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guillaume

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  • guillaume 3 août 2007 12:20

    Arrêtez de dire n’import quoi. Nader est un opportuniste médiatique. Il a toujours surfé sur le vague crée par d’autres, et souvent changé d’idée (de façon opportune aussi).



  • guillaume 3 août 2007 12:16

    Il faut voir, qu’en France on n’est pas capable de différentier les traitements et les soins et que c’est une véritable anarchie au niveau des remboursements. Je pense qu’on peut différentier tout de même dans les remboursements sujets à caution les petits soins (grippe et autre), les accidents (crise cardiaque, accident physique, soins nécessitant une opération), les maladies de longue durée (certains cancers, sida, . Dans ces trois types, il est évident, même s’il s’agit de cas mortels, que la solidarité a des limites. J’ai du mal à comprendre qu’on soit remboursé sur la moindre grippe (généralement on est conscient du problème sans consulter un médecin et le traitement est connu). De même, sachant que près de la moitié de la population agée souffre de dégénérescence maculaire, le seul traitement efficace connu coûtant presque 1000 euros par mois, rembourser ce genre de traitement aura vite fait de plomber la sécu. Idem pour le sida et d’autres maladies au traitement extrêmement onéreux. A chacun de s’organiser au mieux et après tout si on est plus riche, il faut bien que ça serve à quelque chose, sans dire que la motivation de le devenir n’en sera que plus forte. Par contre je vois bien la sécu s’occuper en priorité des accidents sanitaires de la vie. Je pense que c’est son rôle premier et qu’elle l’assume plutôt mal.



  • guillaume 3 août 2007 12:00

    L’analyse est surtout très lacunaire.

    En fait d’inflationniste en termes monétaires, la TVA sociale risque d’être inflationniste en termes de dépenses. Cette TVA n’étant absolument plus liée au consommateur, au cotisant, mais au politiques, qui agissent politiquement, rien n’exclut qu’elle devienne une sorte de sac sans fond indolore (la TVA est indolore).



  • guillaume 3 août 2007 11:48

    Témoignage : effectivement après le présidentielle de 1988, Chirac, qui a connu un problème familliale (sa seconde fille à moitié folle à sauté par une fenêtre), a été dans un black-out politique. Plusieurs années, on ne l’a quasiment pas vu. A Paris tout a été pris en charge par Juppé, jusqu’aux signatures de maire. On a pu remarquer le changement entre la période Chirac et Juppé, avec rapidement une prise en main quasi-totalitaire de l’administration, les bureaucrates énarques (généralement incompétents) remplaçant les coeurs de métier à tous les niveaux. L’une des phases les plus délirantes à été l’instauration d’un système informatique centralisé où chaque fonctionnaire devait faire une compte rendu de sa journée. Il a fallu pour cela embaucher des jeunes techniciens en informatique pour seconder ces fonctionnaires, qui n’avaient jamais vu d’informatique (tout au plus un minitel - c’était encore avant le succès des premiers Windows). En plus le système plantait en permanence. C’était après une période faste de Paris de tous les points de vue, l’arrivée de la débandande totalitaire Juppéiste, qui a d’ailleurs impacté sur le fonctionnement (on réalisait moins de choses mais l’administration était débrodée). Ce dernier problème s’est ensuite aggravé avec l’arrivée de Tiberi, puis aujourd’hui on peut dire que Paris en tant que capitale s’est effondrée de tous les points de vue (l’actuel maire et son administration finissent de l’enterrer).

    Alors que Chirac n’ait pas mis le nez dans ses affaires à partir de 88 ne m’étonne guère, mais dans la période 76/88, il a été un maire d’exception.



  • guillaume 3 août 2007 11:24

    Il est clair que le service minimum est une vue de l’esprit.

    Il faut voir ce qu’il se passe ailleur et ce qui a tété en France. Les services minimum ne marchent nulle part, car c’est un terme flou. Où commence le minimum et ou s’arrête-t-il ? Le plus juste serait de pratiquer comme aux Etats-Unis des règles et des mesures claires. Là-bas le droit de grève dépend des Etats. En fait il est à peu près total partout, mais la reconnaissance légale des syndicats varie suivant les Etats. Il faut savoir que cette reconaissance est un privilège octroyé à des corporations en vue de représenter les employés ou les métiers. Il est facile de balancer entre trop de reconnaissance et pas assez. Les Etats avec des travailleurs très syndiqués donnent beaucoup d’importance aux syndicats et vice-versa. Par ailleurs aux Etats-Unis, la fonction publique, qui bénéficie à peu près des mêmes avantages qu’en France même si ce n’est pas écrit et que ça dépend de chaque administration. Seule différence : interdiction de faire grève. Ce n’est pas illogique. Si on est au service de l’Etat, faire grève, signifie qu’on fait grève contre l’Etat lui-même, sa démocratie, ses élus, tout en étant soi-même électeur. Ce serait pas très logique.

    En france, non seulement le centre du syndicalisme et des grèves c’est la fonction publique, mais en plus la France sur-reconnaît le syndicalisme qui ne représente qu’une infime frange de travailleurs. Elle octroie en plus seulement aux syndicats dits de la Libération des droits très étendus, et par conséquent on ne peut parler de liberté syndicale. Le problème est là et non dans le service minimum, qui ne demandera qu’à être transgressé.

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