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Illel Kieser ’l Baz

Anthropologue, psychologue clinicien. Soutien aux victimes de pédocriminalité et de traumatismes.
Spécialiste de l'imaginaire des sociétés.
 
Hommes et Faits
 

Tableau de bord

  • Premier article le 15/01/2008
  • Modérateur depuis le 02/08/2008
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Derniers commentaires



  • Kieser 31 janvier 2008 17:47

    « 1000 rédacteurs ont accès à l’interface, etc. Ce chiffre n’est pas un gage de qualité, ni de transparence. Croyez-vous vraiment que vous allez échapper au noyautage, à l’infiltration par quelques raiders solitaires, si vous ne vous dotez pas d’une véritable conférence de rédaction chargée de veiller chaque jour à la cohérence et à l’harmonie des pages quotidiennes. » C’est ce qu’on fait mais sans une véritable conférence de rédaction comme l’on peut trouver dans les médias traditionnels.

    Si j’ai évoqué une conférence de rédaction, ce n’est pas comme modèle à suivre mais pour insister sur la nécessité d’une vérification sur la cohésion et la variété des thèmes abordés... Car, sur une actualité brûlante comment voulez-vous échapper à la pression de l’emportement émotionnel, sur lequel d’ailleurs les cellules de communication jouent avec une facilité déconcertante ?

    Non, malgré votre volonté de transparence que je crois sincères, votre organisation éditoriale n’est pas paré pour y faire face.

    Exemple : Dans le temps du pseudo-"krach" boursier, nous avons eu droit à tout-ce-qu’on-ne-nous-dit-pas et au ce-que-vous-devez-savoir. Mais dans le même temps on assistez à l’introduction du droit dans les écoles accompagné d’une annonce sur l’hamonisation policières des sanctions à l’école, au collège et au lycée avec le fameux "impunité zéro". Rien ! Peu ou pas d’articles alors que cela mérite une certaine attention.

    Si vous-même, par une forme plus ou moins "sauvage" de direction éditoriale - car c’en est une - vous laissez vos colonnes envahir par l’afflux émotionnel, vous perdez, du même coup un des point fort de votre charte d’engagement.

    Par ailleurs, et vous n’avez absolument pas répondu sur ce point : vous n’êtes pas seuls, ce n’est pas par la grâce d’une jolie interface que AgoraVox va fonctionner mais c’est aussi grâce à des auteurs dont certains auront des idées, voire du style. Comment voulez-vous que ces derniers fassent confiance dès lors que, d’une manière ou d’une autre ils retirent plus ou moins vaguement l’impression qu’ils ne sont qu’instruments ? Que vous la pensiez ou non il se dégagera une signature "Agoravox". A vous de savoir si vous voulez en garder le contrôle, en partager le contrôle ou la laisser vivre à la bonne franquette. Ce n’est pas le droit de vote qui fait l’intégration.

    Protéger les auteurs c’est aussi, pour eux, se protéger de leur propre excès par l’acceptation d’une éthique et d’un code de bonne conduite. C’est aussi la possibilité de se familiariser avec votre esprit, celui que vous essayez d’inculquer à travers cet article. Demain il sera passé dans les "pages suivantes" mais si les auteurs, dès le premier article, de plein droit et sur l’interface auteur bébéficient d’une espace échange et d’un forum interne, il se pourrait qu’il participent avec un peu plus de conviction et d’affectio societatis à votre entreprise.

    C’est aussi, pour vous, accepter un partenariat de plein gré !

    Que veut dire ce seuil de 5 articles pour accèder à l’espace rédacteur ? Sinon une sorte de cap initiatique en dessous duquel, vous en êtes - vous le moins-5 - réduit à : "Remplissez le formulaire"
    Créer cet espace transversal de communication, c’est aussi le risque de perdre un certain contrôle "centralisé". regardez votre pyramide des contrôles sur l’URL que vous m’indiquez. Elle ne vous rappelle rien ? Le modèle jacobin de l’exercice du pouvoir ! Désolé d’être aussi bref.



    Nous avons mis en place un processus de publication et de vérification en 3 étapes qui est détaillé ici :http://www.agoravox.fr/article... Vous verrez donc que l’étape que vous citez (les modérateurs externes qui votent) n’est constitue que la phase initiale du processus. La seconde phase est tout aussi importantes avec un certain nombre de vérifications importantes en terme de copyright, diffamation, pertinence et notamment pour minimiser les risques que vous évoquez (noyautage) qui sont bien réels sur un média en ligne collaboratif.

