A lire la majorité des« posts », cela ne saute pas aux yeux ; en outre je trouve que vous avez une très haute opinion de vous même .
Je n’ai pas parlé d’une majorité de gens intelligents, pas plus que je n’ai pas parlé de moi...
Je vous concède néanmoins que je m’estime suffisamment malin pour éventer sans difficulté particulière la propagande d’imhotep, mais je ne vois pas non plus en quoi cela ferait de moi un génie.
Peut - être aurais je du préciser « plus intelligents que vous » ?
Rapporter le nombre de votants au corps électoral est une stupidité.
Dire des stupidités comme le font Copé et Morano est une chose, les répéter bêtement en est une autre, je vous laisse deviner le qualificatif auquel je pense.
Votre billet est teinté de mauvaise foi du début à la fin, mais on ne peut pas dire que ça soit surprenant de votre part, votre manque d’objectivité n’est pas une erreur ponctuelle, ce n’est même plus une fâcheuse habitude, c’est un leitmotiv pathologique.
Si on voulait être objectif, on comparerait effectivement ce nombre au nombre de voix socialistes au premier tour de la présidentielle 2007, mais en faisant le bon calcul, avec les bons chiffres... Ce que vous ne faites pas, baragouinant autour d’une base plus large que celle du P.S... en la majorant d’un coup de baguette magique de 50%, la faisant passer de 9.5 millions à plus de 13 millions...
Déja que vous évoquer 2 millions de votants alors qu’en fait c’est 2,5 millions, ça commence à puer le trucage grossier.
Faut oser, y’a des gens intelligents, ici, Mr imhotep, ça a l’air de vous échapper, comme tout le reste, d’ailleurs.
Il aurait été plus honnête de dire que par rapport au premier tour 2007, concernant les électeurs socialistes, une fourchette de 1 sur 4 à 1 sur 5 s’est déplacé pour ces primaires.
Présenté comme ça, ça a plus de gueule, c’est sûr. (Mais à la base, c’était votre argument, hein)
1/4, même 1/5, 2,5 millions de personnes, ce n’est pas si mal, je trouve, pour une première de surcroit.
Moi, cette démocratie là, je m’en contente.
Vous tendez naïvement un gourdin pour vous faire battre ? C’est fort aimable, je le saisis avec joie (non dissimulée), et puisque vous titrez « triple échec des primaires », je vous décore du titre honorifique de triple buse.
Toutefois, j’aimerais que l’on m’indique quelle marque de matériel informatique a été plus honnête en terme d’impact social pour les ouvriers des usines.
Même question pour l’empreinte écologique et CO2. »
Jolie tentative de désamorçage.
Pour répondre à votre question, sur le plan écologique : Apple étant régulièrement mal classé sur ce plan là, vous pouvez donc choisir n’importe quel constructeur ou presque. Citons Nokia, Sony Ericsson, Philips, HP, Samsung, Motorola, Panasonic, Sony, Dell classés devant Apple (4.9/10) par Greenpeace en 2010. Notons qu’Apple a beaucoup travaillé pour mieux figurer dans ce classement et a dépassé certains de ses camarades depuis la première édition de 2006. Faut dire qu’ils partaient bon derniers (2,6 / 10). On pourrait citer un autre projet, le CDP Global 500, malheureusement Apple n’a pas jugé utile d’y participer, à l’instar de 3000 grandes entreprises. Ca la fout un peu mal pour la plus grosse capitalisation boursière du secteur informatique :/, l’année prochaine, peut-être, quand ils auront bien étudié le cahier des charges ^^.
Pour la question sociale, on parle essentiellement de Foxconn, je crois... et des vagues de suicide ? Mais là aussi, Apple a aussi su très bien réagir en installant des filets anti suicide, saluons l’initiative. Plus sérieusement, on peut aussi arrêter l’hypocrisie : Foxconn a pour seul et unique client Apple, leurs chaines de fabrication obéissent un cahier des charges fournis par Apple. Ca fait un peu filiale déguisée, voire usine délocalisée qui ne doit surtout pas s’appeler Apple vu les conditions qui y règnent.
« Certains de vous parlent de »secte mac« , avec cette connotation hargneuse de ceux qui sont passés à côté de quelque chose, sans savoir de quoi »
Je parle de secte, sans hargne, et sans avoir cette impression d’être passé à coté de quelque chose que, je vous contredis, j’ai eu très largement l’occasion, génération après génération, de manipuler, d’utiliser, de tester, de comparer et même de vendre.
Que mon discours rétablisse une vérité qui vous déplaise ne change rien à la réalité. Inutile d’ajouter le ridicule à l’émotion surjouée .
