Je ne peux que vous conseiller un supplément « Pour la Science » sur le sujet du sexe paru en 2010 ou 2011 sur le sujet.
Eclairant de voir les faits scientifiques et non les faits quasi religieux que l’on peut lire dans vos commentaires.
(un exemple : on n’est pas soit homme soit femme au niveau sexuel, on opère dans l’urgence, la mère encore dans la maternité pour que tous les enfants soient sexuellement soit homme soit femme, imposant d’ailleurs un choix de manière totalement arbitraire, au contraire de ce que font les mères de cet enfant. Il y a trois déterminants ; le sexe, les tissus gonadiques et le genre, et ils ne correspondent pas toujours)
Article intéressant mais un peu court sur l’analyser des méthodes. Au final, l’important c’est que les gens arrivent à réaliser que l’utopie n’est pas de changer le monde, c’est de penser que l’on peut continuer sans le changer.
Le changement, si nous y participons pas de manière active, notamment par le changement de nos habitudes (de « consommations » essentiellement) et notre responsabilisation (c’est notre soumission qui donne tant de pouvoir au 1%, uniquement notre soumission), il arrivera forcément, et cela fera mal, très mal. Sauf pour ce 1% qui se cachera dans des bunkers.
Une assemblée constituante composée forcément de député ?
Serais-ce une loi de la Nature ?
C’est absolument faux, bien au contraire il ne faut SURTOUT PAS de députés. Une constitution est un texte qui limite les pouvoirs de ceux qui l’exercerons. Si les règles du jeu sont fixés par ceux qui vont le jouer, cela ne peut QUE partir en sucette.
Entre 1980 et 2000, le salarié a vu sa productivité moyenne multipliée par 4 : la ou dans un temps donné, il produisait schématiquement 4 voitures, il en produisait 16.
Pourquoi son salaire, alors qu’il produit 4 fois plus de richesses est resté le même ?
Il ne faut pas écrire « charges sociales » mais « cotisations sociales ». Le patronat a changé le mot pour les désignés, changeant dans nos esprits, au final, ce que recouvre la différence entre notre salaire brut et notre salaire net. Il s’agit de l’argent qui est prélevé pour cotiser au système sociale : Retraites, Assurance Chômage et Assurances Maladies sont financée par ce que le patronat nomme « charges sociales ». Et des employés arrivent à soutenir qu’il faut continuer, comme on fait depuis 20 ans, à baisser ou exonérer des entreprises de charges sociales.
De s’étonner ensuite qu’il manque, parait-t-il, d’argent pour financer notre système social. Il en manque : du non perçu, clairement. Le problème n’est pas que l’état dépense trop, mais qu’il ne prélève plus assez, surtout aux plus riches et aux entreprises.