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Derniers commentaires



  • jocegaly 12 août 2008 14:03

    Mettre en pâture des émotions est une recette qui n’a jamais cessé de marcher.

    - Pendant les vacances, où chacun se consacrant à une tâche de re-création (de ses forces) et de distraction est enclin à ne lire que des titres d’articles et se trouve donc peu enclin à faire la fine bouche sur le contenu "informatif"

    - Pendant les périodes de travail aussi, ou il faut trouver le temps de chercher l’info fiable, et pour cela, examiner différentes presses traitant du même évènement... Quoiqu’il y ait - ce n’est pas récent - une propension grandissante des journaleux à copier-coller le texte des voisins...
    Le pluralisme sera bientôt un souvenir ;

    Bien entendu, nous n’aborderons pas ici le sujet des informations non diffusées... ou des "informations" diffusées sur commande...



  • jocegaly 4 juillet 2008 15:03

    ... ceci indique tout de même que NS commence un peu à prendre la mesure de l’inutilité de certaines gesticulations , ce que n’a pas encore compris l’ineffable Kouchner, tentant tant bien que mal de vibrionner devant le micro , et dès sa descente de l’avion... smiley.

    Un petit mot sur l’expression de S Royal ("N Sarkozy n’est absolument pour rien dans la libération...") : difficilement contestable. Même si elle n’explique pas cette position dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle est claire, à défaut d’être expliquée ... sinon par une presse LIBRE (cf : MEDIAPART)



  • jocegaly 4 juillet 2008 14:56

    Oui,Paul Villach, nous sommes quelques uns à ne pas nous être laissés abuser par les échos d’une certaine presse ...
    La lucidité d’Ingrid Betancourt ne semble pas entamée par son long calvaire : cette femme a une énergie et une résistance hors normes.
    Sans être partial, nous pouvons raisonnablement reconnaitre que la pression exercée par tous les mouvements et groupements pour réclamer sa libération, ont pu décourager les FARC , mais la médiatisation apportée par NS (moins discret que Villepîn) pouvait risquer - ce qui a sans doute été le cas - de retarder sa libération. 
    Ceci dit je suis persuadée qu’il n’a pas fait ça pour lui nuire... mais pour se servir, lui, au passage smiley


    Pour ceux qui sont intéressés par l’historique des faits, et détails de cette affaire : http://blogdejocelyne.canalblog.com/archives/2008/07/04/9810639.html
    NB : Je précise que ces textes sont issus de MADIAPART, et ne constituent qu’une partie des analyses que cette presse a consacrées à cette affaire.



  • jocegaly 5 mars 2008 18:28

     

    Ah, cher Paul,  je ne mets en cause aucun blasphème. Seulement une démarche de pensée, un instant. Si j’ai bien compris, votre petite observation fait suite à une expérience vécue, désagréablement édifiante, à partir d’une expérience particulière.

     Je me garderai de la contester, tant je suis persuadée que l’expérience vécue vaut tous les discours cœur sur la main, qui nous sont servis au quotidien.

     

     Il reste cette généralisation des conclusions, qui me semble très gênante pour quelqu’un (comme vous, ou comme moi… et d’autres, nombreux je l’espère) qui ne veulent  pas se laisser enrober par des discours manipulateurs et falsificateurs.

     

    Pour en revenir ce "référentiel bondissant" des années 1983 ou 84 : J’étais sur le lieu de son émergence et en connais l’auteur : Que  n’a-t-il fait jaser, ce "référentiel bondissant" surtout parmi mes collègues  professeurs d’EPS qui en ont été les premiers informés… nommer "référentiel bondissant" un joyeux ballon qui ne demandait rien,  a rafraîchi quelques esprits sur les limites d’une littérature novatrice consacrée à l’éducation physique et à sa didactique… Il a été mis un frein à cette tentative de langage de "spécialiste introduit" très tôt, rassurez vous.

    Le sujet est depuis longtemps périmé, mais quelques uns s’en souviennent encore, pour sourire (il y a de quoi d’ailleurs !!!)

     

    Vous ajoutez que "les profs d’EPS ne trouvent / ne trouvaient pas dans leurs fonctions une reconnaissance attendue" ? Je ne m’attarderai pas, car je ne pratique pas la lecture de pensée.

