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Johan

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Dans l'éducation. Diplômé en Droit des Affaires et en Métiers de l'éducation et de la Formation, ancien animateur (centres aérés et colonies de vacances).
Très curieux, passionné. Aimerait promouvoir l'esprit critique et la réflexion via des médias citoyens comme Agora, et développer une vie étudiante moins superficielle par un engagement associatif.

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  • Premier article le 21/04/2006
  • Modérateur depuis le 19/06/2006
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Derniers commentaires



  • Johan Johan 18 janvier 2007 13:56

    Merci Séverine de recentrer le débat.

    Je suis tout à fait d’accord avec toi. Les Femmes ont la conscience que laisser la possibilité de s’épanouir entièrement, et pas uniquement en tant que mère, est indispensable.

    Nous allons voir bientôt si les femmes seront une fois aux postes clés plus ouvertes d’esprit que les hommes, ou si la reproduction sociale aura été trop efficace.



  • Johan Johan 18 janvier 2007 13:54

    Merci Armand, c’est un commentaire très pertinent même si on s’éloigne un peu du féminisme.

    Je repense à « Il était un fois dans le Bronx » en relisant ton commentaire. Le fils de De Niro (qui joue un conducteur de bus) est fasciné par Sonny, le mafieux du quartier.

    Je crois qu’il y a un tel fossé entre la façon dont ces jeunes idéalisent leur vie, et leur échec quotidien à goûter aux fruits qui leur sont proposé qu’on assiste a des rejets en bloc. Que les parents n’offrent pas à la réussite scolaire tous les moyens pèse également mais aujourd’hui on assiste au paradoxe d’Anderson : les études sont moins valorisées que le capital social, ce qui fait que la mobilité sociale stagne ou recule. Ce n’est pas non plus très encourageant.

    Il y a également le besoin immédiat de sécurité qui n’est pas assurée par l’école et qui l’en éloigne. C’est la pyramide de Maslow : impossible de penser au différé si on a pas l’immédiat.



  • Johan Johan 17 janvier 2007 19:05

    Le site Classactions.fr est contre productif : il donne l’impression qu’un mécanisme efficace existe déjà quand l’action en représentation conjointe est intrinsèquement inoffensive.

    12500 dossiers ont été portés par l’UFC dans le cartel des mobiles, les sources sont ici.

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=16700

    Par ailleurs, la question n’est pas de savoir si le projet sera mené à terme, mais si l’on a pas déjà édenté le tigre.

    Selon les meilleurs analystes, le projet actuel n’a de la class action que le nom, et le MEDEF et la CGPME ne protestent hypocrytement que pour obtenir des compensations indues.

    C’est simple, nous pratiquons depuis fort longtemps en France un dumping judiciaire : il est impossible que les consommateurs fassent valoir leurs droits.

    Aux Etats Unis, 4% du PIB part en class action (à tempérer, aux USA les dommages intérêts punitifs s’ajoutent aux dommages intérêts compensatoires, et le jury fixe leur montant). Heureusement que depuis le « Unsafe at any speed » de R. Nader, les choses ont évolué !



  • Johan Johan 16 janvier 2007 10:54

    Bill,

    En effet, beaucoup se prennent déjà en main. Comme tu dis, le principal est qu’elles puissent évoluer. Aujourd’hui les sacrifices sont très importants ; et plus la mobilité sociale est faible, plus ces sacrifices sont conséquents. La plupart du temps, l’accomplissement dans un aspect de sa vie (professionnelle, religieuse, amoureuse, familiale) se fait au détriment des autres.

    Cet article se finit précisément par la question suivante : maintenant que les femmes vont avoir la majorité des postes de décideurs, ce qui au vu de leurs résultats dans les études ça ne saurait tarder, vont elles teindre la société de féminité, ou simplement maintenir une pression pour leur accession et leur maintien au sommet de la société ?

    C’est en celà que le féminisme devrait selon moi être repensé : d’un féminisme de combat pour la mixité (voire la prépondérence), à un féminisme de promotion des valeurs féminines, conscient et favorable à un accomplissement complet de l’individu, qu’il fut homme ou femme, sans devoir sacrifier pour une réussite une facette de sa vie.

    La place des femmes dans les mouvements sociaux (comme l’an dernier pour le CPE), a montré que les femmes sont probablement plus réalistes quand à l’approche de la compétition, quant au besoin de sécurité dans son emploi. Peut être est ce là un signe que les Femmes vont remettre au goût du jour la nécessité de pouvoir choisir sa vie, non seulement du point de vue de l’action politique, mais surtout en ravivant cette aspiration chez les citoyens.

    Sinon je suis d’accord : pour ce qui est de l’accession au plus hautes sphères, le mouvement est suffisamment lancé.



  • Johan Johan 16 janvier 2007 10:24

    L’inflation du Zimbabwé vient en particulier d’une spéculation à outrance qui a crée une bulle en $ sur l’immobilier (en France, cette bulle spéculative sur l’immobilier n’est pas incomparativement plus rentable qu’un investissement « productif », et elle ne se fait pas dans une autre monnaie).

    C’est quasiment le seul investissement rentable au Zimbabwé, donc tout le monde veut des $ et délaisse la monnaie nationale.

    Le président de la banque centrale n’y peut pas grand chose. Le gouvernement, lui pourrait soit abandonner sa monnaie, soit l’arrimer au $ (avec le risque d’une explosion comme en Argentine), soit rendre l’économie locale comparativement attirante par rapport aux investissements en $. Pour ce il faudrait avant tout limiter la spéculation.

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