Gilles Louïse

Cette histoire montre que ce qui est rejeté ne sont pas les races mais les éducations, ce qui n’a rien à voir, et notamment les éducations impliquant des comportements incompatibles avec les valeurs européennes.

Les accusations de racisme sont donc infondées et ont pour but d’imposer une sorte de mauvaise conscience sur la base d’un raisonnement dogmatique. Ah ! Le dogme, c’est une technique payante mais qui a fait son temps.

D’où la pauvreté des arguments dont la teneur est à peu près : lisez untel, il a écrit ceci, et le tour est joué, il ne faudrait pas écrire ceci mais on se garde bien d’en expliquer la raison, à la manière de Gertrude qui dit à son fils « Hamlet, thou hast thy father much offended », tu as grandement offensé ton père, mais on ne sait absolument pas en quoi il l’aurait offensé, il l’a offensé, point, de même untel a écrit ceci, point, l’affaire est entendue.

Risible façon d’argumenter mais toutes ces astuces ont eu leur temps, ces fausses accusations d’intimidation et le procédé dogmatique aussi, tout cela a été exploité à outrance mais tout a une fin.

Bien à vous.

PS : Ce texte a été censuré deux fois (il a été enlevé du fil), je le réédite différemment en modifiant les expressions car j’ai besoin de savoir ce que j’ai le droit de dire officiellement. Merci à Agoravox.

Un calcul informatique montre qu’il y a pour l’instant 168 réponses écrites par 38 contributeurs différents.

- Voici le palmarès des contributeurs ayant contribué plus de 9 fois :

- 1. Gazi BORAT a contribué 30 fois.

- 2. Cosmic Dancer a contribué 24 fois.

- 3. Nobody knows me a contribué 14 fois.

- 4. masuyer a contribué 10 fois.

- 5. docdory a contribué 10 fois.

On constate donc que l’espace de ce Media citoyen est essentiellement investi par 5 contributeurs.

Il semble également que les réponses censurées soient néanmoins comptabilisées puisque le nombre de réactions annoncées est bien plus élevé que la réalité.

Je ne crois pas qu’il soit très élégant de faire de la politique en faisant étalage de son petit cas personnel mais si vous aviez argumenté en termes généraux, nous n’aurions pas su que vous étiez cadre, et j’ai le vague sentiment que de votre point de vue, il n’eût pas été acceptable que nous l’ignorassions.

Il fallait à tout prix que nous sussions que vous fussiez cadre.

L’idée qui m’est venue est donc que vous êtes très fier d’être cadre et que vous avez trouvé un excellent moyen de le faire savoir.

Pour le reste, nous sommes dans la description anecdotique de petits malheurs quotidiens, sans grande importance somme toute, au regard des catastrophes sociales qui nous arrivent à grands pas mais que beaucoup persistent à ignorer selon la très fameuse politique de l’Autruche, nonobstant de multiples signes avant-coureurs significatifs.

Bien à vous.

Seuls les lâches quittent leurs pays parce que l’herbe est plus verte ailleurs.

C’est pourquoi les immigrants ont mauvaise presse, ils trahissent leur patrie d’une certaine manière et sont méprisés partout, aussi bien chez eux quand ils y retournent que dans le pays d’accueil.

Malgré les guerres et les occupations diverses et variées, les Français sont restés chez eux.

Vous voudriez qu’on devienne nous-mêmes des immigrants ?

J’espère que vous comprenez qu’il n’en est aucunement question. Ce n’est pas le genre de la maison.

Bien à vous.

D’après les spécialistes de cette question, le suicide sera la première cause de mortalité  tous âges confondus dans quelques milliers de jours.

Pour ma part, je suis pour la légalisation pure et simple du suicide avec accompagnement médical.

On ne voit absolument pas pourquoi on devrait vivre, on ne voit pas ce qu’on gagne en vivant, ni ce qu’on perd en mourant.

Quant aux croyants qui argumentent en disant que c’est Dieu qui m’a donné la vie, en conséquence de quoi lui seul peut me la reprendre, je leur réponds que c’est un argument de malade mental car si Dieu m’a donné la vie, j’en fais ce que j’en veux de cette vie, nom de Dieu !

Quand vous offrez quelque chose à quelqu’un, la personne qui reçoit le présent peut l’utiliser comme elle l’entend, sinon ce n’est pas un vrai cadeau.

Et en quoi le suicide peut-il être un problème dans un monde manifestement surpeuplé ?

Comment se fait-il que les exclus sociaux, et notamment les exclus définitifs qui ne pourront jamais se refaire, ne bénéficient pas d’une facilité létale officielle pour en finir ?

La vérité, c’est que nous sommes encore dans une société de peur de la mort, c’est d’ailleurs pour cette raison que la peine de mort a été abolie et non pour des raisons idéologiques, la société drape simplement sa trouille de philosophie.

Bien à vous.