Tant mieux s’il n’y a plus de pétrole, nous poluerons moins. il faut savoir que le pétrole s’est imposé parce qu’il se distribuait le plus facilement et qu’il a été imposé par un truand. au début du XXéme siècle exiqtait déjà le moteur électrique, la vapeur(qui n’a pas dit son dernier mot), l’alcool. dans le brevet de Rudolph Diesel apparaît comme carburant tout type d’huile, dont l’huile végétale. Pauvre Rudolph, il est passé par dessus bord, dans la Manche.
Rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme.
Brûler une matière dont le volume est fini pour le transformer en énergie est un non sens. Surtout en considérant ce que l’on peut tirer du pétrole. La presque totalité des matériaux créés sont toujours disponible. Nos décharges seront des mines d’or pour nos descendants, sauf si nous continuons à brûler nos déchets ou les laisser se désagréger.
La matière de remplacement doit être une matière qui se créé au rythme de notre consommation, ou dit à l’envers, nous devont consommer une matière qui se renouvelle au rythme de notre besoin.
« Les Etats aux finances exsangues ont eu plus de mal à financer leurs déficits et leurs dépenses courantes puisque le financement possible ne provient que des taxes/impôts et de l’endettement sur les marches financiers (sauf à demander l’aide du FMI ou de la Banque Mondiale). »
Vous avez oublié : « FMI et Banque Mondiale financées par ces mêmes états emprunteurs », c’est à dire les contribuables de cesdits états.
« Effectivement, lorsqu’on prête à quelqu’un qui a déjà beaucoup de dettes on risque de ne jamais retrouver son argent, donc on se protège avec un taux d’intérêt élevé. » ...pour être sûr qu’il ne puisse pas rembourser. C’est sûr qu’après la troisième traite impayée un taux de même 50 % sur les deux premières garantit le remboursement. Il faudra un jour que quelqu’un m’explique comment un taux d’intérêt plus élevé garantit le remboursement !!
Et même si quelqu’un trouve une solution qui nous permette d’équilibrer nos finances d’état, comment pouvez-vous croire que ce nouveau système sera respecté ? De plus, qu’est-ce qu’un état aujourd’hui ? il y a une telle volonté de les détruire !! Le problème se situe dans la lâcheté des dirigeants comme des citoyens : l’égoîsme de chacun versus l’intérêt commun. Tant qu’il n’y aura pas une volonté forte d’unité, un même peuple, un état, une nation, ou l’humanité toute entière dont chacun puisse craindre les foudres, n’attendez pas de changement dans le fonctionnement de notre société. Le mieux serait un objectif commun si magnifique que chacun puisse retirer une satisfaction immense à travailler pour lui, le servir et le respecter.