Opportuniste, Bayrou l’a été. A la présidentielle de 1995, il passe avec beaucoup d’opportunisme d’un soutien à Balladur au gouvernement Juppé du nouveau président Chirac qu’il combattait quelques semaines plus tôt.
Opportuniste, il l’est toujours. Il court après De Villepin et les Villepinistes après avoir voté la censure contre le gouvernement De Villepin (pour le motif pour le moins flou de l’affaire Clearsream)
Et c’est justement par opportunisme qu’il a refusé la main tendu de Royal pour mieux pouvoir monnayer ses voix au second tour des régionales au plus offrant.