     

    "Egalitarisme généreux, mais utopique" ? Entre les vertus des diverses disciplines ? Je ne peux vous répondre, le  seul domaine de réflexion – et de jugement porté sur un enseignant - auquel je suis attachée est "l’acte", sur le terrain (c’est-à-dire dans la classe, au contact des élèves auxquels sont présentés un objet d’apprentissage.), et dans l’équipe pédagogique (c’est-à-dire l’équipe qui a en charge un certain nombre de classes)

     

    "Le nombre de postes de direction pour lesquels des enseignants  d’EPS" ont été jugés plus compétents que d’autres candidats ?  Je ne sais pas. Ceci appartient à toutes les commissions académiques qui ont émis ces décisions. J’ose penser qu’elles étaient fondées dans la majeure partie des cas.



  • jocegaly 5 mars 2008 15:57

     

    Cher Paul Villach,

     La démonstration offerte par ce article serait plutôt très bonne s’il n’y avait ceci : "... Il est vrai que la proviseur était une ancienne prof d’EPS ! "

    J’ai cru sentir mépris dans cette courte formule ! Quelle généralisation hâtive aussi ! Et vous savez, Paul, combien les généralisations peuvent être absurdes ! Je juge ce procédé - facile et mesquin - indigne de vous... Car le mépris, pour être raisonnable, pertinent doit s’adresser aux personnes, à leur manière incompétente au regard des exigences "hic et nunc"de remplir leur fonction et pas à leur fonction qu’ils occupent.

    Je dis "hic et nunc" car pour avoir exercé dans diverses sorte d’établissement (en milieu ouvrier, en région agricole, en zone urbaine difficile ,  (11 ans de ZEP, dont les "Minguettes" en 1981), et en quartier très "favorisé"  … en collège, en lycée professionnel… en formation d’adultes aussi…   j’ai constaté que mon métier ne requerrait pas les mêmes compétences selon le milieu d’exercice.

    Mais puisque le sujet de cet épisode d’enseignante me semble lié au thème "public difficile", j’ajoute que j’ai remarqué divers types d’enseignants en ces lieus dits "Z.E.P" :

    - ceux qui arrivent, et qui découvrant une réalité qu’ils n’imaginaient pas (elle est en général très peu connue, et paradoxalement, les doctes personnes qui en parlent le plus sont celles qui ne l’ont jamais vue) s’accrochent, communiquent avec leurs collègues et font équipe pour concevoir et mettre en œuvre ce que l’on appelle "projet pédagogique", dont les bases sont bien sûr les réalités observées, liées aux caractéristiques socioprofessionnelles de la zone de recrutement d’élèves.

    - ceux qui arrivent persuadés que la matière qu’ils enseignent suffit en soi à obtenir l’attention des "enseignés" , et que les contenus et le planning élaboré dans les bureaux  de l’éducation Nationale, peut être transvasé tel que prévu , avec le minutage prévu dans les intérieurs de nos chères têtes blondes ou brunes…

     

    Par ailleurs,  à propos d’une certaine catégorisation (en degré d’idiotie) des enseignants, par discipline, je vous avouerai qu’en 38 ans d’enseignement j’ai constaté qu’il y avait des abrutis (irresponsables, incompétents dans leur fonction) dans toutes les disciplines enseignées, et aussi parmi  les chefs d’établissement, comme celui qui par exemple, principal du collège des Minguettes où je me trouvais, qui avait obtenu une dispense pour habiter chez lui -Croix Rousse à Lyon, un lieu très calme - , ne traversait jamais la cour de récréation pendant les interclasses, et baissait la notre administrative d’une prof (moi) parce qu’elle avait été absente pour se faire enlever un ménisque… ce qui arrive à beaucoup de ceux qui enseignent la même discipline que moi… Je ne sais même plus si c’était un prof de Math ou de Sciences de la Vie et de la Terre… mais cela n’a aucune importance

    Mais nous, nous avons eu de la chance, il a été mis à la retraite par l’inspection régionale avant l’heure, et remplacé (avantageusement).

    Bien cordialement.

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