au tribunal.

    Ce que j’explique (ou l’avocate) au juge pour emporter la décision : « Monsieur, je vous prête 100€. Je vous facture 8€ pour étudier ce prêt. Combien vous a coûté ce prêt ? »

    N’importe qui va répondre 8€. Donc 8%.

    C’est cette démonstration très simple qui emporte l’adhésion du juge.

    Et l’avocat de la banque ne peut plus rien objecter.

    De plus, les banques essayent de se défendre en expliquant que ces frais ne sont pas liés au découvert. Ce sont des frais de « traitement particulier ».

    Soit, mais conformément au code du commerce, la banque doit pouvoirexpliquer ce qu’est ce traitement particulier.

    Personnellemnt, et ayant fait ce travail en agence pendant une vingtaine d’années, je serais incapable de donner une définition à ce traitement particulier.

    la définition, ce sont des juristes qui la donnent. Eux qui ignorent totalement en quoi consiste ce traitement particulier.

    Pour un praticien comme moi, il s’agit simplement de décider si oui ou non j’accorde un découvert au client pour payer une écriture.

    Je me rémunère avec cette facturation de commission d’intervention. Celle-ci alourdit naturelleemnt le coût du découvert, et en augmente mécaniquement le TEG.

    CQFD






  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 8 août 2017 13:23

    Il est vrai que, contrairement aux banques, nous ne faisons aucune publicité pour notre association, et ce pour une raison simple, nous n’avons rien à vendre. Dans ce domaine, une seule chose compte, ce sont les résultats, d’où cet article. Il faut savoir que nous sommes tous bénévoles à l’aplomb.



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 8 août 2017 13:21

    La plupart des adhérents de l’APLOMB vont au tribunal sans avocat. Nous les « coachons » et l’avocate, même si elle n’est pas saisie, reste disponible pour nous apporter les conseils de dernières minute.



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 7 août 2017 17:17

    Je connais Jacques Cheminade qui soutient totalement mon combat. Jacques est le seul homme politique, à ma connaissance, qui a une vue très claire et très lucide du monde de la finance. Il est curieux qu’il soit le seul a vouloir re séparer les banques. Depuis 1941, il y avait les banques de dépôt, votre banque, celle qui gère votre salaire. Et les banques d’affaires, qui avaient leurs capitaux et qui spéculaient. Depuis la loi Fabius, du 24 janvier 1984, il n’y a plus de distinction. Le salaire qu vous déposez peut être utilisé pour des opérations sales, et spéculatives (exemple de la BNP qui a financé les armes du génocide au Rwanda.) Cheminade voudrait revenir à la situation d’avant : « n’utilisez pas mon salaire pour faire vos saloperies !!! »



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 7 août 2017 17:10

    Merci pour vos messages. Ce combat, nous le menons (maître Katia Debay et moi-même), depuis environ 7 ans. Le Crédit Mutuel m’a fait mettre en examen par 2 fois, mais ils ne réussissent pas. Si je n’étais qu’un simple président d’association protestataire, une pétition et une manif de temps en temps, ce ne serait pas trop grave. Ce qui explique leur acharnement, c’est que je suis un des leurs, une sorte de « repenti ». On laisse tranquille les « hérétiques », mais jamais ceux qui connaissent les « secrets du Vatican ». Il est vrai que j’habite en Angleterre, et il leur faudrait rééditer le coup du Duc d’Enghien... 

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