Scientifique, créateur d’entreprises. Observateur de la res publica depuis de nombreuses années, de plus en plus concerné et préoccupé par la tournure des évènements.
J’oubliais : en tout premier lieu, confisquer tous les médias aux mains des barons du système (TV, radios, journaux), pour les organiser ensuite en coopératives de journalistes et d’usagers. Sans oublier de se débarrasser des journalistes, présentateurs, « experts » et « intellectuels » corrompus, prostitués et complices.
A mon avis, les banques d’abord, ce sont les plus toxiques, les plus dangereuses.
Après, presque tout le reste du CAC40 devrait y passer, à l’exception de l’Oréal et des constructeurs automobiles peut-être. Toutes les « délégations de service public » devraient également être dénoncées (eau, autoroutes, parkings, licences de téléphonie, énergies, liaisons maritimes, etc.), quitte à laisser ensuite certains secteurs non stratégiques à une *vraie* concurrence entre sociétés privées plus nombreuses et de plus petite taille.
Je vous réponds ici aussi, comme sur l’autre article :
D’accord à 100 %, c’est le cœur même de l’entreprise d’asservissement
de l’Empire. Et qui, aujourd’hui, propose justement cette indispensable
réforme monétaire ? Je ne connais qu’un seul parti qui l’ait inscrit
dans son programme : le FN avec Marine Le Pen...
Ai-je tort de penser que ça ne doit pas vous plaire ?
"[...] votons en masse, aux législatives, pour les partis ayant inscrit dans
leur programme LA mesure vitale, essentielle, urgente ; la SEULE
capable de changer la donne ; l’indispensable REFORME MONÉTAIRE,qui supprimera le pouvoir de prédation, de mise à sac et de privatisation du monde par les mafias financières. "
D’accord à 100 %, c’est le cœur même de l’entreprise d’asservissement de l’Empire. Et qui, aujourd’hui, propose justement cette indispensable réforme monétaire ? Je ne connais qu’un seul parti qui l’ait inscrit dans son programme : le FN avec Marine Le Pen...
Ai-je tort de penser que ça ne doit pas vous plaire ?
Cela me fait penser à la fameuse blague de Brecht : « Le gouvernement est mécontent du peuple et a décidé d’en changer. »
En 1981, alors que je me réjouissais de la victoire de François Mitterrand, un ancien militant du PC m’a calmé : Les socialistes, nous on les appelait les sociaux-traîtres me dit-il. Je suis bien obligé, aujourd’hui, de reconnaître que ce n’était pas sans raison...
Le PS est en route vers les poubelles de l’Histoire. Souhaitons lui bon voyage !