Parent désenfanté par un chauffard, je milite activement et bénévolement pour la cause de la sécurité routière et la prévention des risques en général.
"Je déteste le crime, cette expression humaine et imbécile du malheur. Une société qui ne serait pas aberrante devrait sans cesse être préoccupée du malheur, comme du cancer ou de la tuberculose..
Mais on confond le crime avec les criminels. On emprisonne les criminels, on les tue même. Le crime ne disparaît pas pour autant. Au Moyen-Age on mettait les lépreux à l’écart des villes, on les obligeait à porter des clochettes comme du bétail, pour qu’on les entende venir et puisse s’en écarter à temps. Il n’y avait pas de lépreux visibles. Mais la lèpre était toujours là, bien vivace, dans l’ombre. Nous en sommes encore au Moyen Age, quand il s’agit du crime, cette lèpre de notre société."
Mtre Badinter
juger des justiciables plus de seize ans après les faits est choquant à plus d’un titre.
Pendant seize années, en attente de jugement par une Cour d’Assises, les autorités publiques ont ainsi maintenu Gabi Mouesca, Filipe Bidart et Ttotte Etcheveste dans l’insécurité juridique la plus totale. De plus, s’agissant d’un procès devant une Cour d’Assises, la procédure sera orale. Ce qui veut dire que la justice française a délibérément laissé le temps faire son œuvre de destruction sur la mémoire des témoins...
Un tel comportement est-il compatible avec les droits de l’homme que la France s’est engagée à respecter au niveau européen ? Cette question a été soumise à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Devant la commission européenne, le gouvernement français a bien tenté d’expliquer que le retard pris dans ce dossier était dû à sa complexité et aussi surtout au comportement de Gabi Mouesca... Mais les arguments de la France n’ont pas convaincu...
Dans le rapport de la commission européenne des droits de l’homme, adopté le 14 janvier 1998, les quinze membres ont jugé, à l’unanimité que « (...) la commission est d’avis que, ni la complexité de l’affaire, ni le comportement du requérant ne suffisent à expliquer la durée de la procédure (...) ». Et ont ainsi retenu que les périodes d’inactivité imputables à l’Etat français s’élevaient à six années à la date du 16 octobre 1996. En conclusion, « (...) la commission considère que la durée la procédure litigieuse (...) est excessive et ne répond pas à la condition du délai raisonnable ».
Ce rapport a été adopté et rendu public, en juillet 1998, par le comité des ministres du conseil de l’Europe. Malgré cette condamnation sans appel de l’Etat français qui s’autoproclame pourtant « Patrie des Droits de l’Homme », sa justice se refuse toujours à organiser le procès de Léon.
jauni en cage à médrano,
Vous plaisantez pour bons services rendus et au vu de son bagage intellectuel il sera notre prochain ministre de la culture, et Doc gynéco chargé de mission dans le cadre de la lutte « anti’drogue ».
Si vous n’y prenez garde on va bientôt vous appeller ragoravox ! Celà vous ravit de faire des articles poubelles ? alors allez chercher un emploi chez gala ou voici ce genre çà marche pas mal.
Pendant ce temps on ne s’occupe pas des vrais problèmes.
Vous avez raison la france est une république bananière mais celà ne date pas d’hier.
Le pays autoproclamé des droits de l’homme fait rire sous cape pas mal de petits dictateurs en herbe qui se frottent déjà les mains pour les affaires à venir.
Te tous temps les hommes arrivés à un âge ...disons respectable,votent pour ce qu’ils croient être la sécurité et le vote pro-sarkosy de ceux-ci n’est pas nouveau ce n’est qu’une confirmation d’une évidence multi décénnales.
L’homme une fois après avoir amassé quelques biens n’a plus aucune envie révolutionnaire !