Jean Lasson

Pour son dernier paragraphe, je dis bravo et merci à l’auteur !

J’ai eu à connaître l’engeance entièrement féminisée dont il parle et je peux témoigner de cette dérive. Les décisions sont rendues « dans l’intérêt des enfants », c’est en tout cas ce qui est écrit dans les jugements, mais en fait elles le sont dans l’intérêt de la mère. Les enfants ne sont que des instruments pour garantir le statut social de celle-ci. Ils sont confiés à la mère pratiquement à chaque fois qu’elle les demande. Les pères qui sont passés par là ne parlent plus de Justice familiale, mais bien plutôt d’Injustice familiale.

Je suis arrivé à la conclusion que cette dérive est voulue, planifiée, assumée dans le but de nous détruire, nous et nos enfants (très juste remarque sur le résultat statistique d’une éducation exclusivement maternelle ; avez-vous une référence sur ce point ?)

Dans les faits, il n’y a plus de justice familiale. Et quand il n’y a plus de justice, il est bien connu qu’on se fait justice soi-même. Cela va arriver de plus en plus souvent...

Pompidou était un traître, le premier d’une trop longue série. Un lâche aussi qui a attendu que de Gaulle fût mort pour perpétrer ses deux principales trahisons : la loi Pompidou-Giscard et l’entrée de la GB dans la communauté européenne.

Cet article est une provocation. Je ne lirai plus jamais cet auteur, lequel aurait plus sa place dans les médias de l’oligarchie que sur AgoraVox.

J’ai vu, sur AV, l’intégralité du « débat », qui ressemblait plus à un interrogatoire de garde à vue qu’à une interview (« vous mentez » ne cessait de répéter Laurent Mouchard, alias Joffrin). Et, vu l’agressivité et même la haine qui suintait de ces deux personnages, je me suis demandé quelle pouvait bien être la raison d’une telle fébrilité... Deux hypothèses :

1) un sondage, non publié bien sûr, donnerait MLP gagnante. Dans ce cas, ces deux « journalistes » savent qu’ils vont perdre leurs privilèges dans pas longtemps et cette perspective les rend nerveux...

2) Ils étaient en mission pour descendre MLP et l’oligarchie les avait mis sous pression (« Vous devez avoir sa peau, ou sinon nous ne donnons pas cher de la votre »)...

Manifestement, ils cherchaient un « échec et mat » sans en avoir les moyens.

MLP mérite un bravo pour avoir fait face à ce guet-apens sans nervosité.

Concernant le recrutement par l’armée de jeunes issus de l’émigration, je peux apporter le témoignage suivant.

Il y a deux ans, j’ai connu professionnellement une jeune femme d’origine algérienne (par ses deux parents), à la fois extrêmement drôle et dynamique. Une personne que j’appréciais beaucoup. Celle-ci effectuait un stage dans un laboratoire de recherche. Avant la fin de ce stage, elle décida subitement de passer les concours pour entrer dans l’armée comme officier. Elle en avait la capacité et fut recrutée. Lors d’une de nos dernières rencontres, pour la « chambrer », j’évoquais les « délices » d’une mission en Afghanistan. Elle me répondis qu’elle n’irait pas dans ce pays parce que la règle dans l’armée française est de ne pas envoyer les personnels d’origine musulmane sur les théâtres d’opérations musulmans !

Règle choquante et discriminatoire qui, à elle seule, malheureusement, justifie la phrase incriminée dans le programme du FN.

PS-1 : j’ignore si cette jeune femme se considérait elle-même comme musulmane.
PS-2 : je suis opposé à toutes les guerres dans lesquelles la France a été engagée par Chirac et Sarkozy (Afghanistan, Côte d’Ivoire et Libye).

@ Redrogers,

"Effectivement, la vapeur d’eau est un puissant gaz à effet de serre mais tu oublies de préciser que sa durée de résidence dans l’atmosphère est extrêmement courte par rapport à du CO2 (quelques jours contre une centaine d’années...)."

Il ne faut pas dire ça, parce que c’est tout simplement faux. C’est un énorme bidonnage du GIEC. Les études (et il y en a eu beaucoup) montrent que la demi-vie(*) du CO2 dans l’atmosphère est d’environ 7 ans (moyenne de 40 études) et non 100 ou 200 ans comme l’affirme - sans aucune démonstration - le GIEC dans son rapport de 2007 (AR4).

(*) La demi-vie est le temps au bout duquel la moitié d’une substance (ou son activité) a disparu.