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kakadou n’diaye

Prof université, consultant Unesco, spécialiste développement, écrivain et essayiste, bibliophile et courtiers en art moderne . Collaboration à Atlas, Le monde, Libé, critique socialiste, etc....co-réalisateur de documentaires, fermier au sénégal.

Tableau de bord

  • Premier article le 10/07/2008
  • Modérateur depuis le 09/10/2008
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Derniers commentaires



  • kakadou n’diaye 23 octobre 2008 13:42

    le thème est intéressant et important ....le résultat de vos reflexions et recherche, je regrette de le dire, encore à ses tout débuts.
    De niombreux historiens et sociologues se sont penchés sur cette question du devenir de la classe ouvrière. Gorz avec "la fin du prolétariat" en donne une vision personnelle et forte . Il donne aussi une biblio sinon exlusive du moins necessaire. Bon courage. 



  • kakadou n’diaye 14 octobre 2008 15:36

    merci de votre commentaire
    je ne connais pas la situation des écoles de français pour étrangers en France....Elles travaillent souvent, à ce que j’ai pu voir, comme centre de formation des universités -stages en quelque sorte- disposent aussi parfois du soutien des Conseils Généraux...et ont malgré tout beaucoup de difficultés financières..d’où traitent leurs profs par dessous la jambe..ce qui ne m ’étonne pas. Mais ce qui continue à m’étonner c ’est que les Départements universitaires continuent à deverser sans mauvaise conscience une centaine de Master 2 - équivalent DESS- sur le marché alors que dans le meilleur des cas l’embauche se fait sur la base d’un salaire minimum.....
    Il faudrait peut-être si vous avez des ami(e)s FLE que vous distribuiez via le net ce papier afin qu’il puisse s ’enrichir et déboucher sur un vrai débat avec les Affaires étrangères, l’Alliance, et l’Université.



  • kakadou n’diaye 11 octobre 2008 13:39

    j’avais sous ma machine en article en préparation allant dans le sens de ce que vous exposez .Mais vous le faites avec tellement de talent et de chaleur que - c est rare- je préfère vous lire qu’écrire.
    Bravo donc et merci
    J’avais il y a quelques années prononcé au Mexique une conférence qui annoncait la fin de la récréation . Je n’étais déja pas le seul et je rappelerai seulement une double page datant de plus d’un an dans "Libé" de Larubourou qui démontrait que la croissance était fondamentalment basée sur le crédit et l’endettement donc que cela ne pouvait durer et que par ailleurs la rémunération du travail avait augmenté de 30% dans les 20 dernières années alors que celle du capital avait augmenté de 350% ( le CAC 40 est passé de 1000 a 3500 aujourd’hui en 20 ans ..c ’est pas mal quand même non ?)
    Mais j’insistais surtout sur la crise économique . Elle va venir, patience, et elle sera sévère. Sur la crise sociale, surtout pour moi marquée par la mégalopolie - des villes de plus en plus grandes où des populations se marginalisent de plus en plus en s’armant ( cas de Mexico, Sao Paulo, Rio, Lagos, etc...) et enfin sur la crise écologique ( théorème : la moitié du monde ne peut la moitié de ce que consomme un américain moyen : les resssources sont insuffisantes)
    A vous lire encore et merci de votre colère



  • kakadou n’diaye 11 octobre 2008 13:01

    le Prix Novel délivré à Jean Marie Le Clezio
    qui fut nicois, mauricien, mexicain et nigerian aussi
    vient à point nommé pour répondre à votre chaleureux, nostalgique et coléreux commentaire
    " j’habite ma langue, je suis de ma langue d’abord "a t il dit.
    L’impérialisme avec sa religion et ses habitudes alimentaires impose également sa langue, certes.
    Mais quant au français j’ai la faiblesse de croire qu’après avoir été une langue de domination et d ’écrasement des parler créoles il est devenu langue de libération, d’opposition, de révolte.
    Le référence des 19 et 20 siècles fut la révolution française et sa déclaration des droits de l’homme. Que ce pays se roule aujourd’hui dans la fange anglo-saxonne venue d’outre-atlantique, dans les appétits mesquins et les ambitions mercantiles ( oubliant au passage la beauté fière de l’Angleterre de ses écrivains et poètes pour n ’en garder que les marchands) ne doit nous faire oublier que la défense et l’illustration du français appartient aujourd’hui non à la nostagie d’un empire bien et bien disparu et englouti mais à la révolte et à l’indignation.



  • kakadou n’diaye 11 octobre 2008 08:34

    il ne s’agit pas m est avis d’une "étroitesse d ’esprit" mais d’un système, peut-être généreux au départ, qui s ’est peu à peu refermé sur lui-même chacun essayant de tirer la couverture à lui et qui a abouti, dans le présent de la chose, à ce que

    - des jeunes soient formés ( bac+5)alors qu’ils n’ont AUCUN débouché digne, mais les universités -les départements de FLE au sein des universités -ne se remettent jamais en cause et continuent à dispenser des cours souvent sans intérêt car dispensés par des gens qui n’ont jamais eu contact avec ce qu’ils enseignent ( le français enseignés aux étrangers)

    - les ambassades ne s’occupent que des lycés français à l’étranger et des cours de français dispensés dans les écoles des pays et non d’ un enseignement ouvert ne serait-ce qu’aux personnes et cadres travaillant dans des entreprises françaises.

    - les Alliances disposent d’un quasi monopole à l’intérieur duquel les places sont juteuses, les compétences nulles, les diplômes bas , les avantages hauts et cela sous couvert des Affaires Etrangères qui couve tous ces enconconnés.

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