Ex-Gérant de petite SARL, ex-prestataire de services à la campagne, proche de l'agriculture fermière et de la vie rurale, démocrate convaincu, et respectant toutes les opinions qui visent à un bien commun.
La politique sarkozienne n’est pas une politique incompétente, elle est une ligne idéologique appliquée, qui ne correspond pas comme soution aux problèmes du pays.
Sarkozy sait très bien ce qu’il fait, là où il est incompétent, c’est lorsqu’il pense que ça marchera.
Mais lui, de son point de vue, ne peut pas perdre. Puisqu’il fait partie de la classe protégée.
Quoi qu’il se passe, lui s’en tire. Mais nous, non.
C’est là que d’incompétent il passe à autre chose. Parce que les conséquences de ses actes, même s’il ne les assume pas, ne sont pas sans effets.
Quand il l’ouvre un peu fort, et que 5 ou 600 voitures brûlent, ce ne sont pas la sienne, et ce n’est pas lui qui se retrouve avec le problème de trouver un nouveau véhicule du jour au lendemain, parce que s’il ne se brûlait que les voitures de ceux qui ont les moyens d’en changer, ce ne serait pas si grave, mais voilà, il y a un vrai souci pour beaucoup de monde avec ça.
Mais qu’est-ce qu’il en à faire, du reste du monde, seul lui-même l’intéresse.
Quand il prétend donner la troupe, là où seuls les plus grands, et les meilleurs spécialistes du combat peuvent avoir une chance d’en sortir vivant, ce n’est pas son fiston qui se fait massacrer.
C’est celui d’un autre, un qui croit en la France, en plus, alors que le clan au pouvoir l’a montré et remontré, il ne croit qu’en l’argent, et celui des américains...
On vit une époque affreuse. Et ceux qui devraient nous défendre nous mangent.
Sarkozy devient un peu trop loup dans la bergerie, ou ogre qui fait la cuisine du réfectoire de l’école...
Il va falloir qu’il se modère. Et qu’on lui dise comment, tous ensemble. Avant de le virer, sur orbite...Tiens, chez ses copains néo-cons américains, en voisin de son ex.
J’aime bien l’article, Et j’adore la fatalité. Après tout, que peut-on contre le sort ?
Et bien, on peut déjà commencer à parler vrai.
Pourquoi dire : impossible d’appeler l’opposition à la manœuvre ?
Elle est en plein dedans, l’immense majorité des régions est gouvernée par l’opposition.
En fait, il n’y en a qu’une de la majorité de gouvernement, et malheureusement, il y a à dire.
L’opposition gouverne, ce qui sauve d’ailleurs le sort de pas mal de petites gens. A ce sujet, sarko compte s’en occuper dès la rentrée, et asphyxier autant que possible financièrement les régions, avant de se retailler un costard électoral sur mesure, en bouleversant la carte administrative.
En quoi : elle est absente, à court d’idées et, trop préoccupée à se parler à elle-même ?
Cela c’est le discours de la grande, trop grande majorité des médias, qui ne fait que relayer celui de la majorité UMP au pouvoir, et quelques individus soi-disant dans l’opposition, qui ne font que le lit de ce pouvoir. Bref, des taupes.
Entre les esclaves de leur propriétaire de presse, de type féodal, qui ne connaît de la culture que la loi du plus fort, et celle de qui tient le robinet, et ensuite les drôles qui cherchent à manger à tous les rateliers par manque de conviction, et aussi d’honnêteté intellectuelle, on peut trouver une place pour la vérité des faits. La méthode socialiste est démocratique, elle.
Pourquoi dire : et puis, il vaut mieux pour le PS laisser passer l’été et revenir à la rentrée, pour critiquer de manière stérile et surtout, ne rien proposer. Parce qu’il n’y a rien à critiquer ?
Parce que le spectacle désolant de ce pays, et du fonctionnement consternant de ses institutions, et de la vie de sa société paraît décent, normal ?
Et depuis quand le droit à la parole confisqué comme cela ne s’est jamais vu dans une démocratie avancée, sauf chez berlusconi, merci la référence, permet-il de faire passer une proposition ?
Vous pensez que tout le monde est aveugle ?
Elles sont là, et croyez-moi, certaines valent le détour.
C’est comme le non au traité constitutionnel, ce qui ne me convient pas n’existe pas.
Sauf que ce type d’attitude augure mal de l’avenir. On ne fait qu’aller au rapport de force, et d’ailleurs, ce pouvoir ne connaît rien d’autre. Pas de discussion, pas de négociation, ça passe ou ça casse. que ce soit aec les amis, mais y en a-t-il ? Ou les adversaires, parce que des partenaires, il ne s’en connaît pas.
