1ere question :
Se dit-il : « Je vais pouvoir bien en vivre, de cette idée que je suis en train de mettre en œuvre » ? ou se dit-il : « Voici une idée que je trouve belle et j’ai hâte de pouvoir la partager avec d’autres humains » ? Qu’est-ce qui tue la culture : le partage ou le mercantilisme ?
Dans votre approche vous opposé partage et « mercantilisme », mais ce n’est pas une opposition, un créateur peut très bien décidé en plus de partagé sons oeuvre de vivre avec les revenues que sons oeuvre vas généré, c’est même souvent complémentaire, mais je vous rejoins sur le fait qu’il ne faut pas mettre l’aspect monétaire avant l’aspect partage sous risque de tuer pour le coup la culture ( la vrais )
2éme question :
1ere erreur entretenue avec le terme « dématérialisation » qui laisserais l’idée que l’oeuvre est un « object » alors qu’elle est redevenue à sa forme originel à savoir de de l’information. Mais revenons à l’article, le fait que les intermédiaires touche une partie plus ou moins négligeable des revenue faite sur l’oeuvre est tous à fait normal, chaque intermédiaire apporte ses compétences à l’oeuvre ou à sa distribution. Apres on pourras Toujours contesté la répartitions des gains, mais en fait sa ne nous concernes pas.
3éme question :
Vous avez tous fait raisons de marqué qu’il existe d’autres alternatives à la forme « traditionnel » du marché, mais comme sur la question 1, il n’est pas nécessaires de les opposés.
Il y a bien un tort de l’état, mais pas dans le fait qu’il mette à disposition une surface pour l’Organisation internationale de la francophonie, mais dans le fait que quand les prix de l’immobilier s’envolait, il n’on rien fait pour limité la hausse ( bien au contraire ), du coup non seulement sa à mis pleins de personnes sur le bord de la route de la propriété et de la location, mais aussi créé les conditions pour une crise majeure du marché de l’immobilier qui ne manquera pas de venir. Bref que de gachie pour satisfaire quelques profiteurs.
Je vais mettre un peut d’huile dans le brasier ...
On discute de la tragédie du licenciement des cinquantenaires, mais tous licenciement est une tragédie. que ce soit à 20 ... 30 ... 40 ... 50 ans, mais le pire, est-ce que le licenciement des cinquantenaires est le pire, je ne peut qu’en douté, il on profité des 30 glorieuses, qui leur on donnez un bon salaire, il on pour la grande majorité permis d’acheter leur maison, il non plus d’enfant à charge ( ou alors de jeune adulte ). On déjà cotisé pour leur retraites qui n’est plus très loin aussi. c’est fait font que l’on n’a pas de suicides de cinquantenaires, par contre pour un quarantenaire, il est dans une situation plus délicate, il doit payer l’éducation de ses adolescents, finir remboursé la maison familiale, n’a pas les années de cotisations pour la retraites, il doit retrouvé un travail, c’est d’ailleurs dans cette tranche d’age que l’on à le plus de suicide de personne ne pouvant plus faire face à la vie[1].
pour en revenir au cinquantenaire licencier, leur difficulté à retrouvé un travail vient aussi du fait qu’il avait un salaire indécent fruits des 30 glorieuses, alors que leurs enfants on un salaire minable fruit d’un chômage de masse[2]. La remise en question est douloureuse quand il s’agit de se remettre en question, et de remarqué qu’il ne pourrons plus disposé des conditions qu’il on profité jusqu’à maintenant. En plus le chômage qui viens brutalement les rattrapés. qu’il peste, soit, mais contre se chômage qui à ruiné toute une génération et qui viens de les rattraper, mais nullement contre leurs entreprises qui estime qu’il ne sons plus les éléments d’avenir. Accessoirement ils payent aussi les lois qui les surprotège et qui ruine aussi leur retour au travail.
Bien à vous.
1. Je ne sait plus ou j’ai li sa, mais c’est sérieux.
2. En 1977, un trentenaire touchait 15% de moins qu’un cinquantenaire, aujourd’hui c’est 40%.
C’est vrais que vous n’avez pas utilisé le terme « Pirate » autant pour moi, par contre faut se méfier des termes guerrier.
Pour ce qui est de la gratuité de la culture sur internet, c’est une conséquence inévitable. Prenons pour hypothèse que le « les échanges culturels n’existe pas » et retournons sur internet. Il existe des artistes qui donne gratuitement leurs œuvres, il n’y à qu’a allez sur www.jamendo.com pour vous en rendre compte. Mais on trouve aussi des livres et programmes informatique ( et pas des moindres ) gratuitement sur internet. C’est œuvres vont faire pressions sur les œuvres commercial vers la gratuité. Dans c’est conditions la gratuité est inévitable sur internet, si ce n’est pas les « pirates » qui l’impose, se sera le marché qui l’imposera. On pourra le financé comme vous dites de façon indirecte comme avec la publicité. Par contre je vous retrouve sur le fait que cette gratuité et cette abondance d’œuvres entrainent une démystification de l’œuvre, on ne se rend plus compte que c’est le fruits d’un savoir faire, d’une recherche, d’un travail, ce qui est réellement préjudiciable à l’auteur.
Sur le point des 7000 ventes de musiques sur une semaine ce qui je vous l’accorde dérisoire, mais faut pas grier les étapes ni tous mettre sur le dos d’internet. Regardons les pratique moderne d’utilisation de la musique, les jeunes on maintenant des lecteurs MP3 et des PC et échange leurs musiques dans les cours de récréation ou à la maison. Le format MP3 est un format qui leur permet d’échanger directement leurs musiques, d’écoute cette musique chez le copain pour leur faire découvrir sa dernière nouveauté. Dans ces conditions le CD à déjà pris un coup de vieux, un lecteur MP3 est incapable de lire un CD, pourtant maintenant il se vent plus de lecteur MP3 que de lecteur CD. Mais pire les éditeurs on mis des « protections » qui empêche le transfert de la musique sur CD en MP3. Déjà que les CD avaient déjà pris un coups de vieux, la il les on directement coupé du nouveau marché naissant, par contre c’est « protections » pause de réel problèmes à des utilisations légitimes, comme par exemple la lecture des CD dans les autoradios qui ne fonctionnait pas bien ou pas du tout. Les personnes qui sont tombé 2 ou 3 fois sur ces problèmes on arrêté d’acheter des CD.
Si on voulait sauvé le CD, fallait mettre les MP3 directement dedans, de pas mettre de technique anti-copie, et faire un max de travail sur l’emballage et le dire, ne pas poursuivre les internautes par contre les invités à acheter les CD.
Bref à la lumière de ces éléments on assiste pour les ventes de CD à un chronique d’une chute annoncé.
On assiste à la fin d’un modèle commercial, soit on s’adapte soit on dépose le bilant. C’est la dire lois de l’économie. Même si à chaque fois sa laisse plein de monde sur le bas coté de la route.
j’aime beaucoup votre commentaire qui est constructif, et qui raconte une vrais tranche de vie, ce qui manque un peut dans ce débat, cependant vous faite un amalgame entre 2 pratiques qui même en ayant pratiquement les même conséquences on deux finalités complètement différentes.
Une de ces finalité est une recherche du gain immédiat par spoliation ou contrefaçon d’une oeuvre de l’esprit. Dans ce cas là je vous rejoint totalement, et je condamne sans partage c’est pratique. Je vous invite aussi à lire le live « Du bon usage de la piraterie » de Florent Latrive http://www.freescape.eu.org/piraterie/
L’autre pratique est plus complexe et intervient massivement sur internet, c’est l’échange culturel. Ici le but n’est pas de faire de l’argent sur une oeuvre, mais de partager ces oeuvres pour les faire découvrir à d’autres ( que l’on connait ou non ). Apres tout une oeuvre est faite pour être partagée. Cette pratique soulève bien des problèmes comme celui du contrôle par l’auteur de son oeuvre, ou bien celle de la rétribution financière. Mais là on rentre dans un débat de société.
PS : Faite attention au mot « pirate », qui est un mot a connotation négative, on l’utilise pour décrire un phénomène, mais on part du principe qu’il est mauvais ( connotation négative ), ce qui empêche regard neutre et constructif sur ce phénomène.