Ancien créatif publicitaire, puis scénariste et journaliste-pigiste pour divers revues ou sites web consacrés au cinéma.
Je suis actuellement pigiste pour le journal d’une collectivité locale en Bretagne, je participe en tant que rédacteur à plusieurs sites d’infos collaboratifs.
Je suis avec passion la mutation de l’info, de la communication sur le net...
Je crois que c’est tout le contraire ! C’est l’écologie qui sauvera l’économie.
La logique même de l’économie de marché est parvenue au terme de sa logique. Gagner plus, toujours plus, en payant le moins possible pour produire, en se servant des ressources disponibles sans aucun mesure. Tant qu’il y a de l’argent à gagner !
Mais il semble bien que la poule aux oeufs d’or soit décédée des conséquences d’une indigestion sévère !
L’économie, la finance internationale et l’écologie : c’est la même crise qu’ils traversent. Tous trois sur le même bâteau.
Et la seule chance de rédémarrage pour l’économie sera d’adopter une attitude vertueuse, c’est à dire, écologique, éthique, morale. Vis à vis de la planète, de ses clients et de ses employés.
L’économie tente d’chapper aux règles établies pour lutter contre les effets pervers de son édevloppement. C’est bien logique, bien "naturel" si j’ose dire !
L’économie mondiale n’a eu de cesse que de vouloir produire plus et pour toujours moins cher dans l’unique but de garantir des retours sur investissement chaque jour plus faramineux.
Et pour cela, elle a licencié ses propres clients ! Et oui, les employés de ces firmes étaient aussi des clients...
Dans le même temps, cet appétit de croissance sans fin a fini par avoir des conséquences écologiques de plus dramatiques. Raréfaction des ressources, pollutions en tous genres.
L’économie mondiale n’a pas d’autre chance de survie que de s’adapter, de changer. Car il n’y a ni crise financière d’un côté, crise économique de l’autre et crise écologique encore ailleurs. Il n’y a qu’une seule et même crise, et elle est sociale.
Pallas est semble-t-il suffisamment coupé de toute émotion et du bon sens nécessaire à la nuance. En employant "petits bobos" pour désigner des pathologies aussi lourdes que celles donnant droit à l’ALD, il fait preuve d’une indescence absolue.
Cher Pallas, si je m’en tiens aux statistiques concernant ma maladie, l’espérence de vie d’un malade est cinq ans en moyenne. Je pense que vous trouverez ça trop long, par rapport à l’argent que je vous coûte.
Ah Visiblement le commentaire de Pallas est passée bizarrement sous ma réponse. Donc lorsque je parle du commentaire ci-dessus, il faut comprendre ci-dessous !
Cher PALLAS, le "Vous" que vous employez dans votre commentaire (ci-dessus) envers les malades sonne très désagréablement. "Vous, eux, les autres : ces salauds !"
Je tiens à vous rappeler que prendre des médicaments qui conditionnent une simple survie ne revient pas à "consommer" au sens ou vous semblez l’entendre !
Vous semblez également conditionner le fait de recevoir le soutient de l’Etat à ce que vous lui avez donné, je vous rappelle donc que les personnes qui paient plein pots les retraites de nos chers anciens si parfaits ni auront, eux, pas le droit à des tels émoluments !
Ce que vous dites sous entend également que les actifs d’aujourd’hui seraient les seuls responsables (par leur fainéantise supposée sans doute !) de la crise actuelle. Cela montre une méconnaissance totale de la réalité économique, des effets de la mondialisation, de la crise des ressources énergétiques.
En vous vous souhaitant de ne pas de mourrir après une longue, une très longue maladie (que vous aurez payé sans sourcilier car si vous êtes vieux, ce n’est sûrement pas ma faute !)