@Adèle Coupechoux La baisse du nombre de lit/habitant (on est passé de 11/1000 à 6/1000 depuis 1980) est extrêmement aggravé par le fait que le nombre de personnes âgées lui augmente très vite. Le nombre de lit/habitant de +70 ans s’effondre donc. https://donnees.banquemondiale.org/indicateur/SH.MED.BEDS.ZS?locations=FR
D’où la saturation perpétuelle les années creuses, et les catastrophes à venir pour les années épidémiques. Il s’agit donc de catastrophes programmées et voulues au nom de la privatisation de la santé : un pactole qui se chiffre en dizaines de milliards/an au moins pour le secteur financier rien qu’en France.
Voilà pourquoi des milliers de personnes âgées sont mortes prématurément en 2020 (ainsi que d’autres plus jeunes, par report de leur diagnostique et traitement).
Concernant les vaccins appliqués à toute la population, cela demanderait des connaissances un peu pointue en immunologie et infectiologie, néanmoins la logique me dit que de deux choses l’une :
* soit le vaccin n’immunise pas, il évite éventuellement les formes graves, auquel cas l’éradication du virus et l’immunité collective ne sont qu’un fantasme (puisqu’il n’y a pas d’immunité individuelle). Dans ce cas vacciner les personnes non vulnérables n’a guère d’intérêt, mais comporte des risques, inconnus à long terme et donc pour les jeunes.
* soit le vaccin immunise (en empêchant la multiplication du virus), auquel cas les variants existant subiront une pression évolutive pour échapper au vaccin, ce qui rendra les personnes âgées et fragiles à nouveau vulnérables aux nouveaux variants. Et rebelote avec les pics épidémiques et les vaccins.
Par contre, ne pas vacciner les personnes assez jeunes et en assez bonne santé leur permettrait, par contact avec de multiples variants, de se construire une immunité robuste et plus générale. Ils serviront alors aussi de rempart pour les personnes âgées qui seraient elles éventuellement vaccinées (si elles le désirent). L’immunité naturelle obtenue par contact multiple est a priori plus efficace que celle obtenue par un vaccin plus spécifique.
La statégie choisie semble impliquer d’une part le risque que les vaccins cessent d’être efficaces chez les personnes âgées, et d’autre part procure une rente perpétuelle aux laboratoires pharmaceutiques, avec le bénéfice financier supplémentaire de fabriquer des vaccins pour toute la population et non pas seulement pour ceux qui, du fait de leur état de santé, auraient besoin d’être protégés. Cette stratégie semble donc inadaptée, voire dangereuse, pour un virus qui mute beaucoup, se transmet facilement et est bénin pour la grande majorité de la population.
@Yann Esteveny Beaucoup de politiciens aspirent à la dictature, y compris dans les partis qui crient le plus fort leur amour de la démocratie ou de la république. Ce n’est donc pas « à l’insu de leur plein gré », mais au fil des opportunités qu’un certain nombre d’entre-eux construisent une dictature. Je me méfie des démocrates par défaut, qui retournent leur veste aussi vite que le vent tourne.
Pour un plan précis, le problème est de le mettre au jour. Et le danger serait de croire que, parce que le plan A ou B d’une clique d’oligarques a été mis au jour, les intentions seraient réellement neutralisées. Rien ne vous interdit cependant de dénoncer telle ou telle entente de groupes de pression ou d’intéret lorsque vous en avez connaissance.
Mais je m’inquiète plus d’une convergence Mélenchon-Socialiste-Macron-LePen (et de bon nombre d’électeurs avec eux) sur la nécessité de contrôler constamment la population par des moyens électroniques, policiers et économiques que de leur plan commun qui me semble douteux.
@troletbuse Les vaccins ne sont pas supposés rendre non-contaminant et les jeunes (au moins jusqu’à 30 ans) sont à peu près insensibles à ce virus. Du coup, il n’y a aucune raison de les vacciner, dans le meilleur des cas ce sont des cobayes par contrainte, dans le pire des cas des victimes d’un crime de masse. Ce seul fait, mais il y en a d’autres, représente des charges suffisantes pour mettre en accusation tous ceux qui auront soutenu cette mesure. Je ne sais pas quelle peine est adéquate pour ces décideurs et conseillers mais la prison à vie me semble assez clémente. Enfin, j’aimerai que ce soient les systèmes (labo pharmaceutiques, ordre des médecins, et partis politiques) qui soient mis en cause, et non pas seulement des personnes, fussent-ils président ou ministre.
« Ne plus allouer d’énergie mentale ni de temps à analyser et réagir à la dictature sanitaire, juste vivre et advienne que pourra ». Pour le Covid c’est la solution la plus saine sur le plan médical (aussi bien psychologiquement que face au virus lui-même : c’est dire l’ineptie de pseudo-mesures qu’il est plus sûr d’ignorer que de connaître !). Si vous voulez augmenter votre espérance de vie il faut songer à votre alimentation, votre exercice, limiter les toxiques (alcool, cigarette ou pire que ça), et se faire dépister les vraies maladies graves, qui sont quelquefois réellement soignables. La crise Covid a en réalité détourné la population du soin réel qu’elle doit apporter à sa santé en l’aiguillant vers un fantasme de vie éternelle et des menaces fictives : on meurt bien sûr avec la grippe ou le Covid mais c’est essentiellement l’état de santé de la personne (dont son âge) qui le tue et non le virus. Petit point germophobie : il est impossible de vivre isolé des milliers d’espèces et de variants de virus pathogènes au milieu desquels nous baignons.
L’hystérie et la terreur actuelle ne sont que des méthodes de gouvernement, auxquelles il faut s’opposer si l’on veut éviter une dictature dont on sortira beaucoup plus difficilement qu’on y sera entré.