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hamra

En l’an 2000, connue sous le nom de la fille du voleur, participait à des scènes ouvertes notamment à la flèche d’or ; adhérant au mouvement des slameurs représenté alors et encore aujourd’hui par Pilot le Hot.

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  • hamra 22 novembre 2007 20:26

    le bras de fer entre le français et l’anglais !!!!!!!!!!

    I (aïe)....aïe aïe. ça dérouille : l’égo en prend pour son grade ! en français c’est i. le cri s’apprécie différemment. dans les deux langues il signifie je. Et il est associé à la douleur.

    je crois qu’on a sous-estimé les acteurs de la mondialisation.

    le conflit conceptuel de base sujet/objet : qui est le propre du dialogue.

    restons en pour l’instant au français, pour ma part j’appécie grandement ce dernier commentaire : l’espéranto peut etre demain je ne sais pas. Et je préfère prendre mon temps pour le découvrir.



  • hamra 22 novembre 2007 15:22

    je mets aussi à dispo une autre adresse qui donnera une autre approche du débat en cours :

    philagora.net

    sur l’épistémologie.



  • hamra 22 novembre 2007 15:02

    le débat est impressionnant, je m’excuse de m’être lassée et de ne pas m’etre attardée sur l’argumentation de certains.

    je ne prends pas position pour l’espéranto ou l’anglais. Je ne suis pas non plus neutre : j’apprécie à sa juste valeur le débat sur la problématique que se pose quotidiennement tout bon traducteur et tout interprète qui se respecte : et qui est confronté au malentendu qui dérive de la grammaire et la syntaxe.

    pour les germanophones dont je ne fais pas partie, je le regrette un peu, Schopenhauer a bien souligné l’appauvrissement de la culture et des scientifiques allemands (all - magne= tous grands) avec la suppression du latin comme langue de référence, et certaines incohérences voires appréciations des mots et de leurs dérives orales dans leur processus volontaires de simplification.(contexte nationnaliste oblige)

    pour les anglophones, etre confronté à l’apprentissage de l’anglais et à sa richesse ne laisse aucun doute sur son extreme précision, dans le sens noble du terme ou l’oral est intimement lié à l’écrit : je vous renvoie à Better english ponunciation de O’connor. ou aux ecrivains références comme Orwell et James Joyce.( voir plus haut une citation extraite d’un bouquin en anglais)

    Pour les hispanophones, les français ou francophones et en regle générale les peuples latins intimement lié par leur imaginaire aux grecs, l’appréhension du sens est plus dogmatique que naïve.

    et cela traduit bien les différentes appéciations de l’oralité et de l’écrit.

    la complexité de certaines langues et donc leur maitrise va de pair avec leur civilisation et leur histoire, soit leur évolution.

    comme il a été souligné dans un des commentaires que j’ai pu lire, et qui rejoint le point de vue que j’ai adopté : il est regrettable que le latin ait été abandonné néanmoins l’apprentissage des langues devient un impératif fondamental, les méthodes ont été toutes investies même celle du français à voir la méthode globale et ses ravages.

    espéranto : espérando, esperare, espérer, les sens sont variables et déclinables à souhait : en train d’attendre, attendre,...et espérer : le mot n’est pas inutile. Par contre le sens même du mot l’est ainsi que son appréciation dans son contexte.

    Enfin je remets à dispo pour qui veut l’adresse d’un site anglophone : Freessays123.com qui reprend un autre ensemble de points de vue sur les civilisations et leur problématique.

    Cordialement.



  • hamra 22 novembre 2007 13:28

    cet article est très intéressant, il est à mettre dans la continuité des expositions entreprises au grand palais dont celle sur la Mélancolie, et son traitement tout au long de l’Histoire.

    Exposition qui avait été reprise et commentée longuement dans un des numéros du Magazine littéraire.

    il est aussi à mettre en parallèle avec les différents courants esthétiques et les codes iconographiques de l’Art dans toutes ses dimensions, dont le naturalisme d’un André Antoine ou le théatre et la cruauté d’un Antonin Artaud.

    ainsi que le théatre de l’absurde. je vous conseille pour une approche globale de tout cela le livre : Aventure de l’Art au 20°siecle, peinture sculpture et architecture.

    Bien cordialement.



  • hamra 22 novembre 2007 13:09

    it is strange that the popular press as an art form has often attracted the enthusiastic attention of poets and aesthetes while rousing the gloomiest apprehensions in the academic mind .

    Marshall Mc Luhan. Hot and Cool. Understanding medias etc...

    Declining to write for the revue Européenne in 1831 Lamartine said to its editor :

    do not perceive in these words a superb disdain for what is termed journalism. Far from it ; I have too intimate a knowledge of my epoch to repeat this absurd non sense, this impertinent inanity against the Periodical press......

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