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IanO

Communisme et cultures populaires, lutte des classes et lutte des charts, féminisme, émancipation humaine...
https://twitter.com/RedandRude
 

Tableau de bord

  • Premier article le 20/01/2012
  • Modérateur depuis le 08/03/2012
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Derniers commentaires



  • IanO 23 janvier 2012 16:31

    Bonjour,
    quelques modifications mineures ont été apportées à cet article (ajout de chiffres précis, ajout de références, corrections orthographiques et syntaxiques...). Vous pouvez voir la version actualisée en suivant le lien en fin d’introduction.



  • IanO 18 janvier 2012 09:47

    Cet article laisse entendre que Mélenchon préférait parler d’un référendum que de la grève générale, en fait c’est bien pire, il défendait le référendum contre la grève générale. Le 5 octobre sur france2, il a été demandé à Melenchon s’il était pour la grève générale, voilà sa réponse :
    "Je suis un républicain, je suis pour la démocratie et non pour le sang versé. Je suis donc pour un référendum sur la question pour régler le problème de façon démocratique.« On voit très bien ici qu’il oppose d’un côté la grève générale qu’il associe au sang versé et de l’autre le référendum qui est républicain et démocratique. Mélenchon semble oublier que le sang versé l’est bien plus souvent par les républicains démocrates que par les révolutionnaires grévistes. Ainsi, avait-il déjà fêté l’anniversaire de la 3ème république qui s’est bâtie sur le sang de plus de 30 000 communards. Les bons républicains démocrates qu’étaient Thiers et Mac Mahon, ont fait couler le sang des communards dont l’insurrection allait plus loin que la grève générale.
    Mais intéressons-nous à la suite de la réponse de Mélenchon : »Je ne me prononce pas sur la grève, je laisse les syndicats faire leur boulot."
    Ainsi Mélenchon se prononce contre la grève générale mais estime ne pas devoir se prononcer sur la grève tout court. Cette séparation artificielle avec d’un côté les syndicats qui s’occuperaient des grèves et de l’autre les politiciens qui s’occuperaient des institutions (élections, référendums...) est une des marques de fabriques du réformisme. Cette séparation n’a aucune raison d’être, les syndicats sont les organisations des travailleurs, ils ont donc toute latitude à s’intéresser aux institution, à quel pouvoir, exercer par qui et comment, ce n’est pas l’apanage de politiciens professionnels (comme le sieur Mélenchon, 20 ans sénateur, ancien ministre, actuel député européen). A l’inverse, l’idée que les politiques n’auraient pas à s’occuper des luttes des travailleurs est honteux, les place dans une situation hors classe, hors sol. Surtout, on voit bien que cette altitude, ce recul, cette neutralité, à ces limites, tant que leurs chères institutions, leur chère république, est à l’abri. Quand il est question de grève générale reconductible, d’un coup ils peuvent s’exprimer, pour s’y opposer avec virulence et calomnies.

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