    Avant de m’inscrire, j’avais tout lu de vos articles de recommandations et sur le processus de vérification. C’est pour cette même raison que je vous interpelle ici, dans les commentaires car je ne pense pas que vos outils présents soient à la hauteur de vos intentions. Il y a, me semble-t-il quelque chose qui n’est pas pensé. Alors inventer, sûrement !

    Sur le contrôe du contenu, disons qu’il y a des ratages : celui concernant mon article mais un autre que je n’ai pas gardé en référence concernant un article d’information sur les changements climatiques qui était une reprise, in extenso, de l’article d’un ami journaliste qui n’a pas jugé bon de protester. Il en existe d’autres, plus fréquents et facilement repérabe si l’on balaie la toile : ces articles qui reprennent, sans plagier des opinions glanées ça et là pour en faire un amalgame cohérent. Il y a aussi des articles qui sont à la limite de la PUB rédactionnelle, je pense à cet article très orienté d’un psychiâtre nous vanntant les mérites des anti-dépresseurs...

    Je ne vous fais pas un procès d’intention ni une demande de justifications mais votre processus de vérification pose problème, il manque de transparence et il fait fi de toute forme de communication avec l’auteur. Vous dites que j’aurais pu contacté "les". Qui, "les" ? Comment ? Par le formulaire contact ? Allons, soyez sérieux ! Je l’ai fait tout de même... pas de réponse.



    Nous sommes dans l’univers de la recherche d’information et de la veille depuis 1995. On essaie de mettre à disposition ce savoir faire pour minimiser toute dérive potentielle mais qui est hélas toujours possible.

    La recherche d’information et la veille informative n’ont rien à voir avec les théories - d’idéologies diverses -’ de l’organisation et de la transmission des savoirs. Justement, en proposant une organisation "traversante", je m’inscris dans l’axe d’une de ces théories.

    Ensuite, sur la remarque concernant certains auteurs, il est vraie que la qualité des papiers est parfois inégale. Mais il faut toujours évaluer un article à la lumière de l’ensemble des commentaires qu’il génère. Ainsi, un article « scolaire », comme vous dites, peut être complètement enrichi par l’analyse des commentateurs. C’est ce qu’on explique également dans le lien du haut.

    Ha ! Que la qualité des papiers soit inégale, pourquoi pas ! Cela n’a rien de gênant mais votre système d’évaluation est assez spécial. J’avoue que votre propos, sur ce point, me choque. Vous dites qu’un article peut-être amélioré par l’analyse des commentateurs. De plus vous rappelez que cette appel est inscrit dans votre charte d’intention. Je suis obligé de vous dire que votre vigilance est quelque peu dépassée et vous ne lisez pas souvent AgoraVox. Les exemples sont multiples de ces commentaires haineux, brefs comme des invectives, émanant même d’auteurs déjà dans le cercle des initiés. Ne croyez-vous pas que l’on attende de vous des mises au point ?

    Un exemple : L’excellent article de Adeline Journet
    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=35126
    Mutilation génitale féminine et tradition

    Dans un premier article, maladroit certes, l’auteure abordait naïvement un sujet délicat. A sa charge beaucoup de maladresses mais le fond ouvrait un débat. Dans un second article elle aborde un autre sujet très délicat, celui de l’excision. J’ai été frappé des progrès que cette jeune auteure avait faits. Mais, si les commentaires du premier article étaient complaisants et aidants, ceux du deuxième frisent la bassesse et l’injure (pas tous heureusement mais il est impossible d’avance un débat). Or, si l’on connaît un peu Agora Vox, on découvre que les plus proches de la vomissure émanent d’auteurs "initiés". Je ne suis pas intervenu, même si le sujet m’est familier, mais si un forum interne avait existé, je ne me serais pas privé de dire tout mon bonheur à la lecture de ces écrits barbares.


    Vous voudriez qu’on calque le fonctionnement d’AgoraVox avec celui d’un média classique avec un comité éditorial qui ait une orientation précise et avec un comité scientifique pour valider le tout. Nous ne suivons pas ce modèle classique qui a par ailleurs montré souvent ces limites et ses connivences. Nous ne proclamons pas être meilleurs, mais nous sommes en train d’expérimenter des pistes nouvelles qui essaye de mettre en avant d’avantage l’intelligence collective et connective plutôt que l’intelligence d’un cercle restreint de personnes.

