• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jowurz

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 04/09/2010
  • Modérateur depuis le 15/09/2010
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 14 199 267
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 154 88 66
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jowurz 30 novembre 2010 12:46

    Votre article à ceci de nouveau qu’il n’apporte rien qui ne soit connu et publié. Si ce n’est bien sûr la trivialité de l’enseigne.

    Permettez-moi d’observer que vous confondez gaspillage et liquidité. Ce n’est pas parce que l’état gaspille l’argent des recettes et dispense un certain nombre de personnes physiques et morales de taxes, contributions et charges sociales que les caisses sont pleines. Elles sont effectivement, du fait de ce manque de recettes, vides hélas. Inutile de prétendre le contraire.

    Elles sont à ce point vides que les 2 dernières lois rectificatives de finances 2010 du 14 septembre et du 20 novembre déshabillent Pierre pour habiller Paul c’est-à-dire annulent des missions et décalent des paiements fournisseurs pour faire les payes de décembre de 8 ministères. Inutile de présumer que le Trésor est plein à craquer quand l’état est au bord de la faillite.

    En supplément la loi de finances 2011 prévoit une émission de 186 milliards d’obligations assimilables du Trésor (OAT) pour couvrir la charge de la dette publique et financer les besoins du budget envisagé qui ne manquera pas de faire l’objet de rectifications en cours d’exercice.
    Bien entendu il ne faut pas confondre ces besoins avec le déficit de l’exercice prévu pour 96 milliards qui sera, comme chaque année depuis l’excellente gestion Fillon, corrigé de 31ou 32% pour être porté, si tout se passe bien, à 120 milliards ce qui représenterait un énorme progrès puisque celui de 2010 dépasse les 152 milliards.

    Vous le voyez la manière dont vous exposez votre sujet est plus que confuse et inexacte. Je ne doute évidément pas de votre bonne foi mais votre compétence présente certaines lacunes trompeuses. A moins bien sûr que vous ne participiez à une campagne d’intoxication ce qui ne semble pas le cas. Vous eussiez agi plus habilement.

    Cordialement.   



  • Jowurz 30 novembre 2010 12:11

    Bonjour Christian

    Le PS cmme tous les partis poltiques refuse d’admettre que l’emblème Mitterrand n’a pas plus respecté la constitution que Chirac ou Sarkozy. Aucun de ces trois personnages n’a rempli son mandat dans les limites fixées par le suffrage universel.
    Apparemment Madame Royal dans le droit fil de ces usurpateurs des fonctions exécutives entend définir et conduire la politique de l’état. Ceci est contraire au mandat qu’elle brigue. Ou elle ignore la misison et les devoirs d’un tel mandataire, et je ne lui en ferais pas l’affaire ou elle est avide de pouvoir et je lui reproche de nous faire prendre comme ces concurrents de vouloiur nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

    En supplément je ne crois pas que cette ambitieuse personne ait les moyens de son ambition. Elle ne passera même pas les primaires de son parti.

    Le jpour où nos compatriotes auront compris le rôle du Président de la République ils sauront qu’il convient d’élire un candidat respectueux des institutios et capable d’arbitrer sereinement entre les pouvoirs dans un esprit de neutralité absolue. De vous à moi pas un seul des candidats issu d’un parti politique ne satisfait ce critère.

    Le président n’est pas le représentant d’un parti, les francais n’ élisent pas un parti. Ils ne sont pas éligibles.
    Consultez, pour vous en assurer, le droit électoral et en aprticulier la loi organique qui régit les dépôts d’une telle candidature et le financement de cette campagne...
    Les partis n’ont rien à y faire et ne peuvent pas, directement, présenter une candidature officielle. Ils ne sont pas des élus et ne sont pas en mesure de parrainer qui que ce soit.

    Les primaires socialistes, comme celles d’autres partis, sont une simagrée qui se trompent de constitution et de république. Les bons énarques et les bons spécialistes du droit qui encombrent vos couloirs en quête d’un job, Valls , Montebourg et consorts ne sont même pas capables de faire la différence entre les USA et la France. Ils prennent leur désir d’avenir pour une réalité quelle misère !. Voilà qui enfume le débat et sous-estime l’électeur.

    A croire que personne ne respecte l’esprit de la démocratie défini par la constitution et que, vous-même, cher auteur vous assoyez dessus en soutenant une telle mascarade au profit de votre idole sans piédestal.

    Votre crédibilité en souffre assurément. Regrettable pour vous de vous faire ainsi complice d’un détournement constitutionnel qui en dit long sur le souci des lois qui anime votre groupe politique.

    Bonne journée 
      



  • Jowurz 27 novembre 2010 16:58

    Mais je ne lui fais pas confiance. Moi non plus je ne fais pas confiance à l’auteur, en revanche, sans attendre 2012 permettez-moi de repasser ce que Minusabens a écrit à Samagora et qui me paraît convenir à cet article :

    "A l’instar de la plupart d’entre nous, vous êtes convaincu, comme le laissent croire les partis politiques et les médias, que le Président de la République doit définir et conduire la politique du pays et donc tout candidat doit présenter un programme crédible qu’il ne respectera pas. Vous êtes victime d’un malentendu sournois.

