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John Lloyds

John Lloyds

Enfant gâté remonté des limbes et destiné au purgatoire, le cauchemar des égarés chus dans le temps linéaire. Version vénéneuse de la materia prima, je suis celui sur lequel l’oeuvre repose dans son entier.

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  • Premier article le 31/10/2008
  • Modérateur depuis le 12/11/2008
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Derniers commentaires



  • John Lloyds John Lloyds 29 mars 2010 12:00

    L’école d’Alexandrie restera le dernier endroit de convergence multiculturel de l’antiquité, après quoi l’église catholique posera sur l’occident une chape d’obscurantisme pendant plus de 15 siècles.

    Il ne faut pas croire pour autant que le sport de l’incendie des bibliothèques est terminé. En 1900, c’est bel et bien la France, en coopération avec l’Angleterre et l’Autriche-Hongrie, qui a incendié la bibliothèque de Pékin, causant une perte de savoirs inestimables. Au milieu du XX°, ce sont les nazis qui brûlèrent des millions de livres. Il est à mon sens loin d’être exclu que, en cas de changements politiques majeurs, ce sport ignoble ne se poursuive.

    Merci à l’auteur pour cet excellent article.



  • John Lloyds John Lloyds 26 mars 2010 20:34

    CC sur un fil des trolls à Momo ? smiley  smiley  smiley Si j’avais le temps de chercher, j’irais voir juste pour rire smiley



  • John Lloyds John Lloyds 26 mars 2010 11:21

    J’étais pas beaucoup là cette semaine, donne moi le lien, j’irai voir ce soir, faut que je me sauve là

    A+



  • John Lloyds John Lloyds 26 mars 2010 11:13

    Tant qu’ils trouvent des cons pour acheter leurs dettes ... Le problème, c’est qu’ils se rachètent les dettes entre eux, le pompon allant à la Fed qui a pratiqué le tour de force de se racheter la dette à elle-même. Mais cette cavalerie bancaire appliquée aux états ne saurait durer longtemps, car ce qui alimentait ce principe, l’économie réelle, n’existe plus. En clair, la pompe tourne à vide, le premier qui lâchera la barbichette du voisin engragera l’effet domino. L’affaire se règlera sur le terrain géo-politique, les états-unis étant condamnés à étendre leur hégémonie pour se financer, ce qui finira, un jour ou l’autre, par se heurter aux intérêts économiques des BRIC. Et les récents différents entre la Chine et les états-unis montrent que ce jour n’est pas loin.



  • John Lloyds John Lloyds 26 mars 2010 11:01

    René Guénon l’avait fort bien expliqué : une civilisation dans le « règne de la quantité » ne peut que sombrer dans le mécanisme aveugle et froid qui lui fait perdre non seulement toute notion de sacré, mais aussi la raison même de son existence. Ses écrits prennent aujourd’hui tout leur sens, la course aux chiffres nous a mené à cette immense pyramide de Ponzi qui, lorsqu’elle s’effondrera, entraînera chaos et désolation. L’ordre naturel montre une fois de plus qu’il est très bien fait : une civilisation qui a oublié pourquoi elle existe n’est destinée qu’à l’auto-destruction par simple principe d’immanence.

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