Ex-Gérant de petite SARL, ex-prestataire de services à la campagne, proche de l'agriculture fermière et de la vie rurale, démocrate convaincu, et respectant toutes les opinions qui visent à un bien commun.
Merci pour le commentaire, je me sens tout guilleret, un, au moins, qui a entendu.
J’espère que vous êtes nombreux dans la catégorie, parce que si l’on ne relève que l’accroche, c’est qu’on a des difficultés avec le reste...Le régime de spoliation de tous les droits, et de la richesse d’un pays...
Et puis j’adore les menaces, juste ce qu’il faut de voilé, on pratique les officines sur le net ?
Vous voulez mon adresse ? Mais vous l’avez déjà. Qui croit encore à l’anonymat ?
Mort aux cons, et mort aux fachos, ceux qui cassent la maison des femmes, et les traînent dans la boue !
C’est l’avantage de ceux qui n’ont rien, ils ont tout à gagner à vous voir foutre le camp, quitter les leviers d’un pouvoir que vous exercez , au nom des petits intérêts contre les grands, le super court-terme, comme du compte en banque particulier, renfloué par millions, contre ceux de l’avenir des peuples, et soyons grands, de l’humanité.
Vous vous souvenez, ce qui fait qu’on ramasse les blessés, et qu’on accompagne les malades, et qu’on protège les enfants... Dans une autre planète, avec d’autres gens que ceux que vous portez, la tête à l’envers, le coeur absent, et le knout à la main.
Mort aux cons. Trois fois plutôt qu’une.
Et si je crève, de mon côté, ce ne sera pas d’indigestion de fric, et de prébendes entre copains de comptoirs dorés.
Que je crève, ok, mais que les gosses puissent encore rêver, et chanter, autre choses que les louanges du grand timonier, petit homme, ami des puissants qui savent torturer, assassiner, et spolier les peuples.
Vous savez, ceux qui trichent si bien aux élections, celles dont vous ne voulez plus, et qui regardent bien en face, tous les lâches qui leur font tapis rouge, rouge sang, comme tous les journalistes du pays.
Je suis écoeuré, complètement. jusqu’où faudra-t-il aller, jusqu’à quelles bassesses, jusqu’à quelles infamies, quelle honte, quelle ...Il n’y a pas de mot.
Pardon, mais excusez-moi du peu, quatre points de marge d’erreur !
Vous réalisez ce que vous dites ?
On a un quidam qui flirte avc les bas-fonds de la popularité, non de sa personne, mais de sa politique qui oscille autour des 35 % d’opinions favorables. donc dans les 30 % il aurait pu se trouver à 26, et à 40, il pourrait se trouver à 44, bonjour la marge d’erreur. Sauf qu’on vit dans ce pays, et qu’on rencontre du monde et qu’on discute, et pas toujours les même. c’est stop à sarko et sa clique qui s’en met plein les fouilles, fait bafrer les copains, et écrase le peuple. Et vous croyez que ça va durer ?
Il n’y a que les amoureux du désordre, et de la violence pour se réjouir de la situation.
Un monsieur qui a fait sa campagne électorale sur les sondages, et la soi-disant opinion/ bon sens des français, et qui ,maintenant s’en contrefout. Il ne trouve comme soutien aujourd’hui que ceux qui se trouvaient auparavant une légitimité dans le nombre, et se la trouvent maintenant dans la légalité, et le pouvoir. Même quand cette légalité apparaît maintenant de plus en plus illégitime, tant l’écart entre ce qui a été promis augmente de ce qui est réalisé...
Il faut arrêter de dire et de colporter n’importe quoi.
Et retrouver un peu du sens que l’autre pantin des intérêts de classe, et ses sbires, ont fait perdre. Ils surfent sur la nullité avec des pointes de muflerie, et carrément de cynisme les plus éhontées.
Bachelot, à ce sujet, atteint des sommets. Et dans un ministère qu’elle devrait quitter à l’instant, tant elle est incapable et de la tête, et du coeur.
Pas facile de les entendre, ils n’en ratent pas une, et pour cause, ils sont ce qu’ils disent, des monstres de prétention, d’indifférence et d’avidité, une palme pour dassault puisqu’on y est. Le grand groupe démocratique du fouquet’s... Ou est allé se ressourcer notre bien aimé président, n’est-ce pas, pour mieux écouter le bon peuple de france.
Mais celui-là s’intéresse surtout à l’europe, celle du fric, et se fout bien des campagnes, ou des cités...Si ce n’est pour faire marner et payer les petits.
Prédiction, ça a bien commencé, et ça va mal finir.
Et j’espère au pénal.
Parce que à trifouiller les lois et les institutions, pour se faire des costards de printemps, ou d’été sur mesure, cette ump scélérate, et son patron dévoyé, auront bien à rendre des comptes un jour.
On croit rêver.
Et la parole donnée, tant de fois, et jamais tenue, et les positions à géométrie variable, les contrepieds de toute nature, l’anti-parlementarisme rampant, la mise au pas des médias, l’interdiction de manifester son opposition, la fin du droit de réponse, la chasse par la meute et les copains.
L’horreur pour ce régime, est quelque chose de jamais connu à ce jour. En tous cas, depuis que j’ai l’âge de raison, et j’ai presque 50 ans, je la trouve à travers toutes les couches de la société, sauf la plus riche et la moins partageuse. On dirait qu’ils sont, que vous êtes sans cerveau. Ce que beaucoup ressentent n’est absolument pas perçu.
Est-ce que vous vous rendez compte de ce qui se passe chez les gens derrière le brouillard des médias ? Mais il y a un monde réel, réveillez-vous !
Est-ce que vous avez conscience de l’effet des mesures prises, de la situation du monde, et du pays, de ce que des principes aveugles, réactionnaires et complètement surannés, infligent à notre capacité de réaction, de résistance, et de création, bref à nos moyens de tenir le choc du présent.
