Merci
pour cet article très bien écrit dont j’ai apprécié le ton
décalé...
Ton
décalé..., mais qui, comme tout ton décalé, ne fait pas
pleurnicher... Voilà l’erreur. En France, et surtout avec les
socialistes, point de salut sans une bonne pleurnicherie, les
subventions et les bourses ne sont en fait, en France, qu’un immense
concours de pleurnicherie... auquel les meilleurs du bac semblent
assez mal préparés.
Ceci
dit, comme vous le notez dans l’article, la mention TB se distribue
désormais comme une médaille en chocolat et vous n’êtes pas sans
ignorer même si vous semblez l’évoquer (analyse bourdieusienne)
que, malgré tout, les meilleures mentions sont issues des meilleurs
quartiers...
Quant
au titre, pour faire le buzz sur Agoravox, rien de compliqué, suffit
de mettre « Gaza » dans le titre. Dès lors quelques
suggestions de titre ’Gaza : ’Gaza, quand l’Etat sioniste
assassine les bourses’, ’Gaza, la bourse ou la vie...’, ’Gaza :
la France complice supprime les bourses’.
Seul
problème avec Gaza, c’est que la fenêtre d’opportunité ne s’ouvre
vraiment que tous les 2 ans et là, elle semble se refermer après un
mois d’intense activité...
Au
hit parade des titres qui marchaient bien, il y a bien eu le mot
Sarkozy à une époque mais avec Hollande, ça marche moins bien...
Sinon
pour pouvez revenir aux bonnes vieilles recettes de la presse pour
attirer le chaland et bien en vogue ici aussi : grossir
outrageusement le trait, effrayer... ’guerre nucléaire’ ou ’3ème
guerre mondiale’ semblent être une valeur montante sur laquelle il
faudrait miser.
Si la SNCF meure, ce qui reste à
démontrer, ce n’est pas des privatisations dont on comprend bien
qu’elles sont votre bête noire, mais des privilèges exorbitants
(salaires, retraites, avantages en nature, billets gratuits aux
proches...) qu’une catégorie de salariés prédateurs (les
cheminots) s’arrogent depuis des années grâce à un pouvoir de
nuisance largement utilisé...
Le niveau de vie de ces salariés
prédateurs prospère sur le dos de la collectivité nationale qui ne
cesse de manière directe ou déguisée, de financer leurs déficits
sans fond que le prix de plus en plus exorbitants du billet de train
ne parvient pas à combler...
Alors évidemment, cette catégorie de
salariés prédateurs ne cessent de sauter sur des détails (20 % de
quais à raboter (en fait, à mettre aux nouvelles normes)), pour
défendre l’indéfendable : le maintien éternel de leurs
privilèges et de leurs prédations au détriment de la collectivité
publique...
On a eu les mêmes arguments anti
privatisation sur France Telecom qui vendait son téléphone puis son
internet à prix prohibitifs, profitant, comme le fait toujours la
SNCF de son monopole de droit ou de fait...
Par ailleurs, ayant eu l’occasion
d’utiliser récemment ces trains, j’ai eu le plaisir de constater,
que pour une fois, ils sont spacieux, splendides et agréables...
Si la privatisation pouvait abolir, comme pour France Telecom, vos
privilèges dignes des corporations de l’ancien régime et ainsi
faire baisser les prix on ne peut qu’applaudir... Mais je rêve, tant
votre pouvoir de nuisance assis sur des syndicats catégoriels
financés, là encore par le contribuable, est destructeur....
Ce qui m’a amusé dans votre
commentaire, c’est la question de ’l’éventuelle réciprocité’ avec
les pays d’immigration... avec l’Allemagne... peut-être...
Par ailleurs les chiffres annoncés (cf
livret d’accueil immigration du ministère de
l’intérieur p.54), outre les nombreuses fraudes qui sont à
peine traquées (personnes fictives jamais décédées, personnes ne
résidant plus sur le territoire français...) ne sont qu’une goutte
d’eau par rapport au coût réel des personnes âgées immigrées :
Dès lors, avec un coût
d’hospitalisation moyen journalier commençant à 550 euros par jour
(gériatrie) pour monter le plus souvent à plusieurs milliers
d’euros pour ne parler que de cela..., le coût de la retraite pour
les personnes étrangères n’ayant jamais cotisé et tels que décrits
dans cet article, n’est finalement, qu’anecdotique..
Sur de Lesquen, vous avez raison : arrogant, manque de rigueur (digressions permanentes), ne laisse pas parler ses invités, mépris de ses assistantes (assez nunuches). Toutefois, il possède une énergie rare, et c’est peut-être ce qui fait que la radio se développe...