    Oui, vous faites la lecture qui vous convient pour assurer vos arguments. Ce faisant, j’ai déjà l’habitude des rejets d’articles par les rédactions. Et, la plupart du temps, il suffit d’un seul contact pour que, définitivement, on argumente les raisons d’une rejet, à plus forte raison d’une refonte. A plus forte raison quand l’auteur démontre l’erreur grossière.

    Vous êts 1000, dites-vous, vous ne manquez donc pas de personnel motivé !



    Je ne peux pas vous répondre au sujet de votre article refusé ne l’ayant pas lu. Il se peut que les modérateurs n’ont pas perçu que le passage en question était une citation.
    Vous auriez du peut-être les recontacter pour demander des précisions via le formulaire indiqué. On est très prudentssur ces questions de copyright car nous pouvons être attaqués en justice en cas de reproduction d’articles non sourcés (ce qui n’était visiblement pas votre cas). Sinon, je vous rassure aucun modérateur ne peut voir les commentaires des autres justement pour ne pas influencer le vote.

     

    C’est vous qui le dites mais il ya bien quelqu’un qui clique sur la puce rouge ! Il ne vous est pas demandé de lire l’article mais d’être à la hauteur de vos intentions et, parlant plus haut de responsabilité, vous êtes bien en train de dire qu’il est préférable pour vous de protgéger Agoravox, même si cela se fait au détriment de la réputation ou du sentiment d’un auteur. J’avais compris avant ! C’est bien pour cela que j’ai mis l’accent sur la partenariat avec les auteurs, pointant un risque d’instrumentalisation de la plume. C’est pourtant elle qui fera votre notoriété.

    Merci de votre compréhension et mille excuse d’avoir troller votre forum

    Illel Kieser



  • Kieser 27 janvier 2008 09:11

    A ceux qui parlent de "négationnisme" à propos de la pétition contre la prescription, voici la réponse de la Cour Pénale internationale :

    La définition des crimes contre l’humanité et celle des crimes de guerre incluent spécifiquement le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou d’autres formes de violence sexuelle.

    Le droit international humanitaire reconnaît maintenant la violence sexuelle comme un crime violent grave. Cela représente un développement positif du droit qui, pendant trop longtemps, a considéré le viol et toutes autres formes de violence sexuelle, comme quelque chose qui n’arrivait qu’aux femmes et qui n’était qu’une atteinte à leur dignité plutôt qu’à leur corps.

    Sources :

    Rapport final de la Commission des experts des Nations Unies (UNCOE) établie en vertu de la résolution 780 (1992) du Conseil de sécurité, Annex II : Rape and Sexual Assault : A Legal Study S/1994/674/Add. 2 (Vol. I), 28 décembre 1994, p. 5

    Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, cas no IT-96-23-1, 26 juin 1996. Juge Lal C. Vohran.

    Ceci n’est qu’un élément parmi d’autres. Le fléau que constitue l’inceste et les crimes pédosexuels - je ne parle pas de pédocriminalité qui fait la Une des médias, l’espace d’un petit temps avant de passer à autre chose - mais de ces prédations subies régulièrement durant de nombreuses années, leur banalisation, le déni de leur portée constitue le véritable négationnisme dont certains se gaussent sans savoir de quoi ils parlent.

    Enfin ce mal est à ce point répandu que l’on peut parler de fléau...

    A ceux qui demanderont des chiffres, nous répondons qu’il n’y en a pas. Aux USA, a été entrepris la première étude sociale spécifique. Ceci est un des points qui montre le déni social.

    Qu’est-ce qui nous permet donc de dire qu’il s’agit d’un fléau ? En tant qu’acteur de terrain, l’exercice quoitidien depuis de nombreuses décades, permet d’affirmer que l’épidémie est réelle, profonde et catastrophique.

    Pourquoi le déni social ? Parce que ça touche tout le monde, pas seulement les populations de déshérités de nos banlieues comme certains - y compris des pseudo-experts - se plaisent encore à le dire.

    Autre point important : l’existence de véritable réseaux organisés, longtemps niés par des journalistes "spécialisés". Les investigations et enquêtes actuelles donnent du crédit à ce que des acteurs sociaux révélaient déjà il y a plus 20 ans.

    Voir, comme exemple, la révélation d’un réseau au Portugal.
    Exemple qui montre que les autorités internationales ont pris la mesure du problème, mais qu’ils ont un temps de retard sur les prédateurs.

    A ceux qui rétendent que l’augmentation du nombre de vicitmes tient au fait que l’on en parle de plus en plus... On a dit la même chose à propos des femmes battues et on a persisté à se mettre la tête dans le sable !