Et quand ça casse, qui est responsable ? Il n’y a plus personne.
Un chef d’état-major, autrement digne que ceux à qui il avait à faire, a démissionné, pour un évènement qui ’était pas de sa responsabilité.
J’aurais trouvé juste de voir un ministre faire pareil, au vu du résultat récent de l’incapacité manifeste de ce gouvernement à gérer. Et là, c’est un paquet de morts et de blessés difficile à accepter, sur des décisions clairement assumées.
Non, non, il y en a assez des discours soporifiques ou empoisonneurs. on ne peut pas sans cesse échapper au juste retour des choses.
L’opposition existe, et cette majorité est néfaste pour le pays. Il faut qu’elle se corrige jusqu’à ce qu’on puisse en changer.
Et le plus vite sera le mieux.
Ce n’est pas l’opposition qui tient les rênes, pratique l’effet d’annonce, style : on ne touchera pas aux trente-cinq heures, pour faire l’inverse, style, s’il n’y a pas d’avancée significative des droits humains en chine, je n’irais pas à la cérmonie d’ouverture, style : ... il y en a trop, il n’arrête pas, depuis qu’il est en place, le bouffon loufoque et lunatique malfaisant qui nous gouverne.
Quand même, la mainmise sur la télé, sur les journaux, par l’agression caractérisée des journalistes, d’homme à homme, bien sûr, on pourrait presque se croire dans la cour de récré, sauf que l’un a toute la puissance publique derrière lui, c’est quand même le président, et avec, en plus, les propriétaires hargneux et féroces, il n’y a qu’à voir comme ça dégage aussi sec, des organes de presse...
Quel type d’opposition peut donc susciter une telle caricature de chef de l’Etat ?
Un type, et son parti, qu’il a installé dans une espèce de cénacle UMP à l’Elysée même, incroyable, d’abord avec des conseillers, complètement irresponsables devant le parlement, mais porte-paroles sans cotestation possible de l’ardeur sarkozyste, et court-circuitant sans vergogne l’officialité et l’honorabilité institutionnelle, au piquet, les ministres et secrétaires d’état, place aux petits raspoutines en tout genre...
Un type, bien de son parti, qui a dit à tout le monde, ouvriers, petites gens, je suis plus à gauche que vous, et qui, une fois au pouvoir, quand un accord est trouvé entre syndicats et patronat, il le fait casser sur une ligne purement idéologique...
Un type qui a dit : je suis le président du pouvoir d’achat, et qui a bien arrangé à la hausse celui de tous ses copains, celui des plus favorisés, par des cadeaux fiscaux, le sien même, par des augmentations complètement hallucinantes, et qui dans le même temps a ruiné la classe moyenne, et condamné les plus pauvres à la désespérance.
Et on va reprocher à l’opposition de se durcir ?
Je te l’ai dit, réveille-toi. tu ne vois même plus les coups qu’on prend tous les jours, et tu imagines que ça peut durer longtemps ?
Un étalage pareil de richesses, de profit, l’indécence de ceux qui clament sans arrêt qu’il faut réformer, et se serrer la ceinture, pour aux plus pauvres, pendant qu’ils se gobergent et se gavent de super profits ?
Est-ce que ça va bien, la tête ?
Dehors les exploiteurs, et brouilleurs de cartes, qui font prendre une décision de recul social pour de la liberté du travail...
Dehors, les menteurs, et les prévaricateurs de l’argent public qui manipulent les décisions de justice pour payer les basse oeuvres électorales...
Non, mais je crois rêver.
Vous croyez faire n’importe quoi, continuer de nous foutre en l’air, et qu’on va rester les bras croisés ?
Je t’en foutrais moi de l’opposition constructive !
Appuyez-vous sur les vendus, sur les traîtres à leurs convictions, sur ceux qui tournent leur veste, parce que les poches se remplissent mieux par la doublure...Mais n’attendez donc pas que vous ne soyez dfécouverts, et pris pour ce que vous êtes.
Des exploiteurs, des ennemis du peuple, et de l’avenir de la jeunesse, des vampires qui sucent le sang des soldats envoyés n’importe où, pour pas n’importe quoi, protéger vos intérêts, les gros, pensez donc ! Qui pompent la sueur des délolalisés de chez eux, après avoir immigré les populations vous émigrez les usines, ah, bravo, et tant que ça dure, on pompe, le peu de richesse des uns avec le peu de santé des autres, en retour, que tout le monde se débrouille, les uns avec leurs dictateurs, et les autres avec leurs politicards...
