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gvanhecke

gvanhecke

Je suis un jeune père de famille et ingénieur informaticien... Et surtout, je suis un indigné. Un de plus.
Indigné par notre système actuel.
Ainsi, à peine née et voilà ma petite avec une dette de +- 31000 EUR sur les épaules. Elle qui n'a rien demandée, voit déjà son destin empêché par le système actuel. Je ne peux m'y résoudre... Pourquoi devrait-elle rembourser une dette dont elle n'est pas responsable ?
Je souhaite agir à mon échelle et lutter pour un monde plus juste. Où la démocratie est à nouveau le pouvoir du peuple. Un monde où le système bancaire est décentralisé et au service de tous plutôt que de quelques uns. Où l'intérêt n'est plus et n'asservit plus les petites gens pour gonfler les comptes des plus nantis.

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Derniers commentaires



  • gvanhecke gvanhecke 9 septembre 2011 16:15

    Pendants mes études, j’ai fait de l’IA (intelligence artificielle) :


    Les algorithmes fourmis sont très célèbres dans ce domaine, notamment dans la résolution du problème du voyage de commerce (établir l’itinéraire le plus court entre N points).

    Mais ils existent d’autres méthodes qui s’inspirent aussi de la nature.

    • Les algorithmes génétiques utilisent une autre théorie, énoncée par un grand naturaliste ; la théorie de l’évolution de Darwin. Dans les algorithmes génétiques, l’on brasse des populations d’individus virtuel que l’on fait concourir entre eux pour sélectionner les mieux adapté à un problème. Seul un individu ne sert à rien.
    • Les réseaux de neurones, sont très étudier également, pour tout ce qui est de l’apprentissage par déduction (reconnaître des formes, suivre des trajectoires, ...). Seul ils ne servent à rien. C’est leur grand nombre et leurs interconnexions encore plus nombreuse qui font paraître l’ensemble « intelligent »,. 

    Que ce soit, algorithmes fourmis, algorithmes génétiques ou réseaux de neurones, il y a une grande similitude ; pris isolément ; 1 fourmis, 1 génome artificiel, 1neurone n’est pas d’une grande utilité mais considéré en grand nombre il font émerger une certaine « intelligence ».

    Remercions ce grand Architecte qu’est la nature !!!






  • gvanhecke gvanhecke 9 septembre 2011 15:18

    Le problème est l’intérêt qui est réclamé sans qu’il ne soit injecté... ce qui engendre la rareté de la masse monétaire.

    J’invite tout le monde à lire « Le compte de Roseland »

    Une belle vulgarisation qui met à la porter de chacun, la compréhension du système actuel.


  • gvanhecke gvanhecke 9 septembre 2011 14:48
    Le pire n’est pas là... Non, je vous assure. Laissez moi 30s pour vous expliquer.

    En effet, depuis le 3 Janvier 1973, l’État ne peut plus emprunter auprès de sa banque centrale. En d’autres termes, l’Etat ne peut plus s’emprunter à lui même. Par ce biais, l’idée était effectivement de diminuer les emprunts contractés par les pays et ainsi limiter l’inflation au niveau national. 

    Sauf que la perversion du système actuel n’a pas été pris en compte ; Par naïveté ou à cause d’arrangements secrets (copinages) - ça l’histoire ne nous le dit pas - l’on est aujourd’hui obligé de rembourser avec Intérêt.

    Le pire c’est que l’intérêt n’est jamais injecté dans le système.

    Tout l’argent mis en circulation est le résultat d’un emprunt fait par vous, moi, une entreprise, l’Etat. Si l’on somme tous les emprunts on obtient un total T.

    Or, les banques demandent toujours un intérêt... Dès lors, si l’on additionne tous ce qui est réclamé par les banques suite aux emprunts, nous obtenons un total à rembourser R = T + I (où I est l’intérêt).

    Si l’intérêt n’est pas injecté, il y a là un trou, que dis-je, un vide abyssal dans l’équation !

    A cause de ce trou béant, et parce que l’on tient à sa maison, à sa voiture, parce que l’on veut garder à tout pris ce que nous avons mis en garantie... On entre alors en compétition les uns contre les autres. On va chercher dans la poche de son voisin cette part d’intérêt que la banque nous réclame... Résultat, l’argent est raréfier. La population s’appauvri, l’assistance publique est de plus en plus sollicitée, l’impôt prélevé ne suffit plus rembourser les emprunts contracter par l’Etat, etc.

    Je vous le dit : si seulement, l’intérêt était injecté...


  • gvanhecke gvanhecke 26 août 2011 11:31
    Quant un riche investi, c’est qu’il escompte gagner à cours terme plus que son investissement de départ, sinon il n’investirait pas ! Ça parait évident mais développons un peu :

    La seule préoccupation du riche est de minimiser les risques et de maximiser ses profits.
    Dès lors lorsque vous comparez les flux d’argent, il rentre plus d’argent dans les portefeuilles des riches, qu’il n’en sort.

    C’est donc un faux calcul que de croire que les riches font tourner l’économie... Que du contraire, ça l’appauvrit ! Les flux rapportés étant plus important que les flux investit.

    Comment cela fonctionne concrètement ?

    D’un côté, les riches, missionnent leurs banquiers pour veiller sur leur capital et surtout pour le faire croître. Au passage, le banquier prélève une commission (sois disant des frais de fonctionnement).

    Vous, moi, le petit commerçant du coin, les indépendants, les petites PME, les entreprises, l’État... Lorsqu’ il faut un logement, lorsqu’il faut faire des travaux, lorsqu’il faut engager du personnel, etc... Nous empruntons de l’argent aux Banques. Si bien que tout l’argent mis en circulation vient toujours d’une banque, et cet argent en circulation est toujours le résultat d’un prêt avec intérêt. Le mot est lâché ; l’intérêt.

    Si l’on fait la sommes de tous les prêts contractés auprès de toutes les banques, nous obtenons un total « P ». Notez à ce stade, que l’intérêt n’est pas injecté.

    A présent, si vous faites la sommes de tous ce qui doit être rembourser vous obtenez un total R = P + l (où I est la sommes des intérêts)

    Il ne faut pas avoir fait de grandes études pour comprendre que le système profite qu’aux nantis et aux banques.

    Pis, ne voulant pas pas perdre son logement, ne voulant pas perdre son commerce, ne voulant pas fermer l’usine, ... Tous nous rentrons dans un combat acharné pour rembourser notre prêt avec intérêt. L’intérêt n’ayant jamais été injecté force tout le monde, à tous les niveaux, à rentrer en compétition.

    Résultat, l’argent se raréfie, avec comme conséquences : expropriation, licenciements, chômage... La misère force alors les gens à se retrouver dans la rue, les crimes augmentes, les guerre se succèdent, etc...

    Alors, ne dites pas qu’on à besoin des riches ! Leurs gros sous nous appauvrissent, et pervertis les banquiers qui n’ont pas intérêt à ce que ça change puisqu’il s’y retrouvent aussi !


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