  • Kieser 25 janvier 2008 18:53

    L’éthique est un bien joli mot, un peu comme épistémologie. Quand on le prononce, ça fait bien ! Mais de là à donner l’exemple... Toi d’abord !

     



  • Kieser 24 janvier 2008 15:34

    Carlo Revelli
    "Et puis le système de modération est fait en telle sorte que plein de modérateurs voient les articles proposés. Potentiellement environ 1.000 rédacteurs ont accès à l’interface avec tous les articles proposés avant publication. Donc s’il y avait une censure réelle, voire même une autocensure sérieuse, cela finirait par se savoir et par se voir."
    Il n’y a pas que les questions de censure qui se posent, il ya celle de la qualité et du savoir faire journalistique. Que vous vous dotiez d’une structure qui corresponde à des nécessités économiques, c’est un impératif que vous devez affronter de toute façon.
    Mais ces contingences ne posent ni ne résolvent la question du savoir faire journalistique. Vous dites : 1000 rédacteurs ont accès à l’interface, etc. Ce chiffre n’est pas un gage de qualité, ni de transparence. Croyez-vous vraiment que vous allez échapper au noyautage, à l’infiltration par quelques raiders solitaires, si vous ne vous dotez pas d’une véritable conférence de rédaction chargée de veiller chaque jour à la cohérence et à l’harmonie des pages quotidiennes. Sans cette veille, AgoraVox deviendra un organe de compilation, une sorte d’annuaire d’articles de tendances variées.

    Par ailleurs, vous raisonnez depuis votre centre, sans à aucun moment vous placer du point de vue de l’auteur. Sans parler d’argent, on peut concevoir, en effet, une forme de bénévolat qui marquerait une adhsion consentie à une forme de bataille pour défendre des idéaux de liberté d’expression. Mais qu’offrez-vous en échange, en qualité d’équipement rédactionnel, comme garantie de préservation d’un esprit journalistique (qui a fait la notoriété de Libération au départ) ?
    Par exemple : depuis quelques semaines sur vos pages un auteur, dont la modestie n’est pas le point fort, publie jusqu’à deux articles par jour. Si on lit soigneusement ses articles, ce sont de bons cours pour une classe de terminale, section technique. Si on approfondit encore un peu, on constate que ses articles sont une sorte de broderie d’autres articles du net à partir de laquelle il ajoute quelques avis personnels sans épaisseur aucune, d’un scolaire applati. En saturant ainsi les rubriques société, tribune libre, Citoyenneté, etc., croyez-vous que le lecteur ne sera pas intrigué, voire choqué par une médiocrité régulièrement affichée ?
    Vous parlez de "Politique éditoriale" dans un autre post, de quoi s’agit-il ? De vos intentions lisibles sur les URL de la colonne de dorite ou de ce qui se fait et s’écrit vraiment ?
    La question des équilibres de tendances se pose ou se posera très vite.
    Autre question concernant des articles de la rubrique Science ..., on y trouvera, aujourd’hui, entre autre, des articles qui ne sont ni une vulgarisation ni même une tentative de présentation d’un fait scientifique. Non, une sorte de glose métaphysico-pscyho-philosophique, pas ce que l’on pourrait attendre d’une rubrique de ce genre.
    Qui contrôle de tels articles ? Comment ? Etes-vous doté d’un comité scientifique qui pourrait au moins juger de la qualité éditoriale, sans juger le fond ? Sur Natura Vox, vous avez laissé passer un article sur la "Psychologie quantique" qui est un modèle de ce qu’il ne faut pas faire, des références fausses, faisant état de pseudo avancées scientifiques récentes alors que, déjà, en 1936 le problème était évoqué. Que la question de la dynamique de la psyché, en relation avec la physique quantique a alimenté des discussions sans fin entre savants illustres au sein de groupes prestigieux et dont l’auteur ignore l’existence.
    Un autre article répond aujourd’hui à cet auteur sur AgoraVox, dans la rubrique sciences sur "la Quantique"... il est de la même trempe et se veut philosophique et il est imbuvable.

    Où est la politique éditoriale. Evoquez le nombre de modérateurs, cela ne fait ni la qualité éditoriale ni une sorte de signature qui serait propre à AgoraVox.
    A l’inverse - je donne mon cas - je propose, lundi, à la publication un article de mon cru qui reprend au rebond une info de 20minute - 280 signes pour un article original de 8000 signes environ, mon article fait, en gros 10 000 signes et dans l’article je cite et donne l’URL de l’article source. Je sais, en l’écrivant, que je suis dans les règles classiques de la citation. (Je suis éditeur depuis plus 20 ans et je fais toujours très attention à ce genre de chose)
    Et je reçois l’annonce de non publication argumentée ainsi : "Certains passages semblent avoir t repris du Soir et de 20 minutes.