Ces pourris, soutiens objectifs de ceux qui font fortune sur la malbouffe, l’éducation et la santé à plusieurs vitesses, et bien sûr, la ruine de la nature.
Vous portez tous les maux ?
Exactement.
Qu’est-ce qui fait le damné ? Le diable qui le torture.
Et bien, retournez donc à votre enfer pavé d’or !
Et laissons nous travailler pour faire un monde vivable à nos enfants, même si l’on n’y gagne pas de quoi se payer des jets privés, et des yachts à 150 briques, ou plus, la semaine.
Hou, hou, debout, il faut se réveiller... C’est l’heure de prendre conscience.
Il faudrait peut-être un peu regarder les choses en face. Dans ton pays, mon gars, le panier de fruits et légumes est devenu un luxe.
Et si les gens se mettent au co-voiturage, mais ce n’est pas par amour de la nature, et c’est bien dommage, c’est qu’ils sont bien obligés.
Sans compte les indicateurs qui clignotent de partout, et que tes copains milliardaires ne peuvent voir, éblouis qu’ils sont par leur brillants mannequins d’épouses, et les toquantes à cinquante-mille euros.
Tiens, instruis-toi, citoyen, et dis-toi qu’il y en a qui rêvent à 1789... Et à la nuit du 4 août.
Parce que maintenant, cela s’accélère, et les classes moyennes , celles qui font la stabilité des pays, sont foutues.
Par rapport aux niches fiscales, le massacre des régimes spéciaux de retraites, qui méritait d’être un peu plus pensé, c’est de la roupie de sansonnet.
Quant au train de vie des loups qui tiennent la bergerie, il n’y a plus besoin de commenter, les masques sont tombés, à coup de vacances somptuaires, d’apéritifs qui font affréter les jets privés, à coup de "la Cour de sa Majesté" s’en va suivre le roi dans Ses Campagnes à travers des milliers de kilomètres pour rien, conseil des ministres en corse, etc......Et leurs électeurs les plus modestes aussi, sont tombés, mais alors de très haut ces derniers.
Ciao, bello, il n’est plus temps de discuter, mais de vous foutre dehors.
En fait, vous reprochez au PS d’être démocratique.
Ce qui ne manque pas de sel. Oui, une direction qui se bétonne et fait passer son projet, et ignore ce qui remonte des autres tendances, des autres propositions, voilà qui est inutile, risqué, et peu productif.
Et surtout, quand on s’est découvert l’incapacité à résister à la pire clique politico-fiancière de la cinquième république, chercher à se renforcer, se dynamiser, se légitimer et retrouver des forces usées dans toutes les composantes disponibles, et rassembler les énergies sur un projet commun, c’est nul.
Et bien, je pense que vous vous trompez.
Le système UMP, c’est très bon pour lUMP, et les classes sur-protégées, et plus que riches.
Les autres, qui se voient de plus en plus paupériser, ont besoin d’autre chose. ils n’ont que leur courage, et leur bonne volonté. On les a trompés honteusement, c’est avéré, et s’avère chaque jour, grâce à des médias inféodés comme on ne l’a jamais vu.
On les pressure, comme aucun gouvernement n’a jamais osé le faire, et l’on manipule un désir naturel de changement, comme l’ aspiration à la prospérité et au bonheur, pour ne satisfaire que les ténors pseudos intellectuels, les banquiers, les affidés, et les mafieux du système.
Alors, pardon, que les contributions soient étudiées, que ceux qui sont à droite s’en aillent, que ceux qui sont à gauche retrouvent la parole, que ceux qui ont failli s’effacent.
Et il ne s’agit pas d’avoir failli aux yeux et au jugement des pseudos journalistes dont on sait maintenant qu’ils ne sont que d’odieux propagandistes, ou à l’opinion de ceux là même, les tricheurs, qui prétendent choisir leurs adversaires. Ils ont peur, et ne veulent à aucun prix voir revenir celle qui avait, à l’heure la plus sombre, et sous la pression la plus dure, trahie par ses proches même, obtenu un score plus qu’honorable, et fait bouger les bases pour tenter d’arrêter le désastre..
Assez du n’importe quoi ! De la vérité !
Et que les fantoches qui spolient, toute honte bue, de son pouvoir, de ses moyens, de ses avancées, l’ensemble du peuple et de la nation, que ces tigres de papier, couchés devant les tyrans, et tristes matamores devant leurs responsabilités s’en aillent.
Loin, sur un de leurs yachts, dorés, du sang et de la sueur des autres...
Et à jamais.