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Gilles Louïse

Gilles Louïse

Vir privatus tantum sum, je ne suis qu’un simple particulier.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/11/2006
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Derniers commentaires



  • Gilles Louïse Gilles Louïse 12 août 2008 11:07

    Petit à petit, quels que soient les détours qu’on prend, on s’achemine vers l’idée assez formidable d’un dividende universel c’est-à-dire d’en finir définitivement avec cette idée de devoir gagner sa vie.

    Il faut rendre la vie gratuite, c’est tout.

    S’il a fallu la gagner, cette vie, dans tous les siècles passés, aujourd’hui l’équation travail=pain n’a plus de sens. Je le dis et le répète : il n’y a plus de travail et il n’y en aura plus jamais. Il ne restera très bientôt que le travail incompressible lié à la vie, qu’il s’agisse de l’utilitaire ou de la création ex nihilo.

    Il faut bien comprendre qu’il est absolument impossible de ne rien faire vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

    Un disponible (c’est ainsi que j’appelle plus honorablement un chômeur en tant qu’il est en quelque sorte en réserve de la République et donc disponible) un disponible, par exemple, qui accorde à une veille dame une conversation dans un café, me paraît socialement mille fois plus utile qu’un gratte-papier dans un bureau qui ne sert strictement à rien (peu importe qu’il le reconnaisse ou non) et qu’on ne garde, pour l’instant, que pour ne pas le mettre au chômage.

    Dans ces conditions, le travail pourrait être véritablement valorisé et ceux qui auraient cette chance d’accéder à l’emploi, soit en étant engagé par une société, soit parce que leur inventivité est telle qu’ils auront su se créer leur propre travail, seront simplement plus riches que ceux qui ne vivraient que de ce dividende universel.

    Qu’importe qu’il y ait des feignants ou des profiteurs, ça n’a aucune importance, dans le nombre il y a forcément des inventifs qui créeront et utiliseront intelligemment ce temps qui leur est offert par la société.

    Il faut noter aussi qu’Internet, cette Toile Géante, avec sa gratuité généralisée, a également participé, d’une certaine manière, à l’appauvrissement des contributeurs car tout ce travail que représente les sites, dont certains sont tout à fait extraordinaires, n’est absolument pas rémunéré. C’est quand même un non-sens.

    Pour résumer, de quelque nom qu’on l’appelle, se fait jour l’idée d’un dividende universel.

    Bien à vous.



  • Gilles Louïse Gilles Louïse 10 août 2008 06:50

    Avec mes excuses émues, pas d’accord grammatical après un infinitif et c’est "s’est" et non "c’est" :

    La France s’est sérieusement fait piéger.

    Bien entendu, personne n’est à l’abri d’une inadvertance, d’un lapsus clavis, pour le nommer de son nom latin, mais une aussi belle phrase, par vous forgée, laquelle doit fatalement contenir un fond de vérité, se doit d’être présentée sous sa forme canonique.

    Bien à vous.



  • Gilles Louïse Gilles Louïse 9 août 2008 19:48

    Que l’homme ait de tout temps été un migrant, c’est bien possible. Mais cet argument générique n’existe que pour faire apparence.

    Comparons ce qui est comparable : entre découvrir le monde dans les millénaires passés et envahir un pays parce que l’herbe y est plus verte, ce n’est pas du tout la même chose.

    On veut mettre sur un même plan une émigration d’enrichissement qui vient créer des valeurs sur terre étrangère, et ce, parce que les individus qui la constituent, ont une grande culture et une grande valeur, et une émigration de parasitage , celle qui fuit son pays, comme si un parasite valait un créateur.

    On veut mettre sur un même plan une immigration compatible, celle d’individus dont la culture est à peu près identique et qui s’intègrent en une seule génération, avec une immigration incompatible, celle d’individus qui refusent manifestement l’intégration et veulent imposer petit à petit leurs propres valeurs. C’est ainsi qu’on emploie le même mot immigration pour désigner l’immigration inter-européenne et l’immigration extra-européenne comme s’il s’agissait de la même chose. Dans l’art de prendre les gens pour des imbéciles, on ne peut guère faire mieux.

    N’ayez crainte, la théorie est une chose, la pratique en est une autre, tôt ou tard vous serez rattrapés par la réalité, l’actualité vous a donné des hors d’œuvre, je suis sûr que vous allez aimer le plat principal qui arrive à grands pas.

    Bien à vous.



  • Gilles Louïse Gilles Louïse 8 août 2008 06:06

    Le fait que nos banlieues soient plus proches d’Obama, est un comportement massivement raciste. On ne me fera pas croire à un hasard.

    Après cela, comment avaler la très théorique théorie selon laquelle les races n’existent pas ! Allez les convaincre, eux, et revenez m’en direz des nouvelles.

    Faites ce que je vous dis…

    Bien à vous.



  • Gilles Louïse Gilles Louïse 7 août 2008 15:08

    Deuxième guerre mondiale ?

    Certains disent deuxième guerre dite mondiale, c’est qui est déjà mieux.

    Quand la France, chiure de mouche sur le globe, est en guerre, c’est une guerre mondiale. Risible, non ?

    Non, c’était la deuxième guerre civile européenne.

    Bien à vous.

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