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John Lloyds

John Lloyds

Enfant gâté remonté des limbes et destiné au purgatoire, le cauchemar des égarés chus dans le temps linéaire. Version vénéneuse de la materia prima, je suis celui sur lequel l’oeuvre repose dans son entier.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/10/2008
  • Modérateur depuis le 12/11/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • John Lloyds John Lloyds 26 mars 2010 10:25

    « les populations Occidentales, ayant suffisamment souffert et n’étant plus disposées à endurer davantage de sacrifices »

    C’est pourtant bien elles qui vont payer la facture, enfin tout au moins l’échéance immédiate, la facture totale, étant devenue bien trop élevée, finira par être absorbée par l’hyperinflation ou une guerre.

    Dans l’attente de la solution apocalyptique ; hausse des produits de consommation courante (ça vient de commencer avec le gaz), hausses fiscales, coupes budgétaires aux conséquences sociales désastreuses, gel des crédits torpillant l’économie réelle et générant un chômage exponentiel, le citoyen lamda va se retrouver lentement écrasé sous le rouleau compresseur de politiques qui auront beau jeu de se planquer derrière le pretexte de la crise (qu’ils ont, comble de tout, eux-mêmes créée).

    Pourquoi ne prendraient-ils pas leur temps à discutailler le bout de gras ? A la tête des états, ils pètent dans la soie et disposent de tout leur temps, alors qu’en bas de l’échelle, on compte les pièces jaunes pour finir le mois, quand on ne se suicide pas. Voilà pourquoi les choses traînent : c’est le citoyen qui paye, il n’ y a donc aucune raison de se presser.



  • John Lloyds John Lloyds 22 mars 2010 13:07

    « On peut dire que j’ai fait mouche... ils sont tous là »

    Ben si vous n’avez que ça à dire sur votre première intervention en regard des nombreux posts bien étayés qui s’opposent à votre article, c’est vous qui pour l’instant faites office de troll. Un comble après votre article smiley



  • John Lloyds John Lloyds 22 mars 2010 11:29

    "Il me semble que vous évitez d’aborder le sujet de fond : l’abondance d’insultes, de réglements de comptes personnels et d’expressions injurieuses ou diffamatoires"

    J’en ai parlé et vous venez vous-même de régler le problème en 2 lignes : l’abondance d’insultes, de réglements de comptes personnels et d’expressions injurieuses ou diffamatoires, cest de l’abondance d’insultes, de réglements de comptes personnels et d’expressions injurieuses ou diffamatoires, pas du troll.



  • John Lloyds John Lloyds 22 mars 2010 11:05

    Il y a quelques temps, un auteur nous avait sorti un très mauvais article sur le sujet, disant en substance que sous prétexte qu’il ne pouvait pas imaginer des moyens de voyager à très grande distance, ceux-ci ne pouvaient pas exister. Le présent article est beaucoup mieux pensé, car essentiellement fondé sur l’interrogation.

    Les récentes découvertes sur la structure de l’univers, même si elles ne sont que d’ordre mathématique, nous renvoient à notre humilité et notre taille nanométrique, en terme de connaissances. AU XX° siècle, Einstein avait déjà découvert que le temps, intrinsèquement lié à l’espace, avait une forme.

    Aujourd’hui, Hawking s’interroge sur le voyage dans le temps et reste sans réponse. Il faudrait disposer d’une énergie négative, dit-il. Au voisinage de 2 cordes cosmiques se croisant à une vitesse proche de la lumière, un voyageur pourrait arriver chez lui avant d’être parti. Certaines hypothèses assez inattendues apparaissent comme corollaire à la théorie des boucles temporelles, relativement aux particules : « Ce serait comme dans le film Un jour sans fin où un journaliste est contraint de revivre sans cesse la même journée ».

    Personne ne sait ce que seront nos connaissances dans 100.000 ans, si on existe toujours. Donc oui, il n’est pas impossible que des civilisations très avancées viennent jeter un coup d’oeil sur Terre. D’un autre côté, avez-vous déjà essayé de parler à un insecte ? Moi non. Du coup, je ne suis pas sûr que d’éventuels E.T. aient grand chose à nous dire. Peut-être même sommes-nous pour eux ce que les rats sont pour le CNRS. Il faut savoir humilité garder, l’univers n’est pas anthropo-centrique. Merci à l’auteur pour ce bon article.



  • John Lloyds John Lloyds 22 mars 2010 10:28

    Analyse amha hautement simpliste, inutilement anxiogène, et surtout soucieuse d’arranger la forme au détriment du fond. Les jours des under-trolls comptés, nous dit l’auteur ? Ça m’étonnerait fortement, et j’irais même jusqu’à dire que c’est fort peu souhaitable.

