Parent désenfanté par un chauffard, je milite activement et bénévolement pour la cause de la sécurité routière et la prévention des risques en général.
Après une campagne électorale la série de discours qui consiste à prendre les électeurs pour des ploucs fait que la politique est l’art de se servir des cocus en leur faisant croire qu’on les sert, elle sert aussi à obtenir de l’argent des riches et des suffrages des pauvres, avec le prétexte de protéger les uns des autres,
de même qu’il existe un péché plus destructeur et plus enivrant que la luxure. C’est la passion du pouvoir.
Il me semble que tout celà est réuni maintenant ! Le bal peut commencer , s’entend le bal des cocus.
Pratiquez ce que vous voulez comme religion mais foutez nous la paix et respectez la nôtre tout simplement, celle qui a comme symbole des crucifix, des cloches, vous ne remplacerez jamais dans notre coeur ce genre de « cloches » :
Village au fond de la vallée,
comme égaré, presqu’ignoré.
Voici qu’en la nuit étoilée
un nouveau-né nous est donné.
Jean-François Nicot il se nomme.
Il est joufflu, tendre et rosé.
A l’église, beau petit homme,
demain tu seras baptisé.
Une cloche sonne, sonne.
Sa voix, d’écho en écho,
dit au monde qui s’étonne :
"C’est pour Jean-François Nicot.
C’est pour accueillir une âme,
une fleur qui s’ouvre au jour,
à peine, à peine une flamme
encore faible qui réclame
protection, tendresse, amour."
Village au fond de la vallée,
loin des chemins, loin des humains.
Voici qu’après dix-neuf années,
cœur en émoi, le Jean-François
prend pour femme la douce Elise,
blanche comme fleur de pommier.
Devant Dieu, dans la vieille église,
ce jour, ils se sont mariés.
Toutes les cloches sonnent, sonnent,
Leurs voix, d’écho en écho,
merveilleusement couronnent
la noce à François Nicot.
« Un seul cœur, une seule âme »,
dit le prêtre, "et, pour toujours,
soyez une pure flamme
qui s’élève et qui proclame
la grandeur de votre amour."
Village au fond de la vallée.
Des jours, des nuits, le temps a fui.
Voici qu’en la nuit étoilée,
un cœur s’endort, François est mort,
car toute chair est comme l’herbe,
elle est comme la fleur des champs.
Epis, fruits mûrs, bouquets et gerbes,
hélas ! vont en se desséchant...
Une cloche sonne, sonne,
elle chante dans le vent.
Obsédante et monotone,
elle redit aux vivants :
"Ne tremblez pas, cœurs fidèles,
Dieu vous fera signe un jour.
Vous trouverez sous son aile
avec la vie éternelle
l’éternité de l’amour."
E.Piaf et les compagnons...
Tâchez d’en comprendre le texte qui ne parle pas de haine mais d’amour.