    Ceci est un préjugé pur et simple, totalement inconstitutionnel. En voici les preuves :
    Le mandat présidentiel est défini au Titre 2 de la constitution. Il n’est nullement question que la mission de cet élu soit de définir et conduire la politique de la nation. Bien au contraire l’article 5 dispose :

    « Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État.
    Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

    En conséquence, le mandat du Président de la République ne lui confère aucun pouvoir en dehors de celui de dissoudre l’Assemblée nationale dans le cadre de sa mission de fonctionnement régulier des pouvoirs publics et d’appliquer, pour autant que les conditions soient réunies, exceptionnellement les pouvoirs que lui confère l’article 16.

    Ainsi sa fonction de chef des armées ne lui donne aucune prérogative particulière sur celles‐ci puisque la force armée est, comme l’administration, à la disposition du Gouvernement en charge de déterminer et conduire la politique de la nation selon l’article 20 et que l’article 21 dispose :
    « Le Premier ministre dirige l’action du Gouvernement. Il est responsable de la défense nationale. Il assure l’exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l’article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires. »

    Vous le voyez jusqu’ici la plupart des candidats à l’élection présidentielle ont outrepassé la
    constitution avec la complicité des partis qui en bafouent l’article 4 : « Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. » et l’ignorance mafieuse des medias.

    Cette habitude malicieuse de tromper l’électeur sur la fonction présidentielle ne vaut pas loi. La coutume et l’usage ne sont pas constitutionnels. Les présidents ne gouvernent pas, ils ne peuvent recueillir l’ensemble des pouvoirs l’article 16 de la déclaration de 1789 : « Toute Société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution. »forment le rempart de la démocratie consitutionnelle.

    En supplément, les termes d’un mandat confié par un mandant, le peuple à un mandataire, l’élu, ne sauraient être modifiés par décision unilatérale d’une des parties contractantes. Ce qui signifie que, sans l’aval du peuple, le président ne peut modifier le pouvoir qui lui est confié par le suffrage universel, même si la révision constitutionnelle est adoptée par le Congrès. En effet le Parlement, réuni en Congrès ou non, n’a pas la compétence pour désigner ou élire le Président, ceci appartient au peuple souverain et à lui seul.

    Influencé par cette prétendue tradition vous vous trompez donc de République
    et de Constitution en évoquant une plate‐forme ou un programme présidentiel lié à un ou plusieurs partis. L’élection présidentielle ne consiste pas à confier mandat à un parti de gouverner. Un parti n’est pas éligible en France comme il l’est à l’occasion des législatives en Allemagne. L’élection présidentielle consiste à choisir un homme sans attache politique apparente. Il n’est pour s’en convaincre qu’à consulter le code électoral et la procédure de dépôt de candidature.

    Le candidat n’est pas celui d’un parti c’est un homme ou une femme seul qui brigue le suffrage de ses compatriotes. Afin de faire campagne il est tenu, puisqu’une partie de ses frais sera payée par les fonds publics, de tenir une caisse personnelle en créant une association de financement personnelle afin de recevoir les dons et financements autorisés par la loi et rien d’autre. Ceci n’est pas l’affaire d’un parti, même si un ou plusieurs parti peuvent accorder leur soutien financier à un candidat de leur choix.

    Il est grand temps que les Français prennent conscience de la duperie permanente de l’électorat dont ils sont l’objet et du détournement illégal systématique de l’institution présidentielle. Ne croyez vous pas ?"

    Ca c’est du béton et pas de la fiction ! Voilà ce qu’il faut dénoncer le reste ne sert qu’à tuer le temps et la réalité constitutionnelle

    Un tel message doit circuler !

    Sans rancune l’auteur vous vous êtes détendu en écrivant. Moi aussi, un peu à vos dépens , C’est vrai !.

    Acceptez mes excuses. Ceci n’est pas dirigé contre vous-même mais contre ce préjugé qui est entré dans la tête de chaque citoyen sur la fonction présidentielle. Un préjugé ou plutôt un malentendu qui conduit au viol permanent des valeurs de la démocratie et du respect des lois.

    En ce sens votre article acquiert toute sa raison d’être. Il est l’archétype de la représentation médiatique surabondante, destinée à tromper l’électorat (pour ce qui vous concerne : de bonne foi je n’en doute pas). Un panneau dans lequel il est bien difficile de ne pas tomber.

    Merci de votre mansuétude.

    Cordialement.

     

     



  • Jowurz 27 novembre 2010 16:35

    Faudrait-il être, de surcroît, un tribun redoutable, capable de renvoyer l’homme de l’Elysée à ses truismes, pif ! paf ! C’est que, dites, ce Sarkozy, dans le genre je-te-fais-les-questions-et-les-réponses, il se pose là.

    Il est pas tout seul Philippe ! Sage aussi...



  • Jowurz 27 novembre 2010 16:33

    Rien, car aucun projet digne de ce nom. Aucune alternative. Un projet digne ou pas de ce nom c’est encore un projet Vous pourriez expliquer ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv