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gvanhecke

gvanhecke

Je suis un jeune père de famille et ingénieur informaticien... Et surtout, je suis un indigné. Un de plus.
Indigné par notre système actuel.
Ainsi, à peine née et voilà ma petite avec une dette de +- 31000 EUR sur les épaules. Elle qui n'a rien demandée, voit déjà son destin empêché par le système actuel. Je ne peux m'y résoudre... Pourquoi devrait-elle rembourser une dette dont elle n'est pas responsable ?
Je souhaite agir à mon échelle et lutter pour un monde plus juste. Où la démocratie est à nouveau le pouvoir du peuple. Un monde où le système bancaire est décentralisé et au service de tous plutôt que de quelques uns. Où l'intérêt n'est plus et n'asservit plus les petites gens pour gonfler les comptes des plus nantis.

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  • gvanhecke gvanhecke 7 novembre 2011 14:11

    Bon article ! Merci.


    Je partage les mêmes impressions que l’auteur. Notre démocratie n’est pas assez démocratique.

    Pour ma part, en Belgique, nous avons un système démocratique différent de celui de la France : appelé « particratie ». 

    Essayons d’expliquer cela facilement :

    Imaginons, les « indignés » forment un parti appelé PourUnNouveauMonde avec un programme électoral formant une synthèse de leurs revendications si souvent scandés dans les rues ces dernier temps.

    La grogne populaire continue de monté jusqu’au jour des élections et le résultat des élections est le suivant :

    • 1er, le parti PourUnMeilleurMonde avec 40 % des voix ;
    • 2ème, le parti Libéral avec 23%,
    • 3ème, parti Socialiste avec 19%
    • 4ème ,parti Ecole avec 15%
    les autres se partagent les 3% restants.

    En Belgique, bien que le grand gagnant soit le parti PourUnNouveauMonde, les partis Socialiste, Communiste et Ecolo décident ensemble de former une coalition totalisant ensemble 57% des voix. 

    Ces partis traditionalistes sont pourtant de bords opposés mais devant la menace d’être dégagé en touche, ils décident volontairement de s’associer pour former une majorité et garder les rênes du pouvoir.

    C’est ainsi qu’en Belgique, 40% des gens sont frustrés et ont l’impression que leur voix n’est jamais entendue.

    Je ne connaissais pas le « vote alternatif » ... C’est intéressant en effet.

    Pour ma part, mon idéal serait plus une sociocratie (voir wikipedia et vidéos pédagogiques sur daylimotion et youtube)


  • gvanhecke gvanhecke 10 octobre 2011 11:15

    Y’a pas de changement si l’on reste là à discourir sans agir.


    Il existe plein de possibilités pour sortir de l’impasse tendue par notre système.
    Seulement il faut avoir le cran de vouloir oser le changement.

    Tant que le citoyen continue à se reposer entièrement sur le système actuel, il en restera l’esclave.

    Vous, moi... tous, nous devons ensemble opter pour un autre système.

    Si demain, nous synchronisons notre action, pour utiliser une autre monnaie par exemple ? Une monnaie non basée sur l’intérêt pour éviter sa capitalisation et encourager sa circulation.

    Si demain, nous options ensemble pour un système décentralisé ? Un système ou la création monétaire ne serait pas entre les mains de sociétés privées et un système sans banque centrale...

    Tout cela existe déjà.

    Joignez-vous aux utilisateurs des monnaies complémentaires/alternatives (WIR, RES, Occitant, ...) . Participez aux projets Venus, Easyswap, Ripple ou Bitcoin.... Inscrivez vous dans des SELs.

    Il nous faut ensemble constituer une masse critique de citoyen qui encouragera les autres à nous emboîter le pas. Il faut montrer aux autres que vivre en dehors du système est parfaitement possible. 

    Il nous faut créer un autre référentiel basé sur les ressources réelles et non sur de l’argent-dette.

    Les gens sont des moutons ; formez un troupeau plus gros avec un berger les menant vers de meilleurs pâturages et les autres suivront smiley


  • gvanhecke gvanhecke 10 octobre 2011 10:55

    Belge et résidant en Belgique, j’ajoute à l’exemple de l’Islande donné dans votre article celui de notre pays.


    Sans gouvernement depuis 483 jours (triste record), la Belgique, selon les indicateurs économiques, se porte bien mieux que ces voisins.

    L’explication ? L’absence de gouvernement, et surtout de ce fait, l’impossibilité d’imposer des plans d’austérités tout azimut... N’étant pas plombé par des coupes dans les retraites, des impôts supplémentaires, etc... L’argent circule et s’échange entre tous les acteurs économique et bénéficie à la relance économique de l’après crise.

    Ceci dit ; le Belge ne l’ignore pas. Aussitôt qu’un gouvernement aura été formé, le politique s’empressera de rattraper son retard ; il y aura un retour de fouet. Nos politiciens comme en France et dans bien d’autres pays sont les pantins des finances, du FMI et de la BCE.

    Si rien n’est entrepris, la Belgique établira des « règles d’or » à la « mords-moi-le noeud » qui plomberont bien vite à nouveau notre économie.

    Je salue toute fois un mouvement citoyen inspiré par l’Islande le sommet citoyen du G1000 et qui aura pour objectif de réunir ce 11 Novembre, 1000 citoyens belges de tout horizon. Objectif : se réapproprier notre démocratie et redéfinir ensemble nos priorités politiques. Un exemple de démocratie participative (directe) pour débloquer notre avenir... A méditer amis français smiley


  • gvanhecke gvanhecke 14 septembre 2011 13:32

    Je suis d’avis que la nationalisation des banques est une mesure qui doit être accompagnée d’autres. Autrement, elle laisserait encore trop de degré de liberté et de pouvoir à quelques uns.


    Il faudrait également que :

    • la création monétaire redevienne un droit publique.
    • Décentraliser les banques (la création monétaire ne doit pas être un droit laissé à une seul organisme)
    • pour tout emprunt, l’intérêt doit être injecté dans le système. Sinon la masse monétaire ne contient que les capitaux et le remboursement de l’intérêt n’a pas lieu d’être.


  • gvanhecke gvanhecke 12 septembre 2011 22:02

    « En fait il l’est par nouvel emprunt, sauf que celui-ci ne correspond à aucune richesse réelle ou promise »


    Ton raisonnement me semble inexacte.

    Supposons un premier prêt P1 = C1 + I1 (capital 1 + intérêt 1)
    Imaginons que tu contracte un nouvel emprunt P2 = C2 + I2, comme la banque ne dégagera que C2, tu peux si C2 = P1 recouvrir entièrement ton premier emprunt. Oui mais...

    Si tel est le cas ça signifie aussi que ton second emprunt P2 = C1 + I1 + I2 (par substitution de variable en mathématique). 

    C’est donc un mauvais calcul, car en contractant un crédit pour en rembourser un autre, tu te retrouves au final avec plus d’intérêt à rembourser. 

    Et c’est bien ce qu’il se passe avec la Grèce ; Pour rembourser sa dette... Elle a du emprunter au FMI et à la BCE en contractant un nouvel emprunt. En prenant ce second emprunt le gouvernement grecque ne fait que reporter le problème car ils ont fait le choix de devoir rembourser plus d’intérêt ! Avec à la clé plus de charges sur le contribuable ... Tu parles d’une solution !

    Les banquiers et les investisseurs du FMI et de la BCE se frottent les mains ! Eux qui se rémunèrent sur les intérêts sont bien content de savoir que les Grecques vont leur en rembourser plus encore ! 

    C’est une véritable spoliation !

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