Vous vous définissez comme une matheuse perdue dans le monde du PC... C’est éloquent.
Peut être devriez vous plus simplement réviser à la baisse cette modeste opinion que vous avez de vous-même ?
Cela vous rendrait plus logique avec vous-même et le reste de vos propos, et vous éviterait de vous faire cataloguer dans ces « naïfs », ce que vous décriez en faisant semblant de ne pas comprendre pourquoi.
« tous fiers »d’être sur Mac« , avec la sensation de faire partie d’un monde à part, d’initiés, de chanceux »
D’initiés à quoi, s’il vous plait ? :|
Cocus mais contents ? c’est l’impression que votre contribution me laisse, croyez bien que cela me navre.
Votre discours respire la fainéantise intellectuelle du technophile de posture, qui se satisfait de ce mensonge qu’une machine si belle avec sa chtite souris toute ronde avec un seul bouton si mignon lui permette de briller sans effort, et qu’il est normal de se comparer à l’élite et prétendre à la maîtrise en ayant par simple question de gout et aux prix d’un effort financier bien normal pu économiser les fastidieuses heures d’apprentissage qui vont avec toute discipline, quelle qu’elle soit.
Je parle d’informatique, vous parlez de gadgets.
Je parle de machines qui se programment, vous parlez d’objets à unique fonction sociale.
En même temps, il fallait bien s’attendre à des déferlantes émotives de la part des membres de la secte « Mac ».
Pour le « modèle économique viable » dont vous parlez, hormis la première période faste pour la quelle on doit créditer autant si ce n’est davantage Wozniak que Jobs, je vous renvoie aux joyeuses années dé déclin d’Apple, héritage du modèle économique de Jobs, et surtout aux années sous perfusion Microsoft, qui elles seules ont finalement permis à Apple d’arriver à quelque chose. Remerciez donc la loi anti-trust américaine.
Cette première Keynote de Jobs pour son retour chez Apple est d’ailleurs mémorable, notamment le passage sur l’intégration d’internet Explorer comme navigateur par défaut sur les mac.
J’en ris encore.
En tout cas, je crois qu’un développement vertical tel celui d’Apple n’est ni viable ni souhaitable sur le plan économique. L’avenir nous le dira, je l’espère.
« Des emplois créés »
... en Chine ? Aux dernières nouvelles, leurs conditions de travail les rendaient un tantinet suicidaires.
« une véritable émotion esthétique et intellectuelle à la découverte de tes Mac, tes IPhone et de ton IPad. »
Rien que cela...hé bin, vous n’êtes pas difficile.
Remarque, finalement, vous résumez assez bien ce qui a pour une bonne partie fait la réussite d’apple : le talent de Jobs en matière de marketting et de flatterie du pouvoir d’achat .
Sur le plan technologique, mis à part cette merveille qu’était l’apple IIe, les machines Mac ne m’ont jamais marqué par leurs qualités intrinsèques.
Jolies (sauf les Imacs) mais toujours trop chères, verrouillées, moins puissantes que les PC contemporains, SAV foireux, disposant d’une bibliothèque de logiciels réduite, quasi incapable de communiquer proprement avec le reste du monde des ordinateurs, et dotées d’un système plantogène, jusqu’à l’arrivée de Mac OSX...
Je me rappelle avoir bossé sur un quadra 950, Ze machine à 100000 balles qui se gamellait toutes les 10 minutes !
Il aura finalement fallu attendre la combinaison de technologies typiques du monde du PC pour voir enfin des machines Apple Mac a peu près fiables ! (processeur Intel, µnoyau MACH et environnement freeBSD : sans ces 2 composantes, un Mac ce n’est que des icônes).
Fiables mais toujours chères, toujours bridées, et toujours jolies : donc indispensables sur le bureau du bobo qui se persuade d’être un bon avec son Mac.
L’iphone... il est inutile que je me défoule sur cette plate forme, aux antipodes la la liberté logicielle pour le développeur que je suis.
Mais sinon, je remercie Jobs pour avoir imposé le design dans les interface homme machine et le hardware.
Pour le reste le monde Apple@Jobs, c’est l’enfermement dans une cage dorée, pleine de bijoux plaqués or. Quand on gratte... ça fait pschhhit.
Enfin, je ne trouve aucun « génie » à un homme qui n’a rien fait pour ou dans le but d’ améliorer le monde. Je n’ai pas de reconnaissance pour le génie commercial, je réserverai donc ce mot à d’autres personnes.
L’informatique, le web , tel que nous les connaissons aujourd’hui n’existeraient pas DU TOUT sous cette forme s’il avait fallu compter sur des mentalités comme celle de Steve Jobs.