Il serait temps, et d’abord chez les sarkozystes, ceux qui vont payer le prix fort de leur attachement à un régime, attachement quasi fanatique, de faire revenir un peu de raison.
Il n’y en n’a plus , ni de jugement impartial, de constatation simple, de l’évidence des faits.
Voir ce qui va tous nous vampiriser, sous des oripeaux de philosophie pseudo libérale, et en fait au nom d’une doctrine de l’exploitation de l’homme par l’homme, la plus féroce, et la plus attardée, qu’on ait vue depuis longtemps en europe.
Aujourd’hui, où tout montre les limites d’un système qui ne sait que proposer la guerre, et la misère, quelle sorte d’homme faut-il être, pour lécher les semelles, et le cul, de ceux qui vous écrasent de leur argent, de leur pouvoir, et qui n’ont à vous proposer que d’être l’esclave de leurs fantasmes, et de leur goût de puissance ?
N’êtes vous donc que des esclaves, qui tendez le cou vers les chaînes ?
Qu’avez vous fait des idéaux des droits de l’homme, qu’avez vous donc fait de votre droit à la liberté, à l’égalité, à la fraternité, et au bonheur ?
Vous n’y croyez plus ?
Et bien libre à vous.
Mais libre à nous de nous défendre, et avec nous, la liberté et la fin de ce qui est un nouvel âge de l’esclavage, par la paupérisation économique, et culturelle.
Défendons nos droits à l’enseignement, au logement, aux soins, à la justice égale, à la liberté de vivre, de travailler, et surtout, de penser.
L’émotion se comprend. Mais le problème, ce n’est pas tant la réforme des institutions, mais la voie ouverte à ce qui va suivre.
Le grand thème fumigène du pouvoir et de son action, c’est la réforme, nécessaire et vitale, dont personne ne voudrait, pour le bien du pays.
A partir de là, toute cotestation est un refus de voir la réalité si nécessaire, et si vitale, en face.
Argument de communication imparable.
Surtout si personne ne peut en placer une.
Puisque l’équilibre médiatique est dans un état de décomposition jamais vu. Donc , on ne voit pas tous ceux qui demandent pourquoi, quand tout doit être sacrifié, il n’est pas question de sacrifier les bénéfices les plus somptuaires, et encore moins les privilèges qui y conduisent.
Surtout, les soi-disant réformes ne sont pas des réformes, mais de vraies révolutions qui modifient totalement les domaines où elles s’inscrivent. elles changent fondamentalement la donne, mais dans l’équilibre retrouvé, mais dans l’inscription du déséquilibre en faveur de ceux qui ont tout, sans laisser aucune chance de promotion sociale à ceux qui n’ont rien.
Comme le disait le chef de l’UMP, et de toutes les forces de l’argent de ce pays, la france a changé.
Un bref rappel.
On a chamboulé le système de gouvernement, par le jeu des officines et des conseillers, puis par le court-circuitage du conseil des ministres.
On a intronisé, de fait, le président des français, en chef de parti d’un groupe très marqué dans ses choix politiques, résolument réactionnaires.
On a bousculé et révolutionné les tribunaux, les hôpitaux, l’armée, l’emploi, la protection sociale, la représentativité des syndicats.
On vient de chambouler la loi fondamentale.
On pratique au grand jour la politique de la pression, et du marchandage. On méprise, et on écrase l’opposition. On tient et on met au pas les médias...
Voilà un pouvoir qui fait ce qu’il veut. et sans y mettre les formes. On a toujours connu le népotisme et la protection, mais à ce niveau, l’année bat des records.
Le programme qui suit vaut toujours le coup. Pas besoin d’être devin pour l’ imaginer, ce pouvoir change ce qui le gêne, fondé sur un intérêt immédiat et personnel, et sans se préoccuper ni des conséquences à long terme, ni des dégâts visibles.
En principe, les régions vont bientôt être mise en accusation, et asphyxiées financièrement, le plus possible. Bien sûr, sauf une, elle sont toutes dans l’opposition.
Il va falloir se tailler un costume électoral sur mesure.
Et oui, parce que vu le niveau de l’opinion, et l’avenir de la plus grande partie de la population, on va manquer d’électeurs.
La population, de pauvre va passer à miséreuse, de modeste à pauvre, de moyenne à modeste. Puis on verra les gens aisés devenir moyens et enfin les très riches à encore plus riches.
Il faut bien qu’il y ait un gagnant.
Mais forcément, pour les voix, et même avec les médias, ce sera dur. Sauf si l’on sait manoeuvrer. Une bonne réforme administrative, qui va nous supprimer ces départements d’un autre âge, et, accessoirement, permettre de se placer idéalement.
Oui, le pouvoir UMP a raison, la France a changé.
Oui, mais pas seulement où il le pense.
C’est que, quand il n’y a plus d’espoir, il n’y a plus grand chose.
A perdre.
A force de jeter ceux qui rament et qui écopent par dessus bord, attention à ce qu’on ne voit pas couler le bateau.
Je ne pense pas qu’on puisse continuer longtemps avec les clowns au pouvoir. Menteurs, voleurs, et profitant de leur position de force. Ils se permettent tout. espérons que la paix sociale pourra retrouver ses marques assez vite. objectivement, il y a des riches, et c’est très bien, il y a des pauvres, et il faudrait faire qualue chose, et il y a des gens qui jouent un jeu nauséabond et dangereux en montant les uns contre les autres par les abus sans cesse répétés. Le cynisme le dispute à la muflerie. a ce niveau, on n’est plus dansla provocation, on est en plein dans le n’importe quoi. rien, pas une once de grandeur, de réserve, d’honneur.