    Nous vous encourageons, l’avenir, proposer des articles qui apportent un clairage nouveau, en une construction et un dveloppement personnel."
    (J’ai laissé les fautes du mail original)
    Pour 20minutes, c’est dans mon article avec guilements et URL. Pour Soir, je ne sais pas de quoi il s’agit, ni de quel journal il est question. Où un modérateur a-t-il trouvé cette info, d’autant que je suis connu pour l’originalité de mes articles ? Tout juste, si on fait une recherche avec les mots clefs suivants : kieser, ordre sécurité, va-t-on tombé en première page de Google sur un article du Grand Soir qui ressemble, en effet, à celui que j’avais soumis à la rédaction de AgoraVox. Certaines phrases sont identiques, les tournures verbables étrangement semblables. Un linguiste ne s’y tromperait pas. Sauf que j’en suis l’auteur et il date de 2002. Dans l’article récent, je reprends un développement de manière complètement originale sur la base de deux événement d’actualité.

    Ce n’est pas fini, un article publié aujourd’hui reprend certains de mes termes et un développement proche. Etonnant quand on sait que l’auteur est aussi modérateur.

    Je termine, vous dites, si j’ai bien compris votre info, que mon article est visible par plus de 1000 personnes sur l’interface rédacteur avec la mention : "problème de droit d’auteur", en regard de mon nom...

    En somme, 1000 personnes vont voir que Illel Kieser ’l Baz pompe ses articles. On va rire dans le landerneau.

    Vous parlez d’éthique, de souci d’équité, c’est le moment de montrer votre savoir faire et savoir réparer.
    Je vous prie de noter que je suis habitué à des refus par les rédactions, c’est le quotidien même, j’ai voulu dire ici et souligner l’incohérence qui transparaît, déjà, entre vos idéaux éditoriaux et les moyens dont vous vous dotez pour les mettre en actes.
    La structure juridique n’est rien si, en amont, il n’y a pas de véritable philosophie de l’acte éditorial.
    Merci de votre réponse.

    Ps : il m’a paru important de faire ce commentaire ici, car je ne vois pas où j’aurais pu le faire et exercer un droit de suite.



  • Kieser 21 janvier 2008 15:50

    Bonjour à tous,

    L’affaire dont je vous parlais en début d’articles fait de nombreux remous dans la presse suisse mais aussi dans l’episcopat. Je vous donne, en bref, le communiqué du Matin On Line

    "Nous devons établir un réseau international pour pouvoir mettre en place une véritable entraide judiciaire entre épiscopats au niveau mondial", a dit Nicolas Betticher, l’official de l’Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg, dans les quotidiens "24 Heures" et la "Tribune de Genève" lundi. "Avec l’aide du bras séculier de la justice qui a des moyens que nous n’avons pas."

    Le cas du prêtre pédophile, âgé de 67 ans, est encore confus, a indiqué Walter Müller, porte-parole de la CES sur les ondes de la radio alémanique DRS. Mais l’organisation entend revoir ses directives fixant la ligne à suivre face à un cas de prêtre soupçonné de pédophilie. Les dernières directives avaient été émises en 2002.

    Dimanche et pour la première fois, un membre de la hiérarchie catholique a reconnu la responsabilité de l’Eglise dans l’affaire du prêtre pédophile qui a sévi en Suisse romande à la fin des années 80. Nicolas Betticher, official de l’Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg, parle même de "complicité".

    L’Evêché savait depuis 1989 au moins que le prêtre capucin a violé au moins un enfant, mais n’a jamais dénoncé ces agissements à la justice civile. L’Eglise a préféré déplacer l’abuseur en France, où il est à nouveau passé à l’acte.(Fin de l’article)

    Il est intéressant de remarquer le terme de "complicité" que l’Evêché de Lausanne utilise. Nous sommes bien d’accord et, pour une fois, les choses bougent. Qu’il en soit donné acte. Voilà pour le volet suisse.

     

    Merci les médias !

     

    Maintenant, reste le volet français. Depuis l’article de la Tribune de Lyon qui a conduit le Parquet à ouvrir une enquête, on a appris que le prêtre avait sévi dans des camps de colonies de vacances. C’est à peu près tout.

     

    Demande au Webmaster :supprimer mon commentaire antérieur, conflit de code SPIP.

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