« Votre autodiagnostic « C’est au cours d’un après-midi d’aout que j’ai fait ce que bien des années plus tard j’ai comparé à une NDE » ne vaut rien. » : dites donc vous en savez des choses ! Pourtant, il me semble que la première eds leçons à tirer de l’intérêt que l’on peut porter - de gré ou de force - à des questions et des approches des choses disons « hors normes », c’est l’humilité, lo’ouverture d’esprit, à ce que vit l’autre... Et l’écoute.
Je me demande bien du haut de quelle science - ou des tréfonds de quel orgueil - vous vous permettez d’être aussi catégorique et sans appel. Par ailleurs, je vous trouve bien irrespectueux et bien arrogant.
Vous m’aviez pourtant dans un autre thread prétendu être arabe et aviez poussé des cris de pucelle effarouchée lorsque j’avais osé vous suspecter de racisme envers les arabo-musulmans (une des composantes de ce que l’on retouve chez vous et que le philosophe israélien Leibowitz dénonçait comme étant du « judéo-nazisme »).
« En France, BHL et d’autres plumitifs, de nombreux parlementaires, Kouchner et Cie sont des agents plus ou moins conscients de cette propagande. Le CRIf, l’UPJF et autres associations en sont les agents très actifs, ainsi que de simples quidam qui inondent les forum des médias de commentaires très ciblés contre la moindre critique référecée de la politique israélienne actuelle et passée... »
Je suis étonné à cet égard de n’avoir pas encore vu débarquer mcm/Sophronius ni son acolyte Cosmic Dancer.
Si ce que dit ce scientifique est vrai, affirmer que « croire que le bio a de meilleures valeurs nutritives relève bien du domaine de la religion » est une abbération et une phrase sans fondement porteuse d’obscurantisme. Je serais par ailleurs tenté de dire que c’est une phrase dénuée du minimum de bon sens.
Au moment d’écrire votre article, vous êtes-vous seulement souvenu que vous viviez dans un monde imparfait où tout n’est pas tout rose, où l’appât du gain peut biaiser et fausser même des études « scientifiques » commanditées - directement ou indirectement par le biaise d’oganismes publics sous leur contrôle - par les industriles qui veulent voir leur camelote légitimée par l’autorité de la « science » auprès des consommateurs et que peut-être que les gens qui ont réalisé « l’étude » étaient corruptibles comme (presque) tout le monde ?
Par ailleurs, étant donné que l’on parle d’un mode de consomation qui a des conséquences et des répercussions sur des dizaines d’années - il y a fort à croire que c’est au temps de la gestion pénible et périlleuse de la décomposition générale du corps que sont nos viellesses occidentales que les effets accumulés sur les années d’une bonne ou d’une mauvaise alimentation se font sentir -, je me demande bien sur quelle base une telle étude peut se montrer si catégorique. A-t-elle suivi et étudié des gens qui n’ont jamais autre chose que du bio depuis leur plus tendre enfance et qui ont aujourd’hui passé la cinquantaine pour découvrir qu’ils sont, par exemple, moins sujets à la proliération vertigineuse de cancers - entre autres joyeusetés de santé que notre époque voit exploser - que leurs petits camarades qui n’en ont pas fait de même ? J’en doute fort. Pourtant, c’est probablement en ces termes, entre autres, que se pose le problème.