    Déjà, le terme « Troll » a été totalement galvaudé pour devenir une sorte de fourre-tout désignant en gros tout ce qui n’est pas politiquement correct. Le problème ne se résout pas en 3 coups de cuillères à pot, comme voudrait nous le faire croire l’auteur, car entre une modération stalinienne amenant un forum convenu et rose-bonbon, et une modération passoire autorisant l’usage de procédés orduriers, il doit exiter un million de nuances ; si un site avait trouvé le bon équilibre, à supposer qu’il existe, ça se saurait. Je reste d’ailleurs persuadé que la solution est définie implicitement par la politique du site relative au clientélisme recherché

    Les trolls, au sens où l’auteur l’entend, ou tout au moins une bonne partie d’entre eux, sont des éléments de vie essentiels à la vie d’un forum, par exemple (non exhaustif) :

    -  Le troll comique qui balance des vannes à longueur de post, même lourdingues, même avec un rapport discutable avec le sujet, apporte l’aération qui évite de sombrer dans un académisme rigoriste et froid.

    -  Le troll de chapelle, qui défend sa paroisse et promeut grassement son bénitier, a droit de cité, même avec ses gros sabots bouseux.

    -  Le troll fouille-merde, ergotant, fouinant avec son gros blaire, aux basques d’auteurs ciblés en leur flairant le cul à chaque apparition, émet implicitement des sommations aux rédacteurs à parfaire leurs écrits.

    -  Le troll ange-gardien, ou troll anti-troll, qui viendra assister les nouveaux-venus trop timides ou pas encore aguerris aux techniques martiales de l’arène, assure le renouvellement du terreau.  Les débats, quoi qu’on en pense, resteront toujours des joutes d’autant plus violentes que le sujet est sensible, il suffit d’imaginer une authentique confrontation de 3h sur le 11 septembre après le JT de TF1 pour se convaincre que la foire d’empoignes est inévitable sur certains sujets.

    Contrairement à ce que pense l’auteur, un bon troll est très souvent une personne d’une grande intelligence, le trollage pouvant même être considéré comme l’expression artistique d’un don, figé dans un style. Evidemment qu’il y a des limites à ne pas dépasser : la diffamation, la calomnie. Le danger est là, certains trolls, ceux de petite envergure, incapables de se contrôler, les petites ordures de service, franchissent la ligne jaune et en viennent à appliquer des principes dignes de la Stasi, engrangeant une escalade dont on sait où elle a commencé mais dont on ne sait jamais où elle va finir.

    Mais en quoi l’auteur se prétend-elle juge à estimer, pour reprendre ses termes, « un discours cohérent », propre à « élever le débat » ? Dans un système de débat démocratique, c’est à l’ensemble des lecteurs à juger si une intervention est pertinente ou non, entre dans la catégorie « troll » ou non. Si ce jugement devait être l’apanage d’une seule personne, on aurait déjà un pas dans la dictature de la pensée. Ce pourquoi le système actuel d’AV de vote collectif négatif me semble aller dans le bon sens : c’est l’auditoire qui dit « cette intervention est un troll ».

    Pister les auteurs par le contrôle social ? Mais quelle régression ! Quel commencement de dictature ! Madame Anger-de-Friberg promotrice d’un web orwellien, qui l’eût cru ? Je croyais que c’étaient les idées qui vous intéressaient, pas les auteurs ? D’un côté vous proscrivez les attaques ad hominem, et de l’autre vous proposez le ciblage ad hominem de la pensée. Contrairement à vous, je pense que connaître la profondeur de la pensée d’un intervenant – et seul l’anonymat le permet – reste le seul moyen de sonder les profondeurs d’une problématique. Sinon, on se raconte des histoires.

    Personnellement, je n’irai jamais mettre les pieds dans des forums politiquement corrects, convenus, suintant la pensée conventionnelle à la BHL, la pensée propre sur soi et présentable, au service d’un simulacre de débat. Triste et stérile. Je préfère un bon panier de crabes bourré de barges, de déjantés, de provocateurs, de décalés, de singularités, un bouillon de culture nettement plus susceptible d’abriter du génie et d’amener l’ambiance du petit village gaulois qui résiste à Rome, à se taper sur la gueule avec du poisson pourri puis se vider des bières. Kafka, Joyce, Baudelaire, Edern-Hallier, Céline, Nietzsche, Cioran, Orwell, s’ils pouvaient naviguer sur nos forums actuels, auraient été des trolls.

    De l’autoritarisme de la pensée, voilà ce que vous faîtes, Mme Anger-de-Friberg, et outre l’electro-encéphalogramme plat qu’on peut en attendre, vous êtes un véritable danger pour la fécondité intellectuelle, qui nécessite de l’exogamie et non de la fausse cordialité.

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