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le naif

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  • le naif le naif 10 août 2009 19:04

    Comme disait coluche :« quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent pas pour que ça se vende plus »
    Qui est à blâmer le footballeur qui touche des millions ou tous ceux qui se précipitent pour acheter maillots, chaussures etc ...à prix d’or.
    Gio si je vous propose 100.000 € pour chacun de vos commentaires sur Avox, vous refusez ??? 



  • le naif le naif 10 août 2009 16:35

    Toujours les mêmes idées éculées issues du XIX siècle !!!

    Avec les avancées techniques et technologiques, ne serait-il pas temps d’imaginer un système de répartition des richesses largement dissocié du travail salarié.
    En 1936 on était à 40 heures, en 2009 nous en sommes à 35 heures au mieux (mais souvent plus pour ceux qui ont du travail.)
    Il ne s’agit plus de faire du replâtrage mais de changer de paradigme
    Les gains de productivité devraient permettre de libérer du temps pour tous, et d’assurer un revenu de vie en espèce et en nature.(allocation de KWH, M3 d’eau, gratuits etc...la surconsommation étant elle surtaxée,nécessité écologique oblige)

    J’entends déjà certain crier au fou.
    Réfléchissez à toutes les aides diverses et variées, subventions, dépenses sociales et de fonctionnement de l’état, avec ce système, plus besoin de pôle emploi, de samu social, diminution du budget de la police etc....
    Chacun ayant le nécessaire pour vivre serait libre de développer ses compétences et d’exprimer sa créativité au lieu de subir un travail souvent débilitant voir inutile.
    Je pense que le trou de la sécu se reboucherait rapidement, moins de maladie du travail de dépression etc
    Ensuite libre à chacun de travailler plus pour gagner plus selon la formule consacrée.
    Sans la pression du chômage de masse les salaires évolueraient vers le haut d’autant plus facilement, que les parts de cotisation chômage salariale et patronale pourraient être redistribuées sans augmenter le coût du travail
    Pour en arriver là il faut avant tout une vraie démocratie et un état qui possède réellement les moyens de sa politique. Un système bancaire nationalisé au service des citoyens, le contrôle des moyens de production de l’énergie, de l’eau, etc

    Bref rien à voir avec des bricolages foireux mais un vrai changement de société de toutes façon nécessaire d’un point de vue écologique.



  • le naif le naif 10 août 2009 14:30

    Depuis des décennies et jusqu’à une période très récente on nous citait systématiquement en exemples les pays néolibéraux qui « réussissent formidablement » GB, Irlande (le tigre Européen) l’Espagne, L’Islande. Occultant aussi systématiquement ou discréditant les modèles alternatifs, Vénézuéla, Pérou, Bolivie, Argentine etc.....une bande de ploucs populistes....

    Il semble que l’heure de faire le bilan arrive, Quid des exemples : Faillite sur toute la ligne, au propre comme au figuré. Le summum étant atteint avec la GB obligée de nationaliser de toute urgence ses banques pour éviter (retarder) la banqueroute.
    Faillite de l’Islande devant faire face à 100 milliards € de dettes !!! Espagne en pleine crise immobilière et Irlande en plein marasme économique.

    Certes nous sommes à peine mieux loti mais ayant échappé de justesse au système de retraite par capitalisation de Balladur et aux subprimes à la française sauce Sarkozy, avec un taux d’épargne et une couverture sociale tout de même supérieure à celle des pays anglo-saxons il nous reste une petite marge de manœuvre pour changer de références et regarder plus attentivement les solutions non-néolibérales tentées ici et là.

    Attendons donc que ce système à l’agonie finisse par mourir et à notre tour, nous pourrons sortir des sentiers balisés du libéralisme et expérimenter de nouvelles voies. De toutes les façons on ne peut rien reconstruire de sain sur des bases pourries.

    Le problème c’est qu’il faut que la grande masse de la population comprenne ce qui se passe réellement et en tire les conséquences l’avenir dépend de nous, inutile d’attendre le messie style Obama. Si demain les banques baissent leurs grilles comme en Argentine, la prise de conscience sera brutale mais certainement salutaire.

    L’année dernière on nous a dit qu’il était vital de sauver les banques sous peine de cataclysme, mais si comme certains le prédisent le système s’effondre une nouvelle fois, ce sera définitif car les sommes en jeu seront trop importantes pour « socialiser » les pertes.
    On s’apercevra alors peut-être avec surprise que le système financier tel qu’il fonctionne, loin d’aider l’économie était un véritable parasite tuant dans l’œuf toutes initiatives



  • le naif le naif 10 août 2009 13:00

    Parce-que vous croyez réellement que le capitalisme est réformable ?
    Vous croyez que ces grandes réunions servent à quelque chose ?
    Les politiques avaient l’occasion de reprendre la main sur la finance....mais ils ne peuvent tout de même pas mordre la main qui les nourris !!!
    L’utopie c’est de croire que le système va repartir de plus belle, le moteur est HS et ce n’est pas un coup de peinture sur la carrosserie qui le fera redémarrer.



  • le naif le naif 9 août 2009 12:07

    Entièrement d’accord avec vous, j’irais même plus loin il y a parfaite collusion entre pouvoir politique, économique et médiatique.

    Lors de la dernière réunion du G20 à Londres, pendant que côté cour on décidait d’ abandonner ( en toute discrétion pour le grand public ) le principe comptable du « mark to market » ( c’est à dire la valorisation dans le bilan des banques des actifs au prix du marché). Ce qui était la règle comptable de base pour évaluer les pertes potentielles et les provisionnements nécessaires pour les établissements financiers.

    Coté jardin on nous sortait une liste noire de quatre paradis fiscaux dont personne n’avait jamais entendu parlé et qui d’ailleurs ont très vite disparu de cette liste pour cause de bonne volonté. Sauf erreur de ma part, il n’y a plus de liste noire !!! mais toujours des paradis fiscaux très actifs, mais moralisés off course...

    « La bonne santé » apparente des banques et la hausse des cours de bourse n’est que le reflet des décisions prisent côté cour. Quant les chiffres ne sont pas bons, il suffit de changer les règles comptables, fallait y penser, fallait surtout oser !!! Combien de temps ce subterfuge pourra t-il tenir